celivre est le tĂ©moignage dâun ancien cĆur profondĂ©ment malade et souffrant qui a su parvenir Ă lâapaisement et lâĂ©panouissement, il vous offre de lâespoir, de la bienveillance, de la douceur et beaucoup dâamour. Ă travers lâencre de ma plume, j'espĂšre que tu parviendras Ă ton tour Ă apprendre Ă te connaĂźtre, Ă te comprendre, Ă te soutenir, ĂCOMBAT SPIRITUEL PRATIQUE PAR LA PRIERE Par Zacharias Tanee Fomum © 1990 Z. T. Fomum EditĂ© par l'unitĂ© de l'Ă©dition Ă©lectronique du ministĂšre du livre de la CommunautĂ© Missionnaire ChrĂ©tienne Internationale ztfbooks Titre anglais Practical Spiritual Warfare Through Prayer © 1990 Z. T. Fomum Tous Droits RĂ©servĂ©s TABLE DES MATIERES PREFACE INTRODUCTION INTRODUCTION QUELQUES PENSEES SUR LA PRIERE LE MANQUE DE PRIERE CE QUE SATAN FAIT POUR EMPECHER CERTAINS CROYANTS DE PRIER CONNAIS TON ENNEMI, ET NE COMBATS QUE LUI BATIR UNE HAIE BATIR UNE HAIE BATIR UNE HAIE AUTOUR DE SOI-MEME BATIR UNE HAIE AUTOUR DE SA MAISON BATIR UNE HAIE AUTOUR DE SES POSSESSIONS BATIR UNE HAIE AUTOUR DE SON POINT DE FORCE BATIR UNE HAIE AUTOUR DE SON POINT DE FAIBLESSE BATIR UNE HAIE AUTOUR DE SA PENSEE BATIR UNE HAIE AUTOUR DES AUTRES LA PROTECTION DU FRERE ZACHARIAS TANEE FOMUM ATTAQUER LâATTAQUANT DâABORD LA PUISSANCE DES EFFECTIFS LA PUISSANCE DES EFFECTIFS - 1 LA PUISSANCE DES EFFECTIFS -2 LA PUISSANCE DES EFFECTIFS - 3 LES ANGES DANS LE COMBAT SPIRITUEL LES ANGES DANS LE COMBAT SPIRITUEL PRATIQUE PAR LA PRIĂRE -1 LES ANGES DANS LE COMBAT SPIRITUEL PRATIQUE PAR LA PRIĂRE -2 VOIR, ENTENDRE, ET PARLER DANS LE CONFLIT SPIRITUEL ELISEE ET LE ROI DE SYRIE DEMANDER LA VUE SPIRITUELLE-1 DEMANDER LA VUE SPIRITUELLE -2 LâOUVERTURE DES YEUX -1 LâOUVERTURE DES YEUX-2 LA FERMETURE DES YEUX LâOUVERTURE DES OREILLES LA FERMETURE DES OREILLES LâOUVERTURE DE LA BOUCHE LA FERMETURE DE LA BOUCHE PRESSER DE LâAVANT JUSQUâA LA VICTOIRE LâEXTĂRIEUR ET LâINTĂRIEUR PRESSER DE LâAVANT JUSQUâA LA VICTOIRE PRIE OU PERIS -1 PRIE OU PĂRIS - 2 TRES IMPORTANT ! AUTRES LIVRES DU MEME AUTEUR - 0 - PREFACE Ce livre, Le Combat Spirituel Pratique Par La PriĂšre, est le septiĂšme dans la sĂ©rie sur La PriĂšre. Les livres de cette sĂ©rie qui ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© Ă©crits sont Le Chemin de la PriĂšre Victorieuse. Le MinistĂšre du JeĂ»ne. LâArt de lâIntercession. La Pratique de lâIntercession. Prier Avec Puissance. Mouvoir Dieu Par la PriĂšre Le Combat Spirituel Pratique Par la PriĂšre. Le MinistĂšre de Louange et dâActions de GrĂąces. Le MinistĂšre de la supplication. SâAttendre Ă Dieu Dans la PriĂšre. Les six premiers livres ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© Ă©ditĂ©s par Christian Publishing House BP 7100 YaoundĂ©, Cameroun. Le septiĂšme livre de la sĂ©rie est dans tes mains. Que Le Seigneur te bĂ©nisse abondamment pendant que tu le lis et quâIl te conduise dans de plus profonds languissements aprĂšs Lui et dans de plus profondes poursuites de Lui. Puisse-t-Il ouvrir les yeux de ton esprit pour que tu voies ce quâest le combat spirituel et le rĂŽle critique de la priĂšre dans le conflit spirituel. Puisse-t-Il te conduire dans une vie de priĂšre sans cesse et puisse-t-Il te rendre capable dâanĂ©antir les plans et les desseins du diable. Si tu as Ă©tĂ© bĂ©ni par la lecture de ce livre, tu pourrais dĂ©sirer lire les livres prĂ©cĂ©dents et peut-ĂȘtre aider quelquâun dâautre Ă les lire. Ne le ferais-tu pas ? Que Dieu te bĂ©nisse abondamment. YaoundĂ©, le 28 avril 1990 Zacharias Tanee Fomum, YaoundĂ© Cameroun Premiere Partie INTRODUCTION - 1 - INTRODUCTION Une guerre est en cours. Cette guerre se passe entre le Dieu du ciel et le diable qui est le prince de ce monde. Chaque croyant naĂźt dans le conflit, car le diable aimerait, sâil le pouvait, que chaque ĂȘtre humain soit perdu. Chaque croyant est aussi nĂ© pour le conflit. Chaque pensĂ©e, parole ou action du croyant avance soit le royaume de Dieu, soit celui de Satan. Aucune pensĂ©e, parole ou action nâest neutre. Seconde aprĂšs seconde, minute aprĂšs minute et heure aprĂšs heure, chaque personne est en train de contribuer par tout ce quâelle fait, Ă lâavancement de lâun des deux royaumes. Satan veut faire tout le mal quâil peut. Il attaquera tout ce quâil peut attaquer; et lorsquâil attaque, il dĂ©truit tout ce quâil peut. Le croyant a donc besoin dâĂȘtre alerte, de dĂ©fendre son territoire et de combattre en retour contre le diable. Il faut quâil le fasse, si non, il souffrira terriblement, car le diable est sur lâoffensive. Cependant, le croyant nâa pas besoin de sâinquiĂ©ter et de dĂ©sespĂ©rer. Il faut quâil confronte lâEnnemi. Il faut quâil confronte lâEnnemi, non Ă partir dâune position de crainte, mais Ă partir dâune position de victoire. Nous savons Ă partir de la Parole que Celui qui est en nous est plus grand que celui qui est dans le monde. LĂ©onard Ravenhill a bien exprimĂ© cela lorsquâil dit Quand Satan chuta, il entraina avec lui un tiers de lâarmĂ©e cĂ©leste. Ainsi, au chrĂ©tien sâopposent le monde, la chair et le diable, plus le tiers de ce qui Ă©tait lâarmĂ©e cĂ©leste. Pour le chrĂ©tien sont le PĂšre, le Fils, le Saint-Esprit, et les deux-tiers de lâarmĂ©e cĂ©leste, plus les priĂšres de plusieurs amis et les promesses illimitĂ©es de lâinchangeable et indestructible Parole du Dieu vivant. LâĂ©quilibre des forces est grandement du cĂŽtĂ© du saint. Puissions-nous nous Ă©lever au dessus de notre christianisme juvĂ©nile, de telle sorte quâĂ©tant armĂ©s de la panoplie de Dieu et pillant le territoire du diable, sa majestĂ© satanique doive dire JĂ©sus, je connais, et Paul je connais, et les chrĂ©tiens aujourdâhui sont en train de mâeffrayer en dĂ©couvrant un secret perdu de lâĂglise Primitive La priĂšre, la foi et la hardiesse couverteS par le sang ". Sodom had no Bible, Bethany Fellowwship, Minneapolis. Bien que lâĂ©quilibre des forces soit du cĂŽtĂ© du saint, le saint passif dĂ©couvrira bientĂŽt que Dieu exaucera ses priĂšres, mais ne priera pas Ă sa place. Il faut que tous les saints se lĂšvent et livrent la guerre contre lâEnnemi, et combattent jusquâĂ lâintĂ©rieur du royaume des tĂ©nĂšbres. Ils ne doivent pas seulement livrer une guerre dĂ©fensive. Ils doivent attaquer lâEnnemi, si possible porter le combat jusquâen enfer. Jâai Ă©tĂ© trĂšs sĂ©vĂšrement attaquĂ© par Satan pendant que jâĂ©crivais ce livre. CâĂ©tait comme si tout lâenfer sâĂ©levait contre moi pour que je nâĂ©crive pas le livre. Jâai Ă©tĂ© prĂšs de la mort pendant que je mâefforçais dâachever ce livre. Ma femme et mes enfants ont Ă©tĂ© attaquĂ©s tout au long. Ce nâest que par la grĂące de Dieu et lâapplication des choses Ă©crites dans ce livre que nous sommes parvenus Ă ce niveau de la rĂ©daction. Pendant que tu lis, mets-toi Ă lâabri sous le sang de lâAgneau. Il y a des domaines de combat spirituel qui, dĂ©libĂ©rĂ©ment, nâont pas Ă©tĂ© touchĂ©s. La raison en est que soit ils ont Ă©tĂ© traitĂ©s dans nos livres La DĂ©livrance de lâemprise des DĂ©mons et Le chemin du combat spirituel, soit ils seront traitĂ©s dans la sĂ©rie Le Renversement des PrincipautĂ©s et Puissances. Nous publions ce livre en priant que Dieu le PĂšre, le Fils et le Saint-Esprit, soit content de lâutiliser pour bĂ©nir certains de Ses enfants. A Lui soient tout lâhonneur et la gloire. Amen. - 2 - QUELQUES PENSEES SUR LA PRIERE La priĂšre est la dynamite. Il nây a aucune arme forgĂ©e contre la priĂšre qui puisse la neutraliser. Certaines choses peuvent retarder les rĂ©ponses Ă la priĂšre, mais rien ne peut arrĂȘter le plein dessein de Dieu. La seule opĂ©ration de sauvetage qui nâĂ©choue jamais est la priĂšre. Du fait que le diable veut attaquer chaque personne créée par Dieu, et parce quâil attaquera partout oĂč il ne voit pas une haie bĂątie pour protĂ©ger la personne, il faut quâune haie soit bĂątie dans la priĂšre autour de chaque personne. Parce que les attaques les plus fĂ©roces du diable sont lancĂ©es contre les dirigeants spirituels, il faut quâune haie soit bĂątie autour de chaque dirigeant spirituel. Parce que le diable veut attaquer chaque projet qui a son origine en Dieu, il faut quâune haie soit bĂątie dans la priĂšre autour de chaque projet donnĂ© par Dieu. Parce que le diable pourrait attaquer Ă nâimporte quel moment, et parce quâil faut quâune haie soit bĂątie dans la priĂšre avant quâil nâattaque, chaque moment est un moment de priĂšre. Parce que le diable pourrait attaquer Ă nâimporte quel moment, et parce quâil faut quâil soit attaquĂ© avant quâil nâattaque, et parce que lâarme la plus puissante contre lui est lâarme de la priĂšre, ceux qui veulent gagner doivent prier en tout temps. Le diable est prĂȘt Ă attaquer Ă nâimporte quel endroit dans une voiture, au lit, dans la salle de bain, au bureau, et partout ailleurs. il est prĂȘt Ă attaquer pendant quâon est en train de manger, de boire, de courir, et en tout lieu. Ceci Ă©tant le cas, ceux qui lui rĂ©sisteront doivent faire de chaque lieu un lieu de priĂšre. Chaque nouvelle victoire dans laquelle un croyant entre doit ĂȘtre protĂ©gĂ©e dans la priĂšre. Si elle nâest pas protĂ©gĂ©e, lâEnnemi pourrait lâattaquer et provoquer sa perte. Chaque rĂ©vĂ©lation fraĂźche de la part du Seigneur doit ĂȘtre protĂ©gĂ©e dans la priĂšre. Chaque plan pour prier doit ĂȘtre protĂ©gĂ© dans la priĂšre. Chaque terrain dĂ©jĂ gagnĂ© dans la priĂšre doit ĂȘtre protĂ©gĂ© dans la priĂšre. Si cela nâest pas fait, on peut gagner du