🌗 Patrick Timsit On Ne Peut Pas Rire De Tout Streaming

AprĂšsquatre ans d’absence, l’humoriste prĂ©sente un nouveau spectacle qui se veut aussi interactif que grinçant. Actuellement en tournĂ©e en province, il sera au théùtre du Rond-Point, Ă 
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage RĂ©compenses Films similaires note moyenne 2,1 3417 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur PĂ©dale douce ? 123 critiques spectateurs 5 15 critiques 4 24 critiques 3 22 critiques 2 32 critiques 1 21 critiques 0 9 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus rĂ©centes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s ComĂ©die culte des annĂ©es 90 . C'est l'histoire de Adrien aymar Patrick timsit qui est un respectable homme d'affaire la journĂ©e . Mais Adrien mĂšne une double vie . C'est Ă©galement un homosexuel qui n' hĂ©site pas a se travestir en drag- queen le soir . et il le cache a son patron Alexandre Agut richard Berry . Un jour Adrien est inviter par son patron Alexandre a un repas d'affaire . Adrien demande alors a eva Fanny hardant une amie qui est patronne d'une boĂźte de nuit gay de se faire passer pour sa femme . Son patron Alexandre tombe sous le charme d'eva qu'il n'hĂ©site pas a draguer . Alexandre dĂ©cide alors de suivre eva discrĂštement jusqu'Ă  sa boĂźte de nuit . La bas il dĂ©couvre bien malgrĂ© lui que Adrien est homosexuel . Il va alors ĂȘtre embarquer bien malgrĂ© lui dans l'univers des homos ou il va lui arriver une suite de quiproquos et de mĂ©saventures hilarante ... Une comĂ©die hilarante servit par un excellent casting . Tout d'abord Patrick timsit qui est excellent dans le rĂŽle de Adrien un homo extravertie . Tout comme jaques Gamblin trĂšs bon Ă©galement dans le rĂŽle d'un homosexuel . Ensuite Fanny Ardant qui est tout bonnement excellente dans le rĂŽle de eva cette patronne de boĂźte de nuit mal dans sa peau qui trouve du rĂ©confort auprĂšs de ses amies homos . Son personnage est trĂšs touchant et apporte un peu d'Ă©motion au film . Sans oublier richard Berry gĂ©nial dans le rĂŽle de Alexandre Agut un patron limite homophobe qui va ĂȘtre entraĂźner bien malgrĂ© lui dans l'univers des homos . Et michelle laroque gĂ©nial aussi dans le rĂŽle de marie Agut la femme bourgeoise et coincer de Alexandre qui va ĂȘtre entraĂźner tout comme son mari et bien malgrĂ© elle dans l'univers des homos. Une comĂ©die qui mĂȘle rire et Ă©motion . Un film remplit de scĂšnes cocasse a mourir de rire richard Berry qui se fait taper bien malgrĂ© lui par un homo sadomasochiste , le quiproquo avec michelle laroque qui croit que son mari richard Berry est devenu homo ... et de rĂ©pliques hilarantes . La du film est Ă©galement gĂ©nial avec des musiques connus qui mettent bien la pĂȘche dont l'Ă©norme tube de mylene farmer " sans contrefaçon " qui colle a merveille a l'ambiance du film et qui nous met la patate . Une comĂ©die trĂšs sympathique a ne pas loupez . un film extraordinairement drĂŽle avec des dialogues savoureux dignes d'Audiard, une bande son tout simplement gĂ©niale,des scĂ©nes cultes comme le repas au dĂ©but du film,la gaterie de MichĂšle laroque,on oublie vraiment tous ses soucis,indĂ©modable. La rĂ©flexion selon lequel le film caricaturerait la communautĂ© homosexuelle ne peut tenir, le scĂ©nario Ă©tant l’Ɠuvre de Pierre Palmade, en fait la communautĂ© homosexuelle n'existe pas et le milieu n'est pas homogĂšne, il y a des tas de comportements homosexuels diffĂ©rents. Sinon que dire ? Que Fanny Ardant est rayonnante de prĂ©sence et de beautĂ©, qu'il y a des trĂšs bonnes scĂšnes, qu'on ne s'ennuie pas, mais qu'il n'y a pas non plus de quoi s'affoler. C'est un bon petit film, sans plus. un des films les plus culte des annĂ©es 90 ! on a rarement vu aprĂšs les acteurs dans un film au bon que celui lĂ , Timsit, Laroque, Berry, Ardant, et puis Gamblin mais quel osmose ! des scĂšnes et des rĂ©pliques culte et puis quel BO juste grandiose pour l'Ă©poque quand mĂȘmeĂ  voir et Ă  revoir encore et encore ! On ne peut pas dire que PĂ©dale Douce pense la comĂ©die comme un art Ă  part entiĂšre ; sa forme est pauvre, peu inventive et surtout rĂ©pĂ©titive. Pourtant, il se dĂ©gage de l’ensemble un je-ne-sais-quoi d’humain qui touche le cƓur, une franche sympathie Ă  l’égard des personnages qui, parce qu’ils bousculent les clichĂ©s dont ils sont de prime abord les vecteurs, offrent au spectateur une rĂ©elle profondeur Ă©motionnelle. Cela repose donc essentiellement sur l’interprĂ©tation des comĂ©diens qui s’en donnent Ă  cƓur joie, et sur l’écriture des dialogues, souvent fort percutants et signĂ©s Pierre Palmade. Mention spĂ©ciale au personnage d’Adrien Lemoine, campĂ© par un Jacques Gamblin jubilatoire qui trouve dans son tĂȘte-Ă -tĂȘte avec Richard Berry une drĂŽlerie burlesque des plus entraĂźnantes. Loin d’ĂȘtre un grand film et une excellente comĂ©die, PĂ©dale Douce rappelle nĂ©anmoins que des sujets sensibles pouvaient – il y a peu – ĂȘtre traitĂ©s frontalement sans, en contrepartie, insulter les communautĂ©s concernĂ©es. Et qu’en orchestrant par le rire le choc des cultures et ici des orientations sexuelles, la comĂ©die est capable de dĂ©diaboliser les clivages sociĂ©taux, d’homogĂ©nĂ©iser les cƓurs et de rassembler. Le cinĂ©ma britannique a donnĂ© "My beautiful laundrette", "Beautiful Thing", "Maurice", ou encore plus rĂ©cemment "Week-end". Le cinĂ©ma italien, "Une journĂ©e particuliĂšre". Le cinĂ©ma nord-amĂ©ricain, "Harvey Milk". Des oeuvres qui informent et donnent Ă  rĂ©flĂ©chir tout en Ă©vitant l'Ă©litisme des films au cinĂ©ma français, il a donnĂ©... "La cage aux folles", "Gazon maudit" et "PĂ©dale douce". C'est effrayant de penser que dans une sociĂ©tĂ© largement imprĂ©gnĂ©e de prĂ©jugĂ©s rĂ©actionnaires, le grand public n'ait d'autre aperçu de la population homosexuelle que ces films qui, derriĂšre des bons sentiments faciles et l'alibi du divertissement, recyclent une foule de clichĂ©s racistes concernant les la sortie de "PĂ©dale douce", je n'aurais pas aimĂ© assister Ă  une projection et entendre s'esclaffer le public chaque fois que l'un des acteurs singe de façon grotesque un personnage qui est censĂ© ĂȘtre comme moi. Ce film est cruel, d'autant plus cruel qu'il se pare des oripeaux de la comĂ©die. Il est Ă  mettre sur le mĂȘme plan que les chansons d'humoristes des annĂ©es 50 et 60 sur les homosexuels "On dit qu'il en est" de Fernandel, "Dans ce pays-lĂ , ils en sont tous" de Robert Rocca, qui faisaient se plier de rire des familles entiĂšres de Français trĂšs moyens, Ă  une Ă©poque oĂč le code pĂ©nal et les autoritĂ©s mĂ©dicales faisaient des homosexuels des dĂ©linquants ou des cinĂ©ma, on ne reprĂ©sente plus les Noirs comme des grands enfants vĂȘtus de pagnes ou de rĂ©gimes de bananes, comme des grooms de hall d'hĂŽtel ou des cireurs de chaussures. On ne reprĂ©sente plus les Juifs comme des usuriers aux doigts crochus, menaçant la sociĂ©tĂ©. Mais il est toujours permis de ridiculiser les homosexuels, car l'humour de majoritaires est censĂ© tout excuser. ComĂ©die culte des annĂ©es 90, qui m’avait Ă©chappĂ©, PĂ©dale douce n’est pas un bien grand vĂ©ritĂ© ça ressemble plutĂŽt Ă  une comĂ©die estivale, faite pour remplir une soirĂ©e un peu arrosĂ©e, mais pour le reste, elle n’était pas faite pour rester dans les annales, et aujourd’hui, je reste sur ma faim en le problĂšme c’est comme souvent l’intĂ©rĂȘt rĂ©el du propos. Le mĂ©trage propose quelques situations amusantes, un peu grivoises parfois, mais il n’y a pas d’intrigue ou trĂšs peu. Du coup, passĂ© le premier quart d’heure, et en dĂ©pit des quelques passages drĂŽles qui peuvent rĂ©veiller le spectateur, il n’y a pas grand-chose en mesure de happer son attention. Je me suis relativement ennuyĂ© devant une intrigue vaudevillesque attendue, des quiproquos faciles, et une narration peu fluide, lourdaude mĂȘme parfois. Pour ma part, c’est lĂ  le gros dĂ©faut de ce film, qui parvient cependant