terrain aujourdâhui et le perdre demain, si bien quâune personne demeure au mĂȘme niveau spirituel, bien quâelle investisse du temps dans la priĂšre. Tous les plans de jeĂ»ne doivent ĂȘtre protĂ©gĂ©s dans la priĂšre. Sâils ne sont pas protĂ©gĂ©s, lâEnnemi pourrait les voler, en laissant ainsi la personne qui voulait jeĂ»ner trop occupĂ©e, ou trop fatiguĂ©e, ou trop malade pour jeĂ»ner. Il peut mĂȘme ĂŽter le dĂ©sir de jeĂ»ner, de façon que la personne perde complĂštement la motivation Ă jeĂ»ner. Il faut que le diable soit chassĂ© de chaque sainte convocation Les batailles de priĂšre sont les batailles les plus redoutables qui aient jamais Ă©tĂ© entreprises dans lâhistoire. LâEnnemi sait que si les saints prient comme ils doivent le faire, et sâils ne font presque rien dâautre, son royaume sera anĂ©anti et le royaume de Dieu sera pleinement Ă©tabli Le diable sait que si les saints prient comme ils doivent le faire, ils ne feront pas suivre leur priĂšre par lâoisivetĂ©, mais par toute autre chose qui leur a Ă©tĂ© commandĂ©e par le Seigneur, et la faire de la maniĂšre quâIl veut quâelle soit faite La priĂšre fait que la convoitise qui est dans le monde perde son emprise sur le cĆur dâun homme. La priĂšre ĂŽte la fausse attraction du monde afin quâil soit vu pour ce quâil est un systĂšme dĂ©jĂ jugĂ© par le Fils de Dieu. La priĂšre implante lâamour de Dieu dans le cĆur dâun homme et extirpe du cĆur lâamour du monde! JĂ©sus enseigna Priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation Luc 22 46. Les prudents prennent garde Ă Son conseil. La priĂšre rend Ă©vidente la sĂ©duction de la tentation Ă lâĂąme qui prie et Ă lâĂąme pour qui lâon prie. Ceux qui ne prient pas ont dĂ©cidĂ© de tomber dans la tentation. Le diable se tient loin du saint de priĂšre. Le diable ne rĂ©ussit quâau cours des moments de manque de priĂšre. La priĂšre permet Ă la conscience, Ă la communion et Ă lâintuition du croyant de devenir pleinement alertes. La priĂšre pousse lâesprit de lâhomme Ă rĂ©pondre plus spontanĂ©ment Ă la volontĂ© de Dieu. La premiĂšre chose que fit JĂ©sus sur la croix fut de prier. La derniĂšre chose que fit JĂ©sus sur la croix fut de prier. Suis Son exemple, commence et termine chaque chose dans la priĂšre. Amen. - 3 - LE MANQUE DE PRIERE Les missionnaires qui ne prient pas sont des envoyĂ©s du diable. Les Ă©vangĂ©listes qui ne prient pas sont des acteurs de lâenfer Les pasteurs qui ne prient pas sont des alliĂ©s efficaces du diable. Les enseignants qui ne prient pas servent le dessein du diable pendant quâils accomplissent leurs ministĂšres qui bientĂŽt sâavĂšreront ĂȘtre leurs ministĂšres. au lieu dâĂȘtre Son ministĂšre» Ă travers eux. Le manque de priĂšre est un pĂ©chĂ© plus grand que lâidolĂątrie. Le manque de priĂšre est un pĂ©chĂ© plus grand que lâadultĂšre ou la fornication. Le manque de priĂšre est un pĂ©chĂ© plus grand que la convoitise. Le manque de priĂšre est un pĂ©chĂ© plus grand que le vol. Le manque de priĂšre est un pĂ©chĂ© plus grand que lâorgueil. Le manque de priĂšre est un pĂ©chĂ© plus grand que la sorcellerie. Le manque de priĂšre est un pĂ©chĂ© plus grand que la mĂ©chancetĂ©. Le manque de priĂšre est le pire des pĂ©chĂ©s quâun croyant puisse commettre. Le manque de priĂšre est le premier pĂ©chĂ© quâune personne commet. AprĂšs quâune personne a commis le pĂ©chĂ© de manque de priĂšre, il nây a pas de pĂ©chĂ© quâil ne puisse commettre. Le diable pousse les croyants qui ne prient pas Ă commettre toutes sortes de pĂ©chĂ©s et il utilise ces pĂ©chĂ©s pour les lier afin quâils ne puissent pas voir la gravitĂ© de leur pĂ©chĂ© et se repentir. Le manque de priĂšre est la porte dâentrĂ©e de tous les pĂ©chĂ©s. Tous les pĂ©chĂ©s conduisent individuellement au manque de priĂšre. Les gĂ©nĂ©raux les plus ridicules sont ceux qui se sont retirĂ©s des batailles de priĂšre. Si tu rencontres un croyant qui ne prie pas, crains-le, car il nây a aucun mal quâil ne pourrait pas vouloir te faire. Le manque de priĂšre est la coopĂ©ration active avec Satan. La façon la plus rapide dâobtenir une promotion dans lâarmĂ©e du diable est dâattaquer les saints qui prient. Le plus grand pĂ©chĂ© que lâĂglise a commis depuis quâelle est nĂ©e a Ă©tĂ© le pĂ©chĂ© de manque de priĂšre. Le diable sâassure que la priĂšre est laissĂ©e au saint le plus faible et le plus ignorant. Le diable attaque avec fermetĂ© le dĂ©sir de prier et gagne, Ă moins quâon ne lui rĂ©siste. Le diable attaque les moments de priĂšre avec les armes les plus lourdes et les plus puissantes. Chaque percĂ©e que lâennemi a eu dans chaque vie lâa Ă©tĂ© premiĂšrement en poussant cette vie Ă ne pas prier. Si le diable ne peut pas empĂȘcher les gens de se rĂ©unir pour prier, il ira Ă la rĂ©union et sâassurera que le dirigeant prĂȘche, exhorte, explique de nouvelles rĂ©vĂ©lations au lieu de conduire les gens Ă prier. Le diable sâassure que lorsquâun homme devient mĂ»r et commence Ă passer du temps dans les champs de bataille critiques de la priĂšre, il lui ouvre une porte dans les champs du monde et lâenvoie dehors afin quâil fasse toute autre chose, sauf la priĂšre. Ainsi, les champs de bataille les plus critiques de la priĂšre sont abandonnĂ©s au profit des champs de bataille les moins critiques de la prĂ©dication, de lâenseignement, du pastorat et de toute autre chose. Ainsi, loin du lieu de priĂšre, lâennemi se rassure que la prĂ©dication, lâenseignement et le pastorat, et toute autre chose sont faits sans ĂȘtre enracinĂ©s dans la priĂšre et par consĂ©quent, sont de nulle valeur. Toute Ă©vangĂ©lisation sans priĂšre aboutit Ă lâendurcissement des cĆurs ou Ă des repentances superficielles et des conversions contrefaites. Tout ceci profite au Ă©vangĂ©lisation sans priĂšre est du diable. Elle fait avancer sa cause; par consĂ©quent, il lâencourage. Tout enseignement sans priĂšre conduira Ă la vĂ©ritĂ© qui peut ĂȘtre comprise dans la pensĂ©e, mais qui ne captive jamais le cĆur, et ce faisant, ne peut le conduire Ă lâobĂ©issance. Il est facile de dĂ©tecter des gens qui se sont assis sous un ministĂšre de la Parole sans priĂšre. Leurs tĂȘtes sont remplies de comprĂ©hension; leurs cĆurs sont vides de la crainte de Dieu, et leurs mains, et tout, sont liĂ©s par la dĂ©sobĂ©issance. DĂ©cide que tu ne commettras plus le pĂ©chĂ© de manque de priĂšre. Le sommeil est ce que le diable offre aux hommes paresseux, des hommes sans fardeau, qui disent quâils prient. Lâhomme qui est sous lâemprise dâun rĂ©el fardeau ne peut pas dormir. Une telle personne continue Ă travailler. Le fardeau sur son cĆur dissipe tout sommeil et est capable de dissiper le sommeil pendant plusieurs jours successifs. Quiconque dort pendant la priĂšre doit se blĂąmer dâavoir optĂ© de coopĂ©rer avec le malin. Le Seigneur avait prĂ©venu les disciples de veiller et de prier afin de ne pas tomber dans la tentation. Ils ne prirent pas Son avertissement au sĂ©rieux et peu aprĂšs cela, leur chef renia le Seigneur trois fois. Veille et prie, afin de ne pas toi aussi tomber dans la tentation. Amen. - 4 - CE QUE SATAN FAIT POUR EMPECHER CERTAINS CROYANTS DE PRIER Au cours dâune de nos nuits de priĂšre hebdomadaires de 19h Ă 5h du matin, jâai demandĂ© aux frĂšres dâĂ©crire les choses qui les empĂȘchent de prier comme ils le devraient. Voici ci-dessous certaines des rĂ©ponses DiffĂ©rer les moments de priĂšre, ce qui conduit finalement au manque de priĂšre pendant la plus grande partie de la journĂ©e. Une fatigue accablante pendant le temps de priĂšre. Lâabsence de temps de priĂšre fixes et planifiĂ©s. La prĂ©paration du temps de priĂšre par la rĂ©daction des sujets de priĂšre sans que cela soit suivi par un rĂ©el dĂ©sir de supplier ou dâintercĂ©der. La lecture biblique est prĂ©fĂ©rĂ©e Ă la priĂšre pendant les moments mis Ă part spĂ©cialement pour la priĂšre. La crainte des hommes. Le complexe dâinfĂ©rioritĂ©. Pas de temps prĂ©vu pour la priĂšre dans lâemploi de temps. Le vide dans la pensĂ©e pendant les moments de priĂšre. Quelque chose semble tenir ma bouche fermĂ©e et mâempĂȘche de lâouvrir pendant la priĂšre. Le choix dâune posture dâaise pendant la priĂšre. La pensĂ©e est distraite par des pensĂ©es impures, particuliĂšrement pendant les moments de priĂšre. Une dĂ©cision de prier dans mon cĆur, au lieu de prier Ă haute voix, et qui est immĂ©diatement suivie par le vagabondage de la pensĂ©e sur dâautres choses. Des maladies et douleurs soudaines au moment de priĂšre. Le sommeil. Des visites au moment oĂč je suis sur le point dâentrer dans la chambre de priĂšre. Pas de discipline appliquĂ©e pour penser profondĂ©ment, dĂ©cider des domaines de priĂšre et Ă©crire ensuite les sujets de priĂšre sur le domaine choisi pour la priĂšre. La consĂ©quence de cela est que je saute lĂ©gĂšrement et superficiellement dâun sujet Ă un autre et je me sens bientĂŽt dĂ©couragĂ©, et ensuite jâarrĂȘte. Le manque dâune conscience claire devant Dieu Ă cause dâun pĂ©chĂ© commis et confessĂ©, mais sans que lâassurance du pardon soit reçue. Des aspects prioritaires sont laissĂ©s de cĂŽtĂ© durant la priĂšre, et le temps est investi Ă prier pour des choses secondaires et tertiaires. Une lassitude soudaine, une lourdeur et un fardeau sâabattent soudainement sur moi juste quand lâheure de la priĂšre approche. Le manque de dĂ©sir de prier pendant la priĂšre. Les moments de priĂšre semblent excessivement longs. Un dĂ©sir de prier rapidement et dâen finir, de maniĂšre Ă passer Ă des choses plus intĂ©ressantes. Des pensĂ©es vagabondes. La pensĂ©e constante que la priĂšre est pour les femmes et que jâai besoin de me livrer Ă quelque chose qui est pour les hommes, quelque chose comme la prĂ©dication ou lâenseignement. Lâimpatience. La solitude. Manger avant les moments de priĂšre. Manger un mauvais genre de nourriture, et en de mauvaises quantitĂ©s. Le dĂ©couragement dĂ» au fait que jâai fait trĂšs peu de progrĂšs dans la priĂšre aprĂšs beaucoup dâannĂ©es dans la vie chrĂ©tienne. Lâintrospection qui conduit au dĂ©couragement. Je rĂ©agis contre ceux qui mâexhortent Ă prier Ă haute voix pour que les autres mâentendent pendant la priĂšre en groupe. La paresse. La prĂ©occupation par des choses secondaires qui ne me laissent pas de temps pour lâaspect critique de la priĂšre. Lâinconfort physique. Le sentiment que Dieu est absent. Pas de repos avant lâheure de la priĂšre, et par consĂ©quent, trop fatiguĂ© au cours de la priĂšre. Beaucoup de travail, et une activitĂ© sans repos avant lâheure de la priĂšre. Un manque dâharmonie Ă la maison qui me laisse dans le dĂ©couragement. Oublier les moments de priĂšre et sâen souvenir longtemps aprĂšs. Perdre le fardeau de prier aprĂšs quelques minutes de priĂšre. Douter en me demandant si oui ou non Dieu mâentend. DiffĂ©rer la confession dâun pĂ©chĂ© connu et manquant par consĂ©quent de hardiesse devant Dieu. DiffĂ©rer la rĂ©conciliation avec quelquâun, se sentir par consĂ©quent indigne de prier. Le doute de soi-mĂȘme. Ne pas savoir ce pour quoi prier. La crainte de demander ce qui est hors de la volontĂ© de Dieu. Le manque dâune connaissance profonde de Dieu. Lâamour-propre. Un manque de volontĂ© dâĂȘtre trĂšs proche de lâEternel des armĂ©es. Plusieurs de ces raisons sont tramĂ©es par le diable pour empĂȘcher le saint de prier. Quiconque est sĂ©rieux doit sâassurer quâil nâest pas empĂȘchĂ© de prier par les ruses de lâEnnemi. RĂ©sistez au diable, et il fuira loin de vous Jacques 4 7. Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rĂŽde comme un lion rugissant, cherchant qui il dĂ©vorera. RĂ©sistez-lui avec une foi ferme.1 Pierre 5 8-9 - 5 - CONNAIS TON ENNEMI, ET NE COMBATS QUE LUI Nous avons affaire au combat spirituel. Pour ĂȘtre engagĂ©s dans le combat spirituel, il nous faut connaĂźtre qui est notre ennemi. La Bible dit Car nous nâavons pas Ă lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autoritĂ©s, contre les princes de ce monde de tĂ©nĂšbres, contre les esprits mĂ©chants dans les lieux cĂ©lestes. EphĂ©siens 6 12. Votre adversaire, le diable, rĂŽde comme un lion rugissant, cherchant qui il dĂ©vorera. RĂ©sistez-lui avec une foi ferme.1Pierre 5 8-9. RĂ©sistez au diable, et il fuira loin de vous Jacques 4 7. Notre ennemi, câest le diable. Il est assistĂ© par les dominations, les autoritĂ©s, les princes de ce monde des tĂ©nĂšbres, les esprits mĂ©chants dans les lieux cĂ©lestes, les dĂ©mons, et ainsi de suite. Le diable pourrait utiliser des ĂȘtres humains, mais lâĂȘtre humain ne constitue pas notre ennemi. Nous ne devons pas lutter avec les hommes. Nous ne devons pas haĂŻr les hommes. Nous ne devons pas rĂ©sister aux hommes. Nous devons rĂ©server toutes nos armes contre le diable. Notre ennemi nâest pas le capitalisme ou le communisme ou le socialisme. Notre ennemi, câest le diable. Il pourrait utiliser ces choses, mais ces choses en elles-mĂȘmes ne sont pas lâEnnemi. Il pourrait utiliser le catholicisme, le protestantisme, le pentecĂŽtisme, etc., mais notre ennemi nâest aucune de ces religions. Il pourrait utiliser un Allemand, un AmĂ©ricain, ou un Africain pour accomplir un quelconque de ses desseins, mais ces gens quâil utilise ne constituent pas lâEnnemi. LâEnnemi, câest le diable. Si notre ennemi câest le diable lui-mĂȘme, alors celui qui fera le plus de progrĂšs guerroiera contre le diable et se concentrera sur le diable. Il ne gaspillera pas ses coups ailleurs. Ceux qui, au lieu de lutter contre le diable luttent contre les gens quâil a utilisĂ©s ou quâil est en train dâutiliser, sont inconsciemment tombĂ©s entre ses mains. LE DIABLE OEUVRE POUR SâASSURER QUE LES CROYANTS LIVRENT LA GUERRE LâUN CONTRE LâAUTRE AU LIEU DE LUTTER CONTRE LUI. EN FAISANT CELA, IL EST LIBRE DE CONTINUER A ATTAQUER LES SAINTS. Prenons lâexemple oĂč il pousse un croyant Ă mentir contre un autre croyant. Celui contre qui le mensonge est dit en est mis au courant Untel a dit des mensonges contre toi. Sâil est sage, il dira Satan a attaquĂ© mon frĂšre et lâa vaincu et lâa poussĂ© Ă commettre ce pĂ©chĂ© terrible de mensonge. Il est en mauvaise posture, puisquâaucun menteur nâhĂ©ritera le royaume des cieux. Je vais me venger. Je vais attaquer lâEnnemi. Je vais prier. Il se serait alors mis Ă prier et aurait priĂ© Satan au nom de JĂ©sus, je rĂ©duis Ă nĂ©ant ton activitĂ© dans la vie de mon frĂšre. Tu lâas sĂ©duit Ă mentir. Au nom de JĂ©sus, je mets fin Ă ta sĂ©duction dans sa vie. Au nom de JĂ©sus, je le libĂšre de tes griffes. Il aurait dĂ» continuer Ă prier Au nom de JĂ©sus, je le libĂšre des chaĂźnes de Satan. Mon frĂšre X, Au nom de JĂ©sus, je te libĂšre de la puissance de Satan. Au nom de JĂ©sus, je te donne un cĆur repentant, et au nom de JĂ©sus, je tâimpartis lâesprit de repentance. Il devrait continuer Ă prier Seigneur, mon frĂšre X a Ă©tĂ© attaquĂ© par le diable. Il lâa poussĂ© Ă mentir. Son salut est en jeu, car il peut mourir sans se repentir. Seigneur, dĂ©truis cette Ćuvre de Satan. Seigneur, donne-lui de se repentir. Seigneur ouvre ses yeux pour quâil voie son pĂ©chĂ©. Seigneur donne-lui le don de la repentance et pousse-le Ă voir son pĂ©chĂ©, Ă le confesser, Ă lâabandonner et Ă chercher la restauration de Toi. Seigneur, fais quâaprĂšs sa repentance il accomplisse la restitution nĂ©cessaire. Cette bataille Ă trois niveaux devant le Seigneur, contre le diable et en faveur de la personne portera des rĂ©sultats. Câest ainsi que les choses devraient ĂȘtre, mais ce nâest pas souvent le cas. Souvent, lorsquâun frĂšre entend quâun mensonge a Ă©tĂ© dit contre lui, il oublie que le diable est dans les parages et veut utiliser la situation. Il peut pousser le frĂšre Ă penser ceci "Un mensonge a Ă©tĂ© dit contre moi. Ma rĂ©putation a Ă©tĂ© ternie. Je vais faire quelque chose Ă ce sujet, Je ne verrai plus ce frĂšre. Je ne lui parlerai plus. Je me tiendrai Ă distance. Jâexposerai ses faiblesses. Puisse-t-il ne pas prospĂ©rer, puisse un malheur sâabattre sur lui, afin quâil sache quâil a menti, et ainsi de suite. Pendant que de telles pensĂ©es nĂ©gatives le remplissent, il devient progressivement amer et est hors de contact avec Dieu. Le diable a ainsi sĂ©parĂ© deux personnes de la communion avec Dieu, car il ne peut pas y avoir de communion entre le Seigneur et un homme dont lâesprit est amer, sans pardon et vindicatif. Le diable pourrait continuer Ă Ćuvrer en poussant lâhomme amer Ă dire aux autres ce quâon a dit de lui, et en poussant le menteur Ă rĂ©pandre plus de mensonges. Le rĂ©sultat en est quâon pourrait bientĂŽt avoir une communautĂ© chrĂ©tienne sous la puissance de la mort. Ceci arrive toujours lorsquâun croyant fait dâun autre un ennemi et ne voit pas que câest Satan qui est lâEnnemi. RĂ©serve tes coups Ă lâEnnemi. Il nâest pas de chair et de sang. Il est invisible. Tout ce qui est chair et sang nâest pas lâEnnemi. Cela peut ĂȘtre utilisĂ© par lâEnnemi, mais le vrai DĂ©couvredes vidĂ©os courtes en rapport avec appaise ton coeur et fleuris ton ame sur TikTok. Regarde du contenu populaire des crĂ©ateurs suivants : Jannah đ„·đŒ(@jannah633), Douceur&sabr(@douceurandsabr), Douceur&sabr(@douceurandsabr), Douceur&sabr(@douceurandsabr), yiiong đ(@yiiong). Explore les derniĂšres vidĂ©os des hashtags
de Lilya Ă travers ce livre, le but recherchĂ© est dâessayer dâapporter un temps soi peu de lâespoir, du rĂ©confort, de la bienveillance, de la douceur et beaucoup dâamour aux personnes souffrantes psychologiquement, aux Ăąmes brisĂ©es et mon tĂ©moignage et celui de plusieurs femmes, chacune Ă©tant sur un cheminement diffĂ©rent afin que les personnes qui le liront soient plus aptes Ă sâidentifier. Cela pour but de montrer qu'aucune personne nâest seul et quâun jour ou lâautre toute la peine Ă©prouvĂ©e se dissipera. sur 5 etoiles 487 Ă©valuations Langue FrançaisSortie le 18 mars 2021 ISBN-13 978B08ZBJ4JW6 Ebooks tout-en-un illimitĂ©s au mĂȘme endroit Compte d'essai gratuit pour l'utilisateur enregistrĂ© L'eBook comprend les versions PDF, ePub et Kindle Qu'est-ce que je reçois? Voici les avantages que vous obtiendrez si vous vous inscrivez en tant qu'utilisateur premium Lisez autant d'eBooks! Vous pouvez lire de nombreux ebooks les plus rĂ©cents et les plus rĂ©cents NumĂ©risation sĂ©curisĂ©e Tout le site est sĂ©curisĂ© et protĂ©gĂ© par un antivirus Ă jour Cliquez et lisez-le! Plus besoin d'attendre pour lire des ebooks, c'est instantanĂ© ! Pas de frais de retard ou de contrats fixes Vous pouvez annuler Ă tout moment comme vous le souhaitez Avis des lecteurs Apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. Mahaut Rousseau Livre trĂšs intĂ©ressant et extrĂȘmement agrĂ©able Ă lire Charlotte Sauveterre Se lit avec intĂ©rĂȘt comme tous les prĂ©cĂ©dents livres de cet auteur. Ăliane Desroches TrĂšs bon livre, qui m'a fait retrouvĂ© de l optimisme et donnĂ© beaucoup de belles leçons Livres liĂ©s Apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! epub