Ă  Ă©viter un peu les lieux communs sur les homos. Pour le coup c’est plutĂŽt une surprise compte tenu du casting est plutĂŽt bon, avec des acteurs solides dans leurs rĂŽles mais parfois trop peu utilisĂ©s. Je pense Ă  Jacques Gamblin par exemple, tandis que MichĂšle Laroque aurait pu ĂȘtre davantage mise en valeur, d’autant qu’elle semble bien Ă  l’aise dans ce mĂ©trage et dans ce registre. Reste un Timsit sympathique et juste, face Ă  un Richard Berry peut-ĂȘtre plus subtil et plus en variĂ©tĂ© niveau jeu, et, entre eux, une Fanny Ardant tout Ă  fait indiquĂ© pour son rĂŽle, et qui impose sa flamboyance, avec un jeu parfois un peu bon casting ne s’accompagne pas d’une rĂ©alisation dĂ©mente, mais le film parvient, par son lot d’éclairages flashys, sa bande son punchie qui aligne les titres connus, et une certaine vivacitĂ© de mise en scĂšne Ă  rester assez plaisant Ă  regarder. MalgrĂ© tout, ça reste un mĂ©trage lĂ  aussi plus proche de la comĂ©die estivale qu’autre chose. Sur un sujet qui pourra rappeler Almodovar, le rĂ©alisateur n’a pas l’aisance de ce dernier pour transcender son film par une esthĂ©tique aussi brillante et conclusion, PĂ©dale douce est une comĂ©die pas dĂ©plaisante, mais qui repose surtout sur ses numĂ©ros d’acteurs et sa bande son vive qui parvient Ă  surligner efficacement quelques situations amusantes. Le rĂ©sultat reste faible, particuliĂšrement Ă  cause d’un scĂ©nario laborieux, souvent creux, et ses redondances. Plus je vois les films Ă  caractĂšre comique dans lesquels il a jouĂ©, plus je me dis que Richard Berry est un vrai poissard. Je m'explique dans Une journĂ©e de merde » film vĂ©ritablement hilarant soit dit-en passant, il Ă©tait victime de quasi toutes les catastrophes possibles et devait composer avec des individus tous fĂȘlĂ©s du bocal. Et lĂ , dans PĂ©dale douce », idem, sa femme en vient Ă  penser qu'il est de la jaquette alors qu'il est beaucoup plus enclin Ă  renifler le bonbon fĂ©minin. PĂ©dale Douce », ou l'histoire d'un homme, jouĂ© par Patrick Timsit qui se voit obligĂ© de jouer les hĂ©tĂ©ros pour espĂ©rer obtenir un emploi. Si au dĂ©but, le subterfuge semble fonctionner, ce ne sera que de courte durĂ©e et encore une fois, c'est Berry qui va en prendre plein la tronche pour pas un rond. Pour ĂȘtre tout Ă  fait franc, j'ai beaucoup de mal Ă  comprendre pourquoi est-ce que ce film a obtenu un tel succĂšs lorsqu'il est sorti. En plus d'ĂȘtre jamais drĂŽle, le film du pĂšre Aghion aurait mĂȘme tendance Ă  devenir trĂšs chiant. Personne n'y croit. Pas mĂȘme les acteurs. Richard Berry a l'air de se demander ce qu'il est venu faire ici, Fanny Ardant est complĂštement hors du coup et Patrick Timsit est carrĂ©ment insupportable. La premiĂšre mouture est dĂ©jĂ  nulle, alors je n'imagine mĂȘme pas la seconde... Une excellente comĂ©die française! A voir et revoir! Des gags qui tombent souvent a l'eau, un peu de morale qui va avec ce genre de comĂ©die.... Bref , pas grand chose a se mettre sous la dent.... Pas terrible. PĂ©dale douce Une comĂ©die hilarante et complĂštement folle qui nous tire le portrait d’une Ă©poque et d’un thĂšme d’une façon trĂšs juste. C'est-Ă -dire l’homosexualitĂ© qui est montrĂ© dans ce film de façon rĂ©aliste mais aussi et surtout d’une maniĂšre marrante heureusement, on est dans une comĂ©die. Vraiment, avec cette comĂ©die, on ne peut que rigoler car c’était un autre univers Ă  l’époque. Et mĂȘme encore aujourd’hui, ça peut paraitre tabou. Et avec ce film, c’est les portes ouvert Ă  toutes mais ce n’est jamais vulgaire ou malintentionnĂ©. MĂȘme si il y a des vulgaritĂ©s, de la provocation ou des tensions sexuel c’est jamais lourdingue et c’est le thĂšme qui veut ça et c’est montrĂ© comme j’ai dis de façon juste. MĂȘme si des fois, c’est volontairement grossie pour l’humour, la plupart du temps, c’est crĂ©dible. Et puis, quel humour quiproquo de fou, rĂ©pliques culte, piquante et croustillante, scĂšnes cocasse et trĂšs drĂŽle du au thĂšme que