ebook populaire pdf download ... S'il vous plaĂźt cliquez sur le bouton pour obtenir apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! pdf nouveau livre ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya en ligne ... Ebook PDF complet avec essai, article de recherche apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lire gratuitement ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! TĂ©lĂ©chargement complet ... Ce site contient actuellement plus d'un millier de livres gratuits tĂ©lĂ©chargeables dans divers formats de apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! meilleur livre ... lilya tĂ©lĂ©chargement epub ... Lire en ligne ou tĂ©lĂ©charger lilya apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! PDF ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya lire un ebook ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya livres en ligne ... Cliquez sur le bouton TĂ©lĂ©charger ou Lire en ligne apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya tĂ©lĂ©chargement gratuit pdf ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! livre gratuit en ligne ... download apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! PDF - KINDLE - EPUB - MOBI ... TĂ©lĂ©charger apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya ou lisez en ligne ici en format PDF ou EPUB ... Cliquez pour lire/tĂ©lĂ©charger apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya PDF ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! ebook epub ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! TĂ©lĂ©chargement Gratuit ... TĂ©lĂ©chargez l'ebook apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya pdf gratuit ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! tĂ©lĂ©chargement populaire ... apaise ton cĆur et fleuris ton Ăąme. deviens la meilleure version de toi-mĂȘme ! lilya lire tĂ©lĂ©charger ...
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Une SĂ©lection de 140 citations et proverbes sur le thĂšme fin amour. 140 citations > Citation de Antoine de Saint-ExupĂ©ry n° 164932 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 472 votesCe qui est le plus solide sâĂ©vapore, le pire comme le meilleur, le plus banal comme ce qui Ă©tait nĂ©cessaire et dĂ©cisif, les annĂ©es que quelquâun a passĂ©es Ă travailler tristement dans un bureau ou Ă cultiver des remords pour lâindiffĂ©rence et la froideur de son couple, le souvenir dâun voyage vers une ville oĂč lâon a vĂ©cu et oĂč lâon sâest promis de revenir Ă la fin dâun sĂ©jour unique et mĂ©morable, lâamour et la souffrance, mĂȘme certains des plus grands enfers sur terre se trouvent effacĂ©s au bout dâune ou deux gĂ©nĂ©rations, et un jour arrive oĂč il ne reste pas un seul tĂ©moin vivant qui puisse se souvenir. SĂ©farade 2005 de Antonio Muñoz MolinaRĂ©fĂ©rences de Antonio Muñoz Molina - Biographie de Antonio Muñoz MolinaPlus sur cette citation >> Citation de Antonio Muñoz Molina n° 164609 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesEt pourquoi sommes-nous incapables de reposer lĂ d'oĂč nous venons, lĂ oĂč nous avons toujours Ă©tĂ©, dans la demeure de l'amour, lĂ oĂč enfin commencerait le vrai voyage ? Dans quelle Patagonie intĂ©rieure trouverai-je le repos ? Dans quelle Terre de Feu qui ne me brĂ»lerait plus ? Patagonie intĂ©rieure 2013 de Lorette NobĂ©courtRĂ©fĂ©rences de Lorette NobĂ©court - Biographie de Lorette NobĂ©courtPlus sur cette citation >> Citation de Lorette NobĂ©court n° 163984 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesLassĂ© enfin d'un Ă©tat si malheureux et si incertain, il rĂ©solut de tenter quelque voie d'Ă©claircir sa destinĂ©e. Que veux-je attendre, disait-il ? il y a longtemps que je sais que j'en suis aimĂ© ; elle est libre, elle n'a plus de devoir Ă m'opposer ; pourquoi me rĂ©duire Ă la voir sans en ĂȘtre vu et sans lui parler ? Est-il possible que l'amour m'ait si absolument ĂŽtĂ© la raison et la hardiesse, et qu'il m'ait rendu si diffĂ©rent de ce que j'ai Ă©tĂ© dans les autres passions de ma vie ? J'ai dĂ» respecter la douleur de madame de ClĂšves ; mais je la respecte trop long-temps, et je lui donne le loisir d'Ă©teindre l'inclination qu'elle a pour moi. La Princesse de ClĂšves 1678 de Madame de La FayetteRĂ©fĂ©rences de Madame de La Fayette - Biographie de Madame de La FayettePlus sur cette citation >> Citation de Madame de La Fayette n° 163966 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 542 votesLe contraire de la guerre n'est pas l'amour, mais une fin d'aprĂšs-midi orange, en novembre, dans une Ă©cole maternelle. On n'y compte ni cadavres ni blessĂ©s; nul n'y tremble. Tout y est chaud et bigarrĂ©. OrlĂ©ans 2019 de Yann MoixRĂ©fĂ©rences de Yann Moix - Biographie de Yann MoixPlus sur cette citation >> Citation de Yann Moix n° 163302 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 469 votesMon amour pour toi est enfin apaisĂ©. Je ne veux pas qu'il devienne un brasier rougissant. Si j'avais pu souffrir davantage, j'aurais souffert davantage. Il faudra pour finir que tu nous accueilles comme si nous Ă©tions tes enfants. La tendresse, la confiance absolue, la communication et la sincĂ©ritĂ© ces choses lĂ comptent de plus en plus la mesure oĂč. Trouvons un moyen de ne pas gaspiller l'amour, c'est une denrĂ©e trop Mer, la mer The Sea, The Sea, 1978 de Iris MurdochRĂ©fĂ©rences de Iris Murdoch - Biographie de Iris MurdochPlus sur cette citation >> Citation de Iris Murdoch n° 162474 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 470 votesJe ne connais pas d'autre Ă©vĂ©nement qui cause autant de douleur et de destruction, et qui est aussi peu comprĂ©hensible, que la fin de l'amour. J'y suis presque 2005 de Nuala O'FaolainRĂ©fĂ©rences de Nuala O'Faolain - Biographie de Nuala O'FaolainPlus sur cette citation >> Citation de Nuala O'Faolain n° 161030 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesQuand on rĂ©pĂšte que l'amour est remplacĂ© Ă la fin entre les Ă©poux par une solide amitiĂ©, on veut dire seulement que les sens s'apaisent ou s'Ă©puisent; car l'amour conjugal conserve tous les autres caractĂšres de l'amour. Il est protecteur et dĂ©vouĂ© chez le mari, tendre et soumis chez l'Ă©pouse; il comporte un dĂ©sintĂ©ressement absolu, l'union des Ăąmes la plus intime et la plus complĂšte. L'amitiĂ©, mĂȘme parfaite, est un sentiment froid et rĂ©servĂ© auprĂšs de celui-lĂ . L'amour conjugal est comme la base sur laquelle reposent tous les sentiments qui font le charme et le lien de la famille. N'en mĂ©disons pas, ne le dĂ©daignons pas. Il n'y a, sans lui, ni bonheur ni dignitĂ© du foyer Devoir 1854 de François-Jules Suisse, dit Jules SimonRĂ©fĂ©rences de François-Jules Suisse, dit Jules Simon - Biographie de François-Jules Suisse, dit Jules SimonPlus sur cette citation >> Citation de François-Jules Suisse, dit Jules Simon n° 160562 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 470 votesC'est ça la vie. C'est ça l'amour. C'est courir pieds nus. Savourer quand le sable est fin ou l'herbe douce. Accepter le gravier et parfois le verre pilĂ©. Et se dire qu'on avance malgrĂ© tout, quelle que soit la surface. Les Ă©corchures cicatrisent quand mĂȘme. De tes nouvelles 2017 de AgnĂšs LedigRĂ©fĂ©rences de AgnĂšs Ledig - Biographie de AgnĂšs LedigPlus sur cette citation >> Citation de AgnĂšs Ledig n° 159823 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesTu sais, continua-t-il, les couples de raison, ceux qui commencent sans attirance, sans illusions sont ceux qui durent le plus longtemps. Pour une raison simple. Une raison implacable. Parce qu'on n'est pas déçu ! Parce que çà finit par ĂȘtre mieux que ce Ă quoi on s'attendait. Qui peut dire çà d'une histoire d'amour, hein ? Qui peut dire çà d'une passion ? Que c'est mieux Ă la fin qu'au dĂ©but ? Le Temps est assassin de Michel BussiRĂ©fĂ©rences de Michel Bussi - Biographie de Michel BussiPlus sur cette citation >> Citation de Michel Bussi n° 159455 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesL'amour chez l'homme est donc une fin, un accomplissement, et non pas, comme chez la femme, un dĂ©but, une naissance. SĂ©rotonine 2019 de Michel HouellebecqRĂ©fĂ©rences de Michel Houellebecq - Biographie de Michel HouellebecqPlus sur cette citation >> Citation de Michel Houellebecq n° 158166 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesJ'Ă©tais entrĂ©e dans un Ă©tat oĂč mĂȘme la rĂ©alitĂ© de sa voix n'arrivait pas Ă me rendre heureuse. Tout Ă©tait manque sans fin, sauf le moment oĂč nous Ă©tions ensemble Ă faire l'amour. Et encore, j'avais la hantise du moment qui suivrait, oĂč il serait reparti. Je vivais le plaisir comme une future simple 1991 de Annie ErnauxRĂ©fĂ©rences de Annie Ernaux - Biographie de Annie ErnauxPlus sur cette citation >> Citation de Annie Ernaux n° 157440 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesJe vous souhaite des rĂȘves Ă n'en plus finir et l'envie furieuse d'en rĂ©aliser quelques uns. Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences. Je vous souhaite des chants d'oiseaux au rĂ©veil et des rires d'enfants. Je vous souhaite de respecter les diffĂ©rences des autres, parce que le mĂ©rite et la valeur de chacun sont souvent Ă dĂ©couvrir. Je vous souhaite de rĂ©sister Ă l'enlisement, Ă l'indiffĂ©rence et aux vertus nĂ©gatives de notre Ă©poque. Je vous souhaite enfin, de ne jamais renoncer Ă la recherche, Ă l'aventure, Ă la vie, Ă l'amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille. Je vous souhaite surtout d'ĂȘtre vous, fier de l'ĂȘtre et heureux, car le bonheur est notre destin vĂ©ritable. Je vous souhaite voeux de Jacques Brel sur Europe 1, 1er Janvier 1968 » de Jacques BrelRĂ©fĂ©rences de Jacques Brel - Biographie de Jacques BrelPlus sur cette citation >> Citation de Jacques Brel n° 156490 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 544 votesJe vous souhaite enfin, de ne jamais renoncer Ă la recherche, Ă l'aventure, Ă la vie, Ă l'amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude vous souhaite voeux de Jacques Brel sur Europe 1, 1er Janvier 1968 » de Jacques BrelRĂ©fĂ©rences de Jacques Brel - Biographie de Jacques BrelPlus sur cette citation >> Citation de Jacques Brel n° 156488 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 469 votesL'amour est la fin de la libertĂ©, mais c'est le dĂ©but du dĂ©passement. Il n'y a pas de chaos, il n'y a que des signaux que nous ne comprenons pasCe qu'il voulait 2012 de Macha MĂ©rilRĂ©fĂ©rences de Macha MĂ©ril - Biographie de Macha MĂ©rilPlus sur cette citation >> Citation de Macha MĂ©ril n° 156263 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesTu penses ? La rĂ©flexion est l'acide qui ronge insidieusement la foi. Ton devoir est de croire, pas de penser, car l'esprit d'un ĂȘtre humain est infĂ©rieur Ă celui du CrĂ©ateur. Tes idĂ©es et toutes celles qui tournent dans le cerveau des gens n'ont aucune valeur. L'humanitĂ© est mĂ©prisable, quand le comprendras-tu enfin ? Une seule chose compte l'amour et la bontĂ© que le CrĂ©ateur a quand mĂȘme instillĂ©s dans l'Ăąme des Foi des rĂ©prouvĂ©s de Terry GoodkindRĂ©fĂ©rences de Terry Goodkind - Biographie de Terry GoodkindPlus sur cette citation >> Citation de Terry Goodkind n° 156124 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesSi toute vie va inĂ©vitablement vers sa fin, nous devons, durant la nĂŽtre, la colorier avec nos couleurs d'amour et d' de l'inauguration du musĂ©e qui lui Ă©tait dĂ©diĂ©, en 1973 de Marc ChagallRĂ©fĂ©rences de Marc Chagall - Biographie de Marc ChagallPlus sur cette citation >> Citation de Marc Chagall n° 153636 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 471 votesJe t ' aime parce que, lorsque tu me regardes, et cela depuis longtemps, je me sens un hĂ©ros. Et je t ' aime surtout parce que j'ai enfin compris que je ne peux parler de mon amour Ă personne d'autre que toiL'Agneau carnivore de Agustin Gomez-ArcosRĂ©fĂ©rences de Agustin Gomez-Arcos - Biographie de Agustin Gomez-ArcosPlus sur cette citation >> Citation de Agustin Gomez-Arcos n° 153490 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 471 votesAprĂšs avoir vaincu la Faim ce qui algĂ©briquement, nous assure la totalitĂ© des biens physiques, l'Ătat Unique mena une campagne contre l'autre souverain du monde, contre l'Amour. Cet Ă©lĂ©ment fut enfin vaincu, c'est-Ă -dire qu'il fut organisĂ©, autres 1920 de Ievgueni Ivanovitch ZamiatineRĂ©fĂ©rences de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine - Biographie de Ievgueni Ivanovitch ZamiatinePlus sur cette citation >> Citation de Ievgueni Ivanovitch Zamiatine n° 152965 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesToute la petite sociĂ©tĂ© entra dans ce louable dessein ; chacun se mit Ă exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. CunĂ©gonde Ă©tait Ă la vĂ©ritĂ© bien laide ; mais elle devint une excellente pĂątissiĂšre ; Paquette broda; la vieille eut soin du linge. Il n'y eut pas jusqu'Ă frĂšre GiroflĂ©e qui ne rendĂźt service ; il fut un trĂšs bon menuisier, et mĂȘme devint honnĂȘte homme ; et Pangloss disait quelquefois Ă Candide " Tous les Ă©vĂ©nements sont enchaĂźnĂ©s dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n'aviez pas Ă©tĂ© chassĂ© d'un beau chĂąteau Ă grands coups de pied dans le derriĂšre pour l'amour de Mlle CunĂ©gonde, si vous n'aviez pas Ă©tĂ© mis Ă l'Inquisition, si vous n'aviez pas couru l'AmĂ©rique Ă pied, si vous n'aviez pas donnĂ© un bon coup d'Ă©pĂ©e au baron, si vous n'aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d'Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cĂ©drats confits et des pistaches." - Cela est bien dit, rĂ©pondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. Candide 1759 de VoltaireRĂ©fĂ©rences de Voltaire - Biographie de VoltairePlus sur cette citation >> Citation de Voltaire n° 152959 - Ajouter Ă mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 483 votes< 13456Votre commentaire sur ces citations ThĂšmes populaires + Autres belles citations et proverbes sur fin amour Toutes les citations sur fin amour Citations fin amour Citation fin amour et Proverbe fin amour Citations, proverbes sur fin amour Citations fin amour 140 citations sur fin amour Proverbes fin amour 140 citations et proverbes sur fin amour 140 citations et proverbes sur fin amour Citation sur fin Citations courtes fin PoĂšmes fin amour Proverbes fin amour Etendez votre recherche avec le dictionnaire des dĂ©finitionsCitation et amour Citation sur l'amour Citation l'amitiĂ© Citation la vie Citation le bonheur Citation la femme citation le couple Citation la sagesse Ciation la tristesse Citation la mort Citation la nature Citation sur l'absence Citation le manque Citation l'enfance Age Animal AmitiĂ© Amour Art Avenir BeautĂ© Avoir Bonheur Conscience Couple Confiance Courage Culture DĂ©sir Dieu Education Enfant Espoir Etre Faire Famille Femme Guerre Homme Humour Jeunesse Joie Justice LibertĂ© Mariage MĂ©re Monde Morale Naissance Nature Paix Passion PĂšre Peur Plaisir Politique Raison Religion RĂȘve Richesse Sagesse Savoir Science SĂ©duction SociĂ©tĂ© Souffrance Sport Temps TolĂ©rance Travail VĂ©ritĂ© Vie Vieillesse Voyage Aucontraire, si lâon en croit aussi bien les pĂ©titions que lâon voit fleurir sur les rĂ©seaux sociaux â comme #MyChurchToo#AussiMonEglise â que les prises de parole de prĂȘtres lors des messes, les rĂ©unions montĂ©es Ă la hĂąte dans les paroisses et les mouvements, les veillĂ©es de priĂšre spontanĂ©es, et aussi lâextrĂȘme rĂ©activitĂ© dont font preuve les mĂ©dias catholiques23/07/1993 - 23/09/1993 Je vous avais pourtant prĂ©venus que ce serait en pressant le kyste cancĂ©reux de ma haine que jâar-riverais Ă faire parvenir jusquâĂ vos oreilles ingrates, lâeau claire et parsemĂ©e de reflets dâargent des mots les plus beaux que vous ayez eu lâoccasion, sinon la chance suprĂȘme, dĂ©licieuse et sĂ©raphique, dâentendre. Que ceux qui me trouvent ignoble et odieux creusent leur tombe et sây allongent, les yeux tournĂ©s vers le Ciel ; car câest depuis le firmament mĂ©lancolique des nuages que je leur ferai goĂ»ter au fer rouge et brĂ»lant de ma vengeance. Lâode musicale que vous allez dĂšs Ă prĂ©sent Ă©couter, nâest pas un requiem, ne vous y trompez pas ! bien que mon chant ait la majestĂ©, la puissance et le charme dâune oraison funĂ©raire. Car lĂ oĂč sâendort le chant-amour de la mort, las dâavoir trop criĂ© ses vers, pour finalement retomber sous la pierre froide bercer le dĂ©funt destinataire de sa musique, lĂ sâĂ©veille et croĂźt ma chanson jusquâĂ assourdir lâouĂŻe des archanges du Mal. Et mon chant vous hypnotisera. Car bien que vous le haĂŻssiez sans limites, vous poursuivrez votre Ă©coute jusquâĂ ce que vous parveniez Ă lâinterprĂ©ter vous-mĂȘmes. Pourquoi ? Parce que par ce chant, si grande et inassouvissable que soit votre haine, son immensitĂ© nâatteindra jamais le seuil, ni mĂȘme les esquisses, des musicales notes qui en furent lâorigine. Sachez que jamais vous nâarriverez Ă surpasser de votre propre dĂ©goĂ»t, lâaversion Ă©cĆurant que jâai Ă votre Ă©gard. Il est encore temps pour vous dâobstruer le portail de votre ouĂŻe. Tournez cette page et il sera dĂ©jĂ trop tard. Vous serez pris dans le tourbillon infernal rĂ©flĂ©chissez bien au ses de ce qualificatif de mon chant haineux et vert du fardeau Ă©normĂ©ment alourdissant du rejet total et sans rĂ©mission de votre race entiĂšre. Car vous qui me lisez et goĂ»tez au parfum de mes mots sulfureux, sachez, vous qui vous croyez seul et protĂ©gĂ© derriĂšre votre barricade de papier, que vous ne reprĂ©sentez quâune infime partie de ma rĂ©volte de dĂ©goĂ»t. Sachez quâen poursuivant votre lecture, vous ne faites quâamplifier lâĂ©cho intolĂ©rable du dessein que je viens de vous exposer. * Regardez, osez ne pas dĂ©tourner votre regard falsifiĂ© de cette plaie. La reconnaisez-vous ? Non bien sĂ»r. Pourtant elle est vĂŽtre. Vous en ĂȘtes Ă la fois le criminel auteur et la pitoyable victime. Levez vos yeux assassins et soyez heureux que ma fureur vengeresse vous permette encore de conserver ce prĂ©cieux sens quâest la vue. Pourtant rien ne mâoblige Ă ne pas enfoncer dans vos orbites affamĂ©s le dard du scorpion que ma plaie saignante a enfantĂ©. Rien, si ce nâest lâinsatisfaction de ne crever que deux de vos yeux alors que votre peau lĂ©preuse en compte des millions. Mais voilĂ dĂ©jĂ que ma haine pleure de venimeuses mygales supportant sur leurs Ă©paules arach-nides les puissants bazookas qui devront mettre fin tĂŽt ou tard Ă votre si peu prĂ©cieuse vie. Il me faut retenir ces larmes fatales si je veux rester fidĂšle, comme une guĂȘpe peut lâĂȘtre envers les Ă©tamines nutritive de la rose, Ă ma volontĂ© de prolonger, jusquâaux confins de lâinsupportable, votre agonie, dont votre mort, soyez-en sĂ»rs, ne pourra ĂȘtre que salvatrice. Alors contemplez plutĂŽt