on n’a pas l’habitude d’abordĂ© au cinĂ©ma donc on n’a pas l’habitude de rire sur ça. C’est pour ça que ce film est si marrant et inique en son genre c’est que il nous faire rire sur l’homosexualitĂ© d’une bien belle maniĂšre sans ridiculisĂ© les homosexuels au contraire. Et puis, le scĂ©nario est bien construit, avec un thĂšme bien placĂ© et une Ă©poque bien montrĂ©. Et on a le droit Ă  une bonne petite histoire romantique. Car oui, on pourrait le classĂ© dans le genre comĂ©die romantique. Car, le gros de l’histoire est quand mĂȘme la relation entre Eva Fanny Ardant et Alexandre Hagutte Richard Berry. Donc, c’est une bonne et amusante histoire d’amour car le milieu est quelque peut originale. Sinon cotĂ© acteur, c’est un casting de fou avec de trĂšs bon comique français qui jour parfaitement et avec humour leur rĂŽle, et moi je dis chapeau. Entre Patrick Timsit, Fanny Ardant, Richard Berry, Jacques Gamblin et les autres. Enfin, ils sont tous trĂšs bon et trĂšs drĂŽle. Et pour finir, la Bo de ce film est juste Ă©norme car c’est des musiques des annĂ©es 90 entre du MylĂšne Farmeur, Boney M... juste extra. Voila, une comĂ©die culte et amusante des annĂ©es 90. Vraiment, on rigole de bout en bout, les personnages sont haut en couleur drĂŽle et attachant. L’homosexualitĂ© est montrĂ© de façon juste, amusante et loufoque et vraiment, on passe un bon moment a rigolĂ©. Quelle bouse!L'humour et le mauvais goĂ»t ne font pas souvent bon mĂ©nage. John Waters, les frĂšres Farrelly ou encore Judd Apatow les font cohabiter avec beaucoup de chez Aghion il y a juste du mauvais goĂ»t en quantitĂ© et aucun humour. Ah! Une comĂ©die française traitant de l'homosexualitĂ©! Tout cela va ĂȘtre dans la finesse, l'intelligence et l'intelligence... C'est du moins ce que l'on aimerait penser, et mĂȘme si tout cela parait bien improbable. Mais tout de mĂȘme pas au point d'imaginer un tel naufrage, faisant presque passer "La Cage aux folles" pour du Lubitsch, c'est dire! Car que de grossiĂšretĂ©s, d'hystĂ©rie, de bĂȘtise satisfaite transpirant de long en large durant cette soi-disant comĂ©die "acerbe". HĂ©las, Gabriel Aghion n'est restĂ© qu'au stade du machisme primaire, les dialogues se faisant d'une rare indigence et les diffĂ©rents rapports entre les personnages des plus affligeants. Et que dire de certaines scĂšnes, dĂ©passant indiscutablement le stade du soutenable. MĂȘme les acteurs semblent perdus dans cette ocĂ©an de nullitĂ©, chacun jouant son rĂŽle caricatural sans Ăąme et sans inspiration Ă  l'exception peut-ĂȘtre de Timsit, pourtant pas gĂątĂ© ici. Mais Ă©crire plus longtemps sur ce film serait lui donner trop d'importance, car vous l'aurez bien compris, "PĂ©dale douce" rien que le titre vous donne les sommets de subtilitĂ© auquels on pouvait s'attendre... est un navet comme on a rarement l'occasion de voir, et qu'il vous faudra donc Ă©viter comme la peste. Vous voila prĂ©venus! A ce qu'il paraĂźt, "PĂ©dale douce" est une comĂ©die. On cherche toujours Ă  quel moment il fallait rire. C'est vulgaire, pas drĂŽle, ennuyeux. Et dire qu'il y a eu une suite... , il ne me tarde pas de la voire ! Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse Depuislongtemps, Patrick Timsit donne le sourire avec ses blagues caustiques parfaitement assumĂ©es. L'humoriste est de retour sur scĂšne, oĂč il renoue avec sa veine corrosive et
émissions culturelles 50 min tous publics diffusé le sam. à 10h00 disponible jusqu'au réalisé par Patrick Timsitprésenté par Catherine Ceylacavec Patrick Timsit Catherine Ceylac brosse un portrait intimiste de Patrick Timsit, au Théùtre du Rond-Point jusqu'au 22 février avec son spectacle On ne peut pas rire de tout». nous contacter aide et contact contactez-nous par téléphone, courrier, email ou facebook. du lundi au vendredi de 09h00 à 18h00. Télécharger l'application France tv
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PatrickTimsit sera, ce vendredi 7 octobre, au Diapason de Saint- Marcellin, le temps de nous dire pourquoi “On ne peut pas rire de tout”. Seul en
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BA- PATRICK TIMSIT ON NE PEUT PAS RIRE DE TOUT. C8 Communication. 0:34. Patrick Timsit On ne peut pas rire de tout - 3 mars. Tele-Loisirs.fr. 0:41. Formation des infirmiĂšres en 3 jours : "Des ï»żPatrick Timsit On ne peut pas rire de tout ComĂ©die 2015 1 h 21 min myCANAL Depuis longtemps, Patrick Timsit donne le sourire avec ses blagues caustiques parfaitement assumĂ©es. L'humoriste est de retour sur scĂšne, oĂč il renoue avec sa veine corrosive et mordante. Rien n'Ă©chappe Ă  son ironie cinglante. Il aime bousculer le public ComĂ©die 2015 1 h 21 min myCANAL Tout public À propos Patrick Timsit On ne peut pas rire de tout COMÉDIE Depuis longtemps, Patrick Timsit donne le sourire avec ses blagues caustiques parfaitement assumĂ©es. L'humoriste est de retour sur scĂšne, oĂč il renoue avec sa veine corrosive et mordante. Rien n'Ă©chappe Ă  son ironie cinglante. Il aime bousculer le public Informations Genre ComĂ©die Sortie 2015 DurĂ©e 1 h 21 min ClassĂ© Tout public SuivreL'affiche du spectacle de Patrick Timsit, qui le montre accrochĂ© Ă  une bombe, a suscitĂ© de vives rĂ©actions. Le dessin a Ă©tĂ© censurĂ© par le groupe d'affichage Jean InĂ©dit Ă  la tĂ©lĂ©, Marie-Francine est diffusĂ© ce soir, dimanche 25 juillet Ă  21h05 sur TF1. ValĂ©rie Lemercier se met en scĂšne dans cette comĂ©die dramatique sur la crise de la quarantaine dans laquelle on retrouve Ă©galement Patrick Timsit. Étant donnĂ© que les personnes qui traversent la crise de la quarantaine prĂ©fĂšrent peut-ĂȘtre passer sous silence le fait que tout n’est plus qu’amusement, jeux et peau tendue, il semble presque appropriĂ© que la dramĂ©die française aigre-douce – l’accent est mis sur l’amertume – Marie-Francine est vendue comme quelque chose de plus simple et de plus attrayant une comĂ©die populaire directe. Cela dit, la vĂ©ritable raison de cet appĂąt marketing tient probablement davantage au fait que la rĂ©alisatrice, la vedette et la coscĂ©nariste ValĂ©rie Lemercier est surtout connue pour ses rĂŽles dans des divertissements grand public, notamment Les Visiteurs, AstĂ©rix et ObĂ©lix Au service de Sa MajestĂ© et Le petit Nicolas. Et que sa derniĂšre rĂ©alisation en tant que rĂ©alisatrice, 100% cachemire, qui tentait Ă©galement de fusionner diffĂ©rents genres, n’a pas Ă©tĂ© bien accueillie par la critique et le grand public. Le pari semble avoir portĂ© ses fruits cette fois-ci, puisque cette modeste comĂ©die romantique sur la crise de la quarantaine est devenu le succĂšs inattendu de la saison 2017, avec une augmentation de 23 % des ventes de billets au cours du quatriĂšme week-end. Le dĂ©compte final avoisinait les 900 000 entrĂ©es en France, oĂč les titres purement grand public sont considĂ©rĂ©s comme un succĂšs s’ils franchissent la barre du million. Les distributeurs habituĂ©s Ă  commercialiser des films français auprĂšs d’un public plus ĂągĂ© Ă  l’étranger devraient y jeter un Ɠil, tandis que les droits de remake pourraient intĂ©resser les producteurs avisĂ©s Ă  la recherche de films fĂ©minins destinĂ©s Ă  une tranche d’ñge encore mal desservie. MARIE-FRANCINE - Bande-annonce Au dĂ©but de l’acte deux de Marie-Francine, Marie-Francine ValĂ©rie Lemercier, 50 ans, chercheuse en chimie au chĂŽmage, a ouvert une boutique de cigarettes Ă©lectroniques sur l’insistance de ses parents petits-bourgeois bien intentionnĂ©s mais autoritaires HĂ©lĂšne Vincent, Philippe Laudenbach. Marie-Francine s’est installĂ©e temporairement chez eux aprĂšs que son mari, l’ennuyeux et un peu triste Emmanuel Denis Podalydes, l’a quittĂ©e pour une femme plus jeune la mĂȘme semaine oĂč elle a Ă©tĂ© licenciĂ©e de son travail. Cette configuration simple suggĂšre que le film pourrait ĂȘtre un drame conventionnel ou peut-ĂȘtre une comĂ©die dramatique, et pendant une bonne partie de sa durĂ©e, il semble osciller doucement entre les deux. Mais il