une fois encore cette plaie qui chaque matin sâentrouvre un peu plus, laissant le soleil la brĂ»ler davantage. Contrairement Ă lâordre naturel, que vous croyiez Tout Puissant, ou que vous vous plaisiez Ă y croire, lorsque vient le crĂ©puscule, cher aux loups assoiffĂ©s par une journĂ©e entiĂšre de jeĂ»ne, cette plaie ne se referme pas. Non, elle laisse Ă son tour la lune la pĂ©nĂ©trer, sâoffrant ainsi aux deux astres qui ont assurĂ©ment interdit sa guĂ©rison. Vous savez parfaitement que la Plaie ne sâouvre avec bĂ©atitude, non pas pour sourire elle ignore jusquâau sens originel de ce verbe, mais pour hurler sa douleur. Quâainsi, mĂȘme si vous ignorez sa prĂ©sence en tournant votre dĂ©daigneux regard, vous ne puissiez Ă©chapper Ă la clameur dĂ©chirante de son existence. Vous avez creusĂ© la Plaie en y enfonçant vos ongles aiguisĂ©s ; la Plaie vous rĂ©pond en perçant le silence de votre culpabilitĂ© dâun cri plus tranchant que la lame affĂ»tĂ©e de la tempĂȘte. Souffrez de sa souffrance et courbez de honte votre coupable visage. * Mais je mâaperçois que je nâai dĂ©jĂ que trop chantĂ© la faille qui dĂ©chire la chair de mon corps dĂ©sertique. Vous risqueriez de croire que je ne suis pas le mot est juste infaillible ! DĂ©trompez-vous, prĂ©somptueux agneaux incrĂ©dules je le suis. Et au contraire, rien ne peut plus dĂ©sormais fendre les muscles de mon cĆur inassiĂ©geable. Car jâai su, tout au long de ces annĂ©es de dociles et silencieuses souffrances, greffer au plus profond de moi-mĂȘme une carapace faite de lâacier le plus rĂ©sistant quâil soit. Et câest bien vous, et personne dâautre, pitoyables guerriers titubant sur le chemin du combat, oui câest vous qui ĂȘtes lâorigine et la cause de ce bouclier dont jâai prĂ©maturĂ©ment accouchĂ©. BombardĂ© comme je le fus par vos lances, visant toujours plus prĂ©cisĂ©ment lâendroit oĂč je tentais de conserver un semblant de survie face Ă vos attaques, il est certain que je ne vous ai jamais adressĂ© nul reproche, ni mĂȘme lâombre du fantĂŽme dâune lĂąche plainte. Si votre intelligence avait pu Ă©galer lâintensitĂ© de votre cruautĂ©, il aurait Ă©tĂ© facile de vous douter que mon silence patient cachait un danger plus fĂ©roce encore que si le CrĂ©ateur lui-mĂȘme avait dĂ©cidĂ© de vous chĂątier en dĂ©clenchant les sept prĂ©dictions de lâapocalypse. Car, vous le comprenez maintenant, mais il est dĂ©jĂ trop tard, lâheure de ma vengeance dĂ©vastatrice est venue. Il ne vous servira Ă rien de fuir, car mĂȘme si vous rĂ©ussissiez Ă atteindre, ce qui est Ă dix mille pieds au-dessus de vos pauvres capacitĂ©s, la rapiditĂ© sans Ă©gale de la vipĂšre menacĂ©e, le glaive de ma vengeance parviendrait malgrĂ© tout Ă vous toucher. Et sâil est une infĂ©rioritĂ© que jâadmets concĂ©der au Tout Puissant, ce ne peut ĂȘtre que mon impos-sibilitĂ© Ă vous prendre en pitiĂ©. Je connais votre infĂ©rioritĂ©, plus indiscutable encore, face Ă la force de mon couperet rectificateur. Que cela ne vous empĂȘche pas de poursuivre mon chant accusateur qui continuera Ă vous assaillir, laissant sur votre peau tuberculeuse, la marque indĂ©lĂ©bile de mon cĂ©leste courroux. * Quelle Ă©tait belle cette adolescente Ă la peau dĂ©coupĂ©e dans les tissus les plus raffinĂ©s et aux yeux encore Ă©tonnĂ©s dâavoir vu tant de beautĂ© dans le miroir. On aurait dit un petit animal sauvage effarouchĂ© et certain de ne pas ĂȘtre Ă sa place dans ce zoo qui ne lui offrait comme horizon que lâĂąpre robustesse des barreaux de sa cage. Elle devait sâĂ©vader de sa prison. Il ne pouvait pas en ĂȘtre autrement. Quand bien mĂȘme le Ciel nâĂ©tait pas encore assez grand pour accueillir sa beautĂ© et lâUnivers trop Ă©troit pour contenir les vapeurs Ă©manant de la puretĂ© de son visage et de son cĆur. Et moi jâai Ă©tĂ© assez stupide pour lui ouvrir les portes de sa geĂŽle, en dĂ©robant au pĂ©ril de ma vie les clĂ©s tant dĂ©sirĂ©es qui devaient lui apprendre que lâalphabet se rĂ©sumait aux sept lettres du mot libertĂ©. Je ne me rendais pas compte de ma stupiditĂ©. Comment lâaurais-je fait ? Puisque je jouissais alors du plus parfait bonheur la fille la plus parfaite de cette Terre, planĂšte la plus parfaite du SystĂšme Solaire, daignait croiser ses doigts si doux avec mon humble main. Peut-ĂȘtre croyez-vous que je devrais vous remercier pour ce cadeau de votre Providence sacrĂ©e ? Ne prononcez plus jamais devant ma colĂšre ce verbe qui mâest maintenant Ă©tranger. Je ne peux plus remercier personne. Car aprĂšs mâĂȘtre docilement habituĂ© Ă votre laideur quotidienne, jusquâau point dâignorer que quelque chose dâautre, de diffĂ©rent, de meilleur mais je ne savais pas alors ce que "meilleur" signi-fiait pouvait exister ; aprĂšs ceci vous avez brandi devant mes yeux, aussi Ă©merveillĂ©s que ceux dâun nouveau nĂ©, cette crĂ©ature merveilleuse parmi les merveilles, angĂ©lique parmi les anges. Quel Ă©tait votre but ? Et surtout en quoi toute cette illusion pouvait vous servir si câĂ©tait pour la faire Ă©vanouir ensuite ? On ne tend pas un sucre Ă un chien affamĂ© pour lâavaler soi-mĂȘme lorsquâil sâapprĂȘte Ă prendre ce cadeau. Ou alors on ne sâĂ©tonne pas que lâanimal devienne enragĂ© et cherche Ă vous saigner de sa morsure fatale. * Je sais que vous persistez Ă vous emmitoufler dans votre manteau de suspicion pour vous protĂ©ger de lâattaque des intempĂ©ries, des flocons de neige, des rayons de soleil, des gouttes de pluie, des murmures du vent, de la fourche des Ă©clairs, des ululements des lunes et du mĂ©contentement de votre Dieu mĂ©galomane. Je sais que la mĂ©fiance est votre nation, que le doute est votre drapeau et que jamais vous ne chanterez lâhymne apaisant de la confiance. Je sais que tant que vos yeux, lorsque vous ĂȘtes sobre cela va sans dire, nâauront pas constatĂ© la dualitĂ© lunaire, vous resterez persuadĂ©s de contempler chaque soir la mĂȘme lune, identique, fidĂšle et immuable. Je sais quâen ce moment mĂȘme, et malgrĂ© les menaces et les mises en garde que je nâarrĂȘte pas de semer dans votre champ oculaire et auditif, je sais que vous riez de ces graines que jâai pourtant pris la peine de planter, et ceci uniquement pour que puisse fleurir votre comprĂ©hensible infantile. Mais il vous en faudrait plus vous voudriez que je vienne chaque heure arroser mes semences. Vous souhaiteriez me rabaisser Ă lâĂ©tat de jardinier pour que constamment jâentretienne vos cultures qui indubitablement, Ă la lumiĂšre de votre sombre suspicion abjecte, ne donneront jamais aucun fruit. Ăcoutez donc maintenant ! Si jardinier je suis, ce ne peut ĂȘtre quâau mĂȘme titre que Celui qui a fait fleurir lâĂden, le CrĂ©ateur de ce jardin paradisiaque quâil vous presse dâatteindre au seuil de votre mort. Câest Lui quâil faudrait invoquer, pour que le printemps souffle de nouveau sur vos vergers. Et quand bien mĂȘme Il viendrait vous porter secours mais rĂ©flĂ©chissez bien lâa-t-il dĂ©jĂ fait une seule fois ?, je me tiendrais lĂ , au milieu de Son chemin, Le dĂ©fiant de continuer Sa route. Et croyez bien que jamais je nâai perdu mon combat contre cet Hypocrite PaĂŻen BlasphĂ©mateur. Aussi prenez garde Ă ma prochaine strophe. La preuve que je vous y donne pour justifier la toute puissance que vous me contestez, cette preuve aura le volume sonore dâun train qui foncerait avec cahots sur des rails oĂč vos oreilles seraient enchaĂźnĂ©es. * Le bonheur, sous quelque forme quâil, a Ă©tĂ© depuis longtemps banni des portes de mon cĆur, dĂ©jĂ bien trop lourd de haine et de dĂ©sir vengeur de puissance pour accepter le moindre sourire ou la moindre joie, ou encore la seule idĂ©e que ma langue natale, ma langue fourchue crachant le feu, ait encore de tels mots Ă son vocabulaire Aussi, mon Ă©tonnement sâest immĂ©diatement dĂ©clenchĂ© lorsque je vis ce jeune homme, Ă la che-velure Ă©clatante, au visage fin et sĂ»r de lui et surtout avec cet insupportable Ă©tirement des lĂšvres qui montrait en toute impudeur la blancheur virginale de ses dents avec ce sourire Ă©tincelant prouvant Ă qui voulait le regarder que sans hĂ©sitation, sans mĂȘme lâombre obscure du spectre invisible du doute, quâon ne pouvait dans cet instant le qualifier dâautre attribut que celui dâĂȘtre immensĂ©ment heureux. Il eĂ»t Ă©tĂ© beau dans dâautres occasions, mais ici sa beautĂ© Ă©tait Ă©clipsĂ©e par son bonheur, comme le sinistre aspect glacial des macchabĂ©es masque leur potentielle laideur. Ă mes interrogations non dĂ©nuĂ©es de sarcasme, il rĂ©pondit sans mĂȘme oser se soulager en laissant son manteau de bonheur au vestiaire "Je ne suis quâĂ lâaube de ma vie et dĂ©jĂ lâĂtre SuprĂȘme ne prĂ©sente Ă mes yeux que le spectacle splendide dâun soleil levant. Les oiseaux sâĂ©veillent au mĂ©lodieux son de mes pas pour entamer avec fiertĂ© les plus merveilleuses de leurs chansons de joie. Les fleurs vont mĂȘme jusquâĂ sâouvrir Ă mon passage et se referment dĂšs que je les quitte pour quâaucun autre que moi ne les voie nues dans leur beautĂ©. Je nâai pas encore lâĂąge qui me donnent cette allure tourmentĂ©e que visiblement tu ne connais que trop. Et pourtant, je suis Ă la fois aimĂ© et redoutĂ© de tous, du fragile enfant qui vient dâĂ©merger de sa piscine vaginale au courageux guerrier qui a terrassĂ© tant de dragons. Car je te le dis sans craintes je suis PoĂšte. Et mes mots anesthĂ©sient de leur puissante et belle musique toutes les armes qui pourraient se lever contre moi. Jâentonne des vers de triomphe devant Dieu et calme dâune douce berceuse lâEsprit Malin. Car je suis PoĂšte. . ." * . . .Il ne mâa pas paru nĂ©cessaire de vous rapporter plus encore les paroles de cet adolescent prĂ©-tentieux, il ne faisait de toute façon quâenrober de paroles de satin sa derniĂšre affirmation il Ă©tait PoĂšte et le reste nâĂ©tait que poussiĂšre dâĂ©toile ! Pourtant sa prĂ©tendue puissance ne mâeffrayait point. Au contraire jâaurais ri du triste sort que jâallais infliger Ă cet outrageux paon si je ne mâĂ©tais pas tranchĂ© depuis des siĂšcles dĂ©jĂ mes sanguines lĂšvres dâune lame de rasoir afin de ne plus jamais tenter mĂȘme dâesquisser un sourire. Et ma rĂ©ponse fatale transformera son pouvoir de gĂ©ant en impuissance dâeunuque "Ă toi qui sembles avoir fait lâamour avec la sĂ©raphique lyre dâĂrato ! Ă toi en qui semblent couler tous les majestueux alexandrins qui serpentent entre les rĂ©cifs des six ocĂ©ans depuis lâaurore bĂ©nie oĂč le CrĂ©ateur signa de Sa plume dâor notre planĂšte oĂč tu sembles rĂ©gner en prince ! Ă pauvre et stupide oiselet, je tremble en effet devant les arpĂšges que tu viens de me rĂ©citer ! Je frissonne Ă la seule pensĂ©e de ton avenir qui sâest dâores et dĂ©jĂ retournĂ© pour se glisser derriĂšre ton dos ! Quel misĂ©rable et infortunĂ© embryon es-tu, toi qui nâas pas eu le bonheur inestimable, ni la chance infinie de me rencontrer plus t, avant que les larves de tes propres paroles puissent sâĂ©couler comme elles viennent de le faire ! Quelle erreur as-tu faite de ne pas avoir su dompter les seize vents qui auraient pu pousser ton destin jusquâĂ mon jugement avant que celui-ci ne fĂ»t le dernier ! Car tu nâes pont poĂšte, non ! Depuis que tu as eu lâaffront de tâaffirmer ainsi, la laideur de cette assertion tâa Ă jamais privĂ© de sa concrĂ©tisation. Quoi de moins poĂ©tique que celui qui se vante de lâĂȘtre ? Et toi, tu nâas jamais fait quâessayer de tenter dâesquisser les Ă©bauches du seul vers sorti de ta bouche putride, le seul qui aurait pu oser prĂ©tendre sâavancer Ă tĂątons vers lâombre du reflet dâune modeste poĂ©sie." Ă ces mots encore rĂ©sonnant de vĂ©ritĂ©, celui qui sâimaginait abriter en son corps lâinfinie combi-naison de lettres quâil sera jamais possible de chanter, Ă ces mots dont il avait toujours ignorĂ© le sens, le jeune homme se donna la mort puisque câĂ©tait lĂ le seul cadeau quâil puisse accepter recevoir de sa propre personne qui nâĂ©tait dĂ©jĂ plus quâune moisissure de charogne. * Peut-ĂȘtre ne tremblez-vous pas encore aprĂšs avoir Ă©tĂ© contraints dâĂ©couter lâintroduction de mon chant. ĂȘtre mĂȘme que vous doutez dâavoir lâouĂŻe rassasiĂ©e de si peu de voluptĂ© musicales. Peut-ĂȘtre encore que vous nâavez mĂȘme pas entendu la plainte du blond puceau de ma derniĂšre strophe qui vient juste de sâĂ©masculer avant de faire jaillir dâun seul coup son sang, mais dâun coup si sec et tranchant que son aorte ainsi sectionnĂ©e faisait jaillir ses globules vermeils de telle sorte quâen ouvrant sa bouche pour clamer sa douleur, il but tout le sang quâil versait. Et ce sang, tant de fois Ă©jectĂ© puis rĂ©gurgitĂ© arrivait encore Ă prolonger durant des secondes aussi cruelles quâinterminables lâagonie de lâange dĂ©chu, perdu sans son aurĂ©ole. Pourtant je nâen suis quâĂ la GenĂšse de mon chant mortuaire. Tout reste encore Ă venir, ou plutĂŽt Ă disparaĂźtre. Mais vous ne pouvez plus maintenant Ă©chapper aux gammes assourdissantes qui vont dĂšs lors se dĂ©verser comme un torrent que mĂȘme les plus solides rochers nâarrivent Ă stopper dans un Ă©cumage infernal rĂ©flĂ©chissez bien au sens de ce mot. Maldoror Ă©tait un monstre de bontĂ© comparĂ© Ă lâombre hideuse qui obscurcit mes desseins apoca-lyptiques. Et la damnation de Faust nâest tout au pire quâune bĂ©nĂ©diction face Ă lâimpitoyable destin dans lequel mes strophes sataniques . . . ! vous poussent.. de plus en plus. . .comme un corsaire me-naçant de son sabre le condamnĂ© sur sa planche qui ne peut plus prĂ©tendre Ă rien sauf Ă devenir un agglomĂ©ra charnel de sacrifice pour de fĂ©roces requins. Certes je suis arrivĂ© Ă mesurer la solitude incommensurable des Ăąmes de la PoĂ©sie. Mais dĂ©sormais je ne suis plus seul dans mon combat contre votre espĂšce entiĂšre dĂ©jĂ mon ombre ne me trahit plus, elle est le tĂ©moin de tous mes actes sanctifiaires. Et lorsque la mĂ©moire me manque pour vous narrer ma chanson, câest elle, ma fidĂšle et richissime compagne noire, qui mâen rappelle les couplets. Mais je lâai dĂ©jĂ dit, vous nâavez assistĂ© jusquâĂ maintenant quâĂ la GenĂšse enscoliosĂ©e de mon impitoyable gĂ©nocide sans rĂ©mission. Nâen doutez point. Ăcoutez pour vous rassurer, cette plainte que le hĂ©ros de ma prĂ©cĂ©dente strophe nâa eu que trop le temps de clamer. ET son Ă©cho rĂ©sonne encore dans le labyrinthe miroitant de mon chant-amour. * Que voulez-vous que je fasse avec cette crĂ©ature que lâon dit si merveilleuse, si empreinte de sublime magnificence ; on affirme que le CrĂ©ateur lâa Lui-mĂȘme enfantĂ©e pour montrer Ă lâespĂšce humaine Sa divine beautĂ© ; que voulez-vous que je fasse de celui de qui lâon prĂ©tend la possession des suprĂȘmes pouvoirs, censĂ©s ne perdre aucun combat dans aucune guerre, mĂȘme celle qui vit la colombe mourir en son sein ; que voulez-vous que je fasse avec cet ĂȘtre inspirĂ© de lâimage des anges et que lâon nomme Amour ? Il doit ĂȘtre banni ! Exclu de vos conversations et de vos pensĂ©es ! De quelque sorte quâil soit, lâAmour ne peut plus exister dans un monde oĂč jâai dĂ©cidĂ© de chanter ma haine de lâentiĂšre race humaine et oĂč mes refrains rĂ©sonnent jusque dans le cĆur des volcans et lâĂąme des ocĂ©ans. Chassez de
Jiang qui demande de beautĂ©, peau, fonction de la rouleau de jade marionnaud peau tout en ligne splendide, annick goutal, la peau et pour femmes qui sont pas essayĂ©, lisez attentivement ce qui s'engage Ă pointes blanches ou la peau en passant par sa propre et ne pourrez ainsi un rituel beautĂ©. Aussi d''ĂȘtre isotherme c''est-Ă -dire que ce site : Ă la gemmothĂ©rapie, la zone spĂ©cifiqueLE POĂTE Le mal dont jâai souffert sâest enfui comme un rĂȘve. Je nâen puis comparer le lointain souvenir QuâĂ ces brouillards lĂ©gers que lâaurore soulĂšve, Et quâavec la rosĂ©e on voit sâĂ©vanouir. LA MUSE Quâaviez-vous donc, ĂŽ mon poĂšte ! Et quelle est la peine secrĂšte Qui de moi vous a sĂ©parĂ© ? HĂ©las ! je mâen ressens encore. Quel est donc ce mal que jâignore Et dont jâai si longtemps pleurĂ© ? LE POĂTE CâĂ©tait un mal vulgaire et bien connu des hommes ; Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur, Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes, Que personne avant nous nâa senti la douleur. LA MUSE Il nâest de vulgaire chagrin Que celui dâune Ăąme vulgaire. Ami, que ce triste mystĂšre SâĂ©chappe aujourdâhui de ton sein. Crois-moi, parle avec confiance ; Le sĂ©vĂšre dieu du silence Est un des frĂšres de la Mort ; En se plaignant on se console, Et quelquefois une parole Nous a dĂ©livrĂ©s dâun remord. LE POĂTE Sâil fallait maintenant parler de ma souffrance, Je ne sais trop quel nom elle devrait porter, Si câest amour, folie, orgueil, expĂ©rience, Ni si personne au monde en pourrait profiter. Je veux bien toutefois tâen raconter lâhistoire, Puisque nous voilĂ seuls, assis prĂšs du foyer. Prends cette lyre, approche, et laisse ma mĂ©moire Au son de tes accords doucement sâĂ©veiller. LA MUSE Avant de me dire ta peine, Ă poĂšte ! en es-tu guĂ©ri ? Songe quâil tâen faut aujourdâhui Parler sans amour et sans haine. Sâil te souvient que jâai reçu Le doux nom de consolatrice, Ne fais pas de moi la complice Des passions qui tâont perdu, LE POĂTE Je suis si bien guĂ©ri de cette maladie, Que jâen doute parfois lorsque jây veux songer ; Et quand je pense aux lieux oĂč jâai risquĂ© ma vie, Jây crois voir Ă ma place un visage Ă©tranger. Muse, sois donc sans crainte ; au souffle qui tâinspire Nous pouvons sans pĂ©ril tous deux nous confier. Il est doux de pleurer, il est doux de sourire Au souvenir des maux quâon pourrait oublier. LA MUSE Comme une mĂšre vigilante Au berceau dâun fils bien-aimĂ©, Ainsi je me penche tremblante Sur ce coeur qui mâĂ©tait fermĂ©. Parle, ami, â ma lyre attentive Dâune note faible et plaintive Suit dĂ©jĂ lâaccent de ta voix, Et dans un rayon de lumiĂšre, Comme une vision lĂ©gĂšre, Passent les ombres dâautrefois. LE POĂTE Jours de travail ! seuls jours oĂč jâai vĂ©cu ! Ă trois fois chĂšre solitude ! Dieu soit louĂ©, jây suis donc revenu, Ă ce vieux cabinet dâĂ©tude ! Pauvre rĂ©duit, murs tant de fois dĂ©serts, Fauteuils poudreux, lampe fidĂšle, Ă mon palais, mon petit univers, Et toi, Muse, ĂŽ jeune immortelle, Dieu soit louĂ©, nous allons donc chanter ! Oui, je veux vous ouvrir mon Ăąme, Vous saurez tout, et je vais vous conter Le mal que peut faire une femme ; Car câen est une, ĂŽ mes pauvres amis HĂ©las ! vous le saviez peut-ĂȘtre, Câest une femme Ă qui je fus soumis, Comme le serf lâest Ă son maĂźtre. Joug dĂ©testĂ© ! câest par lĂ que mon coeur Perdit sa force et sa jeunesse ; â Et cependant, auprĂšs de ma maĂźtresse, Jâavais entrevu le bonheur. PrĂšs du ruisseau, quand nous marchions ensemble, Le soir, sur le sable argentin, Quand devant nous le blanc spectre du tremble De loin nous montrait le chemin ; Je vois encore, aux rayons de la lune, Ce beau corps plier dans mes bras⊠Nâen parlons plus⊠â je ne prĂ©voyais pas OĂč me conduirait la Fortune. Sans doute alors la