y a quelques exceptions, comme le moment incongru oĂč Emmanuel se prĂ©sente Ă  la boutique, mal dĂ©guisĂ© en vieille dame, pour pouvoir parler Ă  Marie-Francine, avec qui il est techniquement toujours mariĂ© mais qui refuse de lui parler depuis leur sĂ©paration brutale. Mais ce qui est fascinant ici, c’est que ValĂ©rie Lemercier, qui a coĂ©crit le film avec Sabine Haudepin, ne joue pas vraiment ce moment pour faire rire. Au contraire, il offre un aperçu du dĂ©sespoir du personnage d’Emmanuel sous cette perruque ridicule. Marie-Francine est peut-ĂȘtre en pleine crise de la quarantaine, vivant chez ses parents et vendant des cigarettes alors qu’elle devrait faire des recherches sur le cancer, mais ce moment montre clairement que son mari volage a lui aussi du mal Ă  gĂ©rer la situation, mĂȘme si – ou peut-ĂȘtre surtout parce qu’il en est en grande partie responsable. Le retour d’une quinquagĂ©naire au domicile parental peut Ă©videmment donner lieu Ă  une comĂ©die pure, mais lĂ  encore, les rires ne sont jamais hilarants et sont souvent accompagnĂ©s d’un malaise ou d’un regret gĂȘnant. Il n’y a rien de la farce d’un film comme Back to Mom’s, qui a fait sensation au box-office l’an dernier, dans lequel une femme de 40 ans retournait vivre chez sa mĂšre, avec des rĂ©sultats hilarants. Ici, ValĂ©rie Lemercier prĂ©fĂšre se concentrer d’abord sur la psychologie crĂ©dible de ses personnages, en faisant comprendre que Marie-Francine ne veut pas ĂȘtre traitĂ©e comme une jeune fille de 14 ans par ses parents, qu’elle ne veut pas faire un travail qui ne l’intĂ©resse pas – elle ne fume mĂȘme pas, du moins pas au dĂ©but – et qu’elle ne veut certainement pas finir seule comme une vieille fille. Elle ne veut pas non plus rester avec un homme pour de mauvaises raisons. Lemercier souligne encore plus l’abattement de son personnage en lui donnant deux filles adolescentes qui sont restĂ©es avec leur pĂšre et deux parents, qui semblent tous assez indĂ©pendants et plutĂŽt heureux. Le film n’a pas non plus de partition originale pour renforcer ses accents comiques, mais s’appuie sur des choix musicaux existants, souvent teintĂ©s de mĂ©lancolie, de la Danse macabre de Saint-SaĂ«ns, au nom morbide, aux chansons de la superstar du fado Amalia Rodrigues. Le fado portugais prĂ©figure Ă©galement l’arrivĂ©e de Miguel Patrick Timsit, un cuisinier d’origine portugaise qui travaille dans le restaurant voisin de la boutique d’e-cigarettes de Marie-Francine et qui commence Ă  lui prĂ©parer tous les jours des petits bols de nourriture fraĂźche pour le dĂ©jeuner lorsqu’il dĂ©couvre qu’elle ne mange pas trĂšs bien. Tous deux ont aussi des secrets Miguel vit toujours chez ses parents, mĂȘme s’il est trop gĂȘnĂ© pour l’avouer Ă  Marie-Francine, et celle-ci a une sƓur jumelle, Marie-NoĂ«lle Ă©galement Lemercier, qu’il confond Ă  un moment avec elle parce qu’il ne sait pas qu’elle existe. Il s’agit dans les deux cas de procĂ©dĂ©s comiques classiques qui pourraient provenir de l’Ɠuvre de quelqu’un comme Goldoni. Mais ici aussi, Lemercier semble plus intĂ©ressĂ© par les effets psychologiques, par exemple, des mensonges de Miguel sur ses conditions de vie que par le potentiel de malentendus et de quiproquos hilarants. Le glissement progressif de l’histoire vers le territoire de la comĂ©die romantique est quelque peu inattendu, mais aussi plutĂŽt charmant, mĂȘme si, comme dans le film prĂ©cĂ©dent de Lemercier, le final fĂ©erique, qui met en scĂšne les deux amants regardant les toits enneigĂ©s de Paris, semble injustifiĂ©. Le public s’attache aux personnages, tous jouĂ©s dans un registre Ă  peine plus stylisĂ© que le rĂ©alisme pur et simple, et souhaite leur bonheur. Mais il est difficile d’accepter une fin aussi claire et heureuse, alors que presque tout le film qui la prĂ©cĂšde semble suggĂ©rer que la vie est bien plus dĂ©sordonnĂ©e, complexe et fascinante. Pour rappel, Marie-Francine est diffusĂ© ce dimanche 25 juillet 2021 Ă  21h05 sur TF1.