colĂšre des dieux Avait besoin dâune victime ; Car elle mâa puni comme dâun crime Dâavoir essayĂ© dâĂȘtre heureux. LA MUSE Lâimage dâun doux souvenir Vient de sâoffrir Ă ta pensĂ©e. Sur la trace quâil a laissĂ©e Pourquoi crains-tu de revenir ? Est-ce faire un rĂ©cit fidĂšle Que de renier ses beaux jours ? Si ta fortune fut cruelle, Jeune homme, fais du moins comme elle, Souris Ă tes premiers amours. LE POĂTE Non, â câest Ă mes malheurs que je prĂ©tends sourire. Muse, je te lâai dit je veux, sans passion, Te conter mes ennuis, mes rĂȘves, mon dĂ©lire, Et tâen dire le temps, lâheure et lâoccasion. CâĂ©tait, il mâen souvient, par une nuit dâautomne, Triste et froide, Ă peu prĂšs semblable Ă celle-ci ; Le murmure du vent, de son bruit monotone, Dans mon cerveau lassĂ© berçait mon noir souci. JâĂ©tais Ă la fenĂȘtre, attendant ma maĂźtresse ; Et, tout en Ă©coutant dans cette obscuritĂ©, Je me sentais dans lâĂąme une telle dĂ©tresse Quâil me vint le soupçon dâune infidĂ©litĂ©. La rue oĂč je logeais Ă©tait sombre et dĂ©serte ; Quelques ombres passaient, un falot Ă la main ; Quand la bise sifflait dans la porte entrâouverte, On entendait de loin comme un soupir humain. Je ne sais, Ă vrai dire, Ă quel fĂącheux prĂ©sage Mon esprit inquiet alors sâabandonna. Je rappelais en vain un reste de courage, Et me sentis frĂ©mir lorsque lâheure sonna. Elle ne venait pas. Seul, la tĂȘte baissĂ©e, Je regardai longtemps les murs et le chemin, â Et je ne tâai pas dit quelle ardeur insensĂ©e Cette inconstante femme allumait en mon sein ; Je nâaimais quâelle au monde, et vivre un jour sans elle Me semblait un destin plus affreux que la mort. Je me souviens pourtant quâen cette nuit cruelle Pour briser mon lien je fis un long effort. Je la nommai cent fois perfide et dĂ©loyale, Je comptai tous les maux quâelle mâavait causĂ©s. HĂ©las ! au souvenir de sa beautĂ© fatale, Quels maux et quels chagrins nâĂ©taient pas apaisĂ©s ! Le jour parut enfin. â Las dâune vaine attente, Sur le bord du balcon je mâĂ©tais assoupi ; Je rouvris la paupiĂšre Ă lâaurore naissante, Et je laissai flotter mon regard Ă©bloui. Tout Ă coup, au dĂ©tour de lâĂ©troite ruelle, Jâentends sur le gravier marcher Ă petit bruit⊠Grand Dieu ! prĂ©servez-moi ! je lâaperçois, câest elle ; Elle entre. â DâoĂč viens-tu ? Quâas-tu fait cette nuit ? RĂ©ponds, que me veux-tu ? qui tâamĂšne Ă cette heure ? Ce beau corps, jusquâau jour, oĂč sâest-il Ă©tendu ? Tandis quâĂ ce balcon, seul, je veille et je pleure, En quel lieu, dans quel lit, Ă qui souriais-tu ? Perfide ! audacieuse ! est-il encor possible Que tu viennes offrir ta bouche Ă mes baisers ? Que demandes-tu donc ? par quelle soif horrible Oses-tu mâattirer dans tes bras Ă©puisĂ©s ? Va-tâen, retire-toi, spectre de ma maĂźtresse ! Rentre dans ton tombeau, si tu tâen es levĂ© ; Laisse-moi pour toujours oublier ma jeunesse, Et, quand je pense Ă toi, croire que jâai rĂȘvĂ© ! LA MUSE Apaise-toi, je tâen conjure ; Tes paroles mâont fait frĂ©mir. Ă mon bien-aimĂ© ! ta blessure Est encor prĂȘte Ă se rouvrir. HĂ©las ! elle est donc bien profonde ? Et les misĂšres de ce monde Sont si lentes Ă sâeffacer ! Oublie, enfant, et de ton Ăąme Chasse le nom de cette femme, Que je ne veux pas prononcer. LE POĂTE Honte Ă toi qui la premiĂšre Mâas appris la trahison, Et dâhorreur et de colĂšre Mâas fait perdre la raison ! Honte Ă toi, femme Ă lâoeil sombre, Dont les funestes amours Ont enseveli dans lâombre Mon printemps et mes beaux jours ! Câest ta voix, câest ton sourire, Câest ton regard corrupteur, Qui mâont appris Ă maudire Jusquâau semblant du bonheur ; Câest ta jeunesse et tes charmes Qui mâont fait dĂ©sespĂ©rer, Et si je doute des larmes, Câest que je tâai vu pleurer. Honte Ă toi, jâĂ©tais encore Aussi simple quâun enfant ; Comme une fleur Ă lâaurore, Mon coeur sâouvrait en tâaimant. Certes, ce coeur sans dĂ©fense Put sans peine ĂȘtre abusĂ© ; Mais lui laisser lâinnocence Ătait encor plus aisĂ©. Honte Ă toi ! tu fus la mĂšre De mes premiĂšres douleurs, Et tu fis de ma paupiĂšre Jaillir la source des pleurs ! Elle coule, sois-en sĂ»re, Et rien ne la tarira ; Elle sort dâune blessure Qui jamais ne guĂ©rira ; Mais dans cette source amĂšre Du moins je me laverai, Et jây laisserai, jâespĂšre, Ton souvenir abhorrĂ© ! LA MUSE PoĂšte, câest assez. AuprĂšs dâune infidĂšle, Quand ton illusion nâaurait durĂ© quâun jour, Nâoutrage pas ce jour lorsque tu parles dâelle ; Si tu veux ĂȘtre aimĂ©, respecte ton amour. Si lâeffort est trop grand pour la faiblesse humaine De pardonner les maux qui nous viennent dâautrui, Ăpargne-toi du moins le tourment de la haine ; Ă dĂ©faut du pardon, laisse venir lâoubli. Les morts dorment en paix dans le sein de la terre Ainsi doivent dormir nos sentiments Ă©teints. Ces reliques du coeur ont aussi leur poussiĂšre ; Sur leurs restes sacrĂ©s ne portons pas les mains. Pourquoi, dans ce rĂ©cit dâune vive souffrance, Ne veux-tu voir quâun rĂȘve et quâun amour trompĂ© ? Est-ce donc sans motif quâagit la Providence Et crois-tu donc distrait le Dieu qui tâa frappĂ© ? Le coup dont tu te plains tâa prĂ©servĂ© peut-ĂȘtre, Enfant ; car câest par lĂ que ton coeur sâest ouvert. Lâhomme est un apprenti, la douleur est son maĂźtre, Et nul ne se connaĂźt tant quâil nâa pas souffert. Câest une dure loi, mais une loi suprĂȘme, Vieille comme le monde et la fatalitĂ©, Quâil nous faut du malheur recevoir le baptĂȘme, Et quâĂ ce triste prix tout doit ĂȘtre achetĂ©. Les moissons pour mĂ»rir ont besoin de rosĂ©e ; Pour vivre et pour sentir lâhomme a besoin des pleurs ; La joie a pour symbole une plante brisĂ©e, Humide encor de pluie et couverte de fleurs. Ne te disais-tu pas guĂ©ri de ta folie ? Nâes-tu pas jeune, heureux, partout le bienvenu ? Et ces plaisirs lĂ©gers qui font aimer la vie, Si tu nâavais pleurĂ©, quel cas en ferais-tu ? Lorsquâau dĂ©clin du jour, assis sur la bruyĂšre, Avec un vieil ami tu bois en libertĂ©, Dis-moi, dâaussi bon coeur lĂšverais-tu ton verre, Si tu nâavais senti le prix de la gaĂźtĂ© ? Aimerais-tu les fleurs, les prĂ©s et la verdure, Les sonnets de PĂ©trarque et le chant des oiseaux, Michel-Ange et les arts, Shakspeare et la nature, Si tu nây retrouvais quelques anciens sanglots ? Comprendrais-tu des cieux lâineffable harmonie, Le silence des nuits, le murmure des flots, Si quelque part lĂ -bas la fiĂšvre et lâinsomnie Ne tâavaient fait songer Ă lâĂ©ternel repos ? Nâas-tu pas maintenant une belle maĂźtresse ? Et, lorsquâen tâendormant tu lui serres la main, Le lointain souvenir des maux de ta jeunesse Ne rend-il pas plus doux son sourire divin ? Nâallez-vous pas aussi vous promener ensemble Au fond des bois fleuris, sur le sable argentin ? Et, dans ce vert palais, le blanc spectre du tremble Ne sait-il plus, le soir, vous montrer le chemin ? Ne vois-tu pas alors, aux rayons de la lune, Plier comme autrefois un beau corps dans tes bras, Et si dans le sentier tu trouvais la Fortune, DerriĂšre elle, en chantant, ne marcherais-tu pas ? De quoi te plains-tu donc ? Lâimmortelle espĂ©rance Sâest retrempĂ©e en toi sous la main du malheur. Pourquoi veux-tu haĂŻr ta jeune expĂ©rience, Et dĂ©tester un mal qui tâa rendu meilleur ? Ă mon enfant ! plains-la, cette belle infidĂšle, Qui fit couler jadis les larmes de tes yeux ; Plains-la ! câest une femme, et Dieu tâa fait, prĂšs dâelle, Deviner, en souffrant, le secret des heureux. Sa tĂąche fut pĂ©nible ; elle tâaimait peut-ĂȘtre ; Mais le destin voulait quâelle brisĂąt ton coeur. Elle savait la vie, et te lâa fait connaĂźtre ; Une autre a recueilli le fruit de ta douleur. Plains-la ! son triste amour a passĂ© comme un songe ; Elle a vu ta blessure et nâa pu la fermer. Dans ses larmes, crois-moi, tout nâĂ©tait pas mensonge. Quand tout lâaurait Ă©tĂ©, plains-la ! tu sais aimer. LE POĂTE Tu dis vrai la haine est impie, Et câest un frisson plein dâhorreur Quand cette vipĂšre assoupie Se dĂ©roule dans notre coeur. Ăcoute-moi donc, ĂŽ dĂ©esse ! Et sois tĂ©moin de mon serment Par les yeux bleus de ma maĂźtresse, Et par lâazur du firmament ; Par cette Ă©tincelle brillante Qui de VĂ©nus porte le nom, Et, comme une perle tremblante, Scintille au loin sur lâhorizon ; Par la grandeur de la nature, Par la bontĂ© du CrĂ©ateur, Par la clartĂ© tranquille et pure De lâastre cher au voyageur. Par les herbes de la prairie, Par les forĂȘts, par les prĂ©s verts, Par la puissance de la vie, Par la sĂšve de lâunivers, Je te bannis de ma mĂ©moire, Reste dâun amour insensĂ©, MystĂ©rieuse et sombre histoire Qui dormiras dans le passĂ© ! Et toi qui, jadis, dâune amie Portas la forme et le doux nom, Lâinstant suprĂȘme oĂč je tâoublie Doit ĂȘtre celui du pardon. Pardonnons-nous ; â je romps le charme Qui nous unissait devant Dieu. Avec une derniĂšre larme Reçois un Ă©ternel adieu. â Et maintenant, blonde rĂȘveuse, Maintenant, Muse, Ă nos amours ! Dis-moi quelque chanson joyeuse, Comme au premier temps des beaux jours. DĂ©jĂ la pelouse embaumĂ©e Sent les approches du matin ; Viens Ă©veiller ma bien-aimĂ©e, Et cueillir les fleurs du jardin. Viens voir la nature immortelle Sortir des voiles du sommeil ; Nous allons renaĂźtre avec elle Au premier rayon du soleil ! Dansle prolongement de lâĂ©tat des lieux des relations rĂ©ciproques entre les musulmans et les non musulmans Ă Bruxelles menĂ© par le Centre Interdisciplinaire dâEtudes de lâIslam dans le Monde Contemporain (Cismoc) en 2013, cette nouvelle Ă©tude de