Rienn'échappe à l'ironie cinglante de Patrick Timsit, qui aime bousculer son public sans le choquer. Dans ce spectacle, il passe en revue les travers de notre société, égratignant tout le monde au passage. Avec une bonne dose d'autodérision, il endosse tour à tour le rÎle du raciste, du nazi, de l'antisémite, du macho renouant ainsi avec la veine corrosive et le
"On ne peut pas rire de tout" C'est en tout cas ce qu'affirme Patrick Timsit dĂšs le nom de son nouveau spectacle co-Ă©crit avec la complicitĂ© des ex-Guignols de l'Info Bruno Gaccio et Jean-François Halin ! En tout cas, une chose est sĂ»re, c'est que rien ni personne n'Ă©chappe Ă  l'humoriste lorsqu'il monte sur scĂšne de la misogynie au racisme, en passant par l'homophobie, l'anti-sĂ©mitisme et plus gĂ©nĂ©ralement la bĂȘtise humaine, tout y passe ! Bref, amateurs du politiquement correct, autant passer votre chemin... Mais au-delĂ  des textes cinglants, le comĂ©dien se dĂ©fend de faire de la provocation durant son spectacle il apparaĂźt effectivement sur scĂšne d'une incroyable finesse et d'une belle intelligence dans ses propos. De quoi nous faire dire "On ne peut pas rire de tout... Mais on devrait !" A vĂ©rifier lors d'une sĂ©rie de reprĂ©sentations de Patrick Timsit au Théùtre de la GaitĂ© Montparnasse Ă  partir du 15 septembre prochain et jusqu'au 2 janvier 2016 et Ă  rĂ©server dĂšs maintenant sur Infoconcert ! PATRICK TIMSIT en spectacle info & rĂ©servation
Lhumoriste et comĂ©dien prĂ©sentait son spectacle "On ne peut pas rire de tout". A la une Actu Sport Humour Femmes Jeunesse People "On ne peut pas rire de tout" selon Patrick Timsit. par franceinfo. info. signaler VidĂ©o suivante dans 5 secondes. vidĂ©os similaires lecture auto OUI NON. 01:41. Peut-on rire de tout ? 10:47. Patrick Timsit : "On va continuer Ă  ĂȘtre drĂŽle, c'est
SynopsisBande-annonceCastingTitre original Patrick Timsit On ne peut pas rire de tout à Pleyel»Année de production 2016Pays France Genre Spectacle - One-man show Durée 90 min. Synopsis Rien n'échappe à l'ironie cinglante de Patrick Timsit, qui aime bousculer son public sans le choquer. Dans ce spectacle, il passe en revue les travers de notre société, égratignant tout le monde au passage. Avec une bonne dose d'autodérision, il endosse tour à tour le rÎle du raciste, du nazi, de l'antisémite ou du macho, renouant ainsi avec la veine corrosive et le mordant qu'on lui a toujours connu, avec l'aide de deux anciens auteurs des Guignols» Jean-François Halin et Bruno Gaccio Bande-annonce Vous regardez Patrick Timsit On ne peut pas rire de tout». Votre bande-annonce démarrera dans quelques secondes. Casting de Patrick Timsit On ne peut pas rire de tout» Réalisateur
PatrickTimsit revient avec un nouveau one man show intitulé « On ne peut pas rire de tout ». Depuis de nombreuses années, Patrick Timsit nous donne le sourire, avec cet humour caustique et décalé parfaitement assumé. Corrosif et mordant, il ne lùche pas ses proies. Jean-François Halin et Bruno Gaccio, deux des trois auteurs de la
Patrick Timsit revient avec son nouveau spectacle coĂ©crit avec ses complices de toujours Jean-François Halin et Bruno et cinglant, il joue avec le feu et fait rire avec ce qui fait mal. Avec une bonne dose d’autodĂ©rision, il aime jouer les sales types » le raciste, le nazi, l’antisĂ©mite, le macho etc et n'Ă©pargne parant de fausse naĂŻvetĂ© pour suggĂ©rer des thĂšmes et en jauger les limites, il pose les bases d'un seul-en-scĂšne qui se construit avec le public et dĂ©montre que l'on peut rire de tout, ce qui est important c'est la façon dont on en rit».AprĂšs son Ă©norme succĂšs au Théùtre du Rond-point, Patrick Timsit sera Ă  la GaĂźtĂ© Montparnasse Ă  partir du 15 septembre ne peut pas rire de tout... sauf avec Patrick Timsit !VIDEOS patricktimsit dans on ne peut pas rire de tout SALLE PLEYEL, Paris Show, Spectacle, ComĂ©die PATRICK TIMSIT – ON NE PEUT PAS RIRE DE TOUT A Timsit – On ne peut pas rire de tout Ă  Spectacle, ComĂ©dieFilm FranceRĂ©alisĂ© par Marc-Antoine Helard en 2016Avec Patrick TimsitDurĂ©e 1h32minDate de sortie 2016-01-01Synopsis et dĂ©tailsRare et imprĂ©visible, Patrick Timsit revient avec un nouveau spectacle coĂ©crit avec ses complices de toujours Jean-François Halin et Bruno Gaccio. Caustique, dĂ©calĂ©, cinglant, il n'Ă©pargne personne, joue avec le feu et fait rire avec ce qui fait mal. Souriant et dĂ©complexĂ©, prĂȘt Ă  en dĂ©coudre avec le consensus, Timsit lance le dĂ©bat Peut-on rire de tout ?_________________ PrĂ©voyez le pire, le meilleur viendra toujours. BEN. BenRang AdministrateurNombre de messages 6786Age 61Localisation d'inscription 17/12/2008 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Lhumoriste est au Théùtre de la Gaité Montparnasse pour son spectacle :"On ne peut pas rire de tout" jusqu'au 3 janvier 2016. Entrée Libre l'a rencontré pou
Centre Culturel La Passerelle 50, Avenue de Lorraine 57190 FLORANGE, FRANCE 03 82 59 17 99Cette adresse e-mail est protĂ©gĂ©e contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. PATRICKTIMSIT - On ne peut pas rire de tout (moyenne sur 29 notes) TEXTE(S) de Bruno Gaccio, Jean-François Halin et Patrick Timsit. Rare et imprĂ©visible, il revient. Patrick Timsit, boomerang de la contradiction, fait volte-face dans les marĂ©cages de la bien-pensance. Ça Ă©clabousse. Caustique, dĂ©calĂ©, cinglant, il n’épargne personne, joue avec le feu, fait rire avec Spectacle Festival Humours d'Hivers Les Fuseaux accueillent Patrick Timsit, dans le cadre du festival Humours d'Hivers, samedi 17 janvier 2015 Ă  20h30 Ă  Saint-Dizier. Spectacle coĂ©crit avec Jean-François Halin et Bruno Gaccio. Patrick Timsit revient avec un nouveau one man show intitulĂ© On ne peut pas rire de tout ». Depuis de nombreuses annĂ©es, Patrick Timsit nous donne le sourire, avec cet humour caustique et dĂ©calĂ© parfaitement et mordant, il ne lĂąche pas ses proies. Jean-François Halin et Bruno Gaccio, deux des trois auteurs de la grande Ă©poque des Guignols de l’Info, participent au jeu de massacre. Ils cosignent des textes saignants et n’épargnent personne ! Regard social et oeil malicieux, il rapplique en trublion d’une sociĂ©tĂ© engluĂ©e dans un politiquement correct plus visqueux que jamais. Souriant et dĂ©complexĂ©, prĂȘt Ă  en dĂ©coudre avec le consensus, attendez-vous Ă  rire de tout avec Patrick Timsit !
SPECTACLE/ On ne peut pas rire de tout sauf avec Patrick Timsit ! :
Patrick Timsit - On ne peut pas rire de tout, nouveau spectacle de Patrick Timsit au Théùtre du Rond-Point à Paris le 19 janvier 2015.
Onn'est pas couchĂ© - Sur Twitter #ONPC. En dĂ©but d'Ă©mission, Laurent Ruquier et son Ă©quipe, entourĂ©s de Patrick Pelloux et Philippe Geluck, rendent hommage Ă  «Charlie Hebdo». Patrick Timsit Ă©voque ensuite son spectacle «On ne peut pas rire de tout», co-Ă©crit avec Bruno Gaccio et Jean-François Halin. MĂ©lanie Thierry et Stanley Weber parlent de la piĂšce «Anna Christie», Ce week-end sur C8, samedi 1er octobre Ă  18h55, nouveau numĂ©ro de Salut les terriens. Thierry Ardisson reçoit Jean-François CopĂ©, dĂ©putĂ© maire Les RĂ©publicains de Meaux, candidat Ă  la primaire de la droite et du centre. Patrick Timsit, en tournĂ©e avec dans On ne peut pas rire de tout ». Imany, chanteuse, dernier album The Wrong King of War ». Pour dĂ©battre de la question Faut-il ouvrir des quartiers naturistes dans les grandes villes ? », Jacques Frimon, vice-prĂ©sident de l’Association pour la promotion du naturisme en libertĂ© et Eric AziĂšre, conseiller de Paris et prĂ©sident du groupe UDI Modem du Conseil de Paris. Natascha Kampusch, auteure de Dix ans de libertĂ© » JC LattĂšs sera Ă©galement rpĂ©sente. Et quiz dans lequel s’affrontent, d’un cĂŽtĂ© DaphnĂ© BĂŒrki et Marie Portolano, de l’autre Willy Rovelli et Tom Villa. Pour cette onziĂšme saison, on retrouve aussi les magnĂ©tos de Blako », StĂ©phane Guillon pour sa chronique Guillon 2017 » et Tom Villa. CrĂ©dit photo © Maxime Bruno - C8.
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