đŸȘ Le Petit Doigt Sur La Couture Du Pantalon

Jen profite d'ailleurs pour vous remercier sincĂšrement de votre aide et de vos conseils concernant la couture du jersey mais il semble que je faisais un mauvais enfilage de ma nouvelle MAC (depuis 2 ans, quand mĂȘme ;-) team # je dĂ©teste lire les modes d'emploi ;-)) et si ça passait pour les tissus chaĂźne et trame, pas sur le jersey, d'oĂč les

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Translation Context Grammar Check Synonyms Conjugation. Conjugation Documents Dictionary Collaborative Dictionary Grammar Expressio Reverso Corporate. Download for Windows . Log in. Register Log in Connect Lorsque vous apprenez Ă  coudre, en tant que dĂ©butant, vous rencontrez inĂ©vitablement Ă  de nouveaux mots et phrases de vocabulaire. Des mots qui s'Ă©loignent des simples tutos crĂ©atifs, des Ă©pingles et des machines Ă  coudre. Des mots qui, si on ne les connaĂźt pas, peuvent purement et simplement nous faire perdre pieds dans la pratique de la couture. Car il faut bien se le dire, apprendre une nouvelle discipline, une nouvelle technique, c'est pĂ©nĂ©trer un nouveau domaine en forme de nouveau monde, comme s'il fallait recommencer de zĂ©ro. Un monde oĂč il y a des initiĂ©s, et des dĂ©butants... comme vous ! Et tous sont aussi passĂ© par un apprentissage de la couture via le lexique. Pour vous aider Ă  comprendre ces mots et ces phrases, et Ă  ĂȘtre plus Ă  l'Ă©coute de votre nouveau passion, nous avons compilĂ© ce glossaire des termes de couture les plus importants, comme un nĂ©cessaire de couture, mais dans le dictionnaire. Apprendre la couture n'aura jamais Ă©tĂ© aussi stimulant aprĂšs ça ! Parmenture, dĂ©catissage, biais, surjeteuse, couture anglaise, thermocollant, appliqué .il semble dĂ©sormais Ă©vident que le monde de la couture a son jargon qui lui est propre ! Si le terme pince’ vous fait plus penser Ă  quelqu’un qui a des oursins dans les poches plutĂŽt qu’à un terme de couture, alors lisez plutĂŽt ces quelques mĂ©mos de confection textile. Superprof vous aide Ă  dĂ©crypter ce vocabulaire grĂące Ă  son grand lexique de la couture ! C'est parti pour les cours de couture dĂ©butant ! Les meilleurs professeurs de Couture disponibles4,9 36 avis 1er cours offert !4,9 74 avis 1er cours offert !4,9 52 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !5 28 avis 1er cours offert !4,9 30 avis 1er cours offert !4,9 36 avis 1er cours offert !4,9 74 avis 1er cours offert !4,9 52 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !5 28 avis 1er cours offert !4,9 30 avis 1er cours offert !C'est partiPetit dictionnaire du monde de la couture Le monde de la couture vous intĂ©resse ? Il vous intĂ©resse, mais vous ne savez pas vers quelle pratique vous diriger ? Peut-ĂȘtre qu'en commençant Ă  apprendre le petit lexique de base de la couture, cela vous aiderait, non ? Des patrons de couture, aux loisirs-crĂ©atifs, en passant par les travaux de couture professionnels, il va sans dire qu'il s'agit d'un domaine qui s'apprend, et dans lequel on ne peut Ă©voluer que si on en maĂźtrise les techniques. Et cela passe par les mots qui incarnent ces derniĂšres. Voici quelques-unes des expressions les plus rencontrĂ©es dans les livres de couture, d'histoire de la couture, sur les blogs de prĂȘt Ă  porter ou mode du web Les opĂ©rations de couture BĂątir assembler ses diffĂ©rents tissus de maniĂšre grossiĂšre en rĂ©alisant de gros point de couture Ă  la main. Il s'agit lĂ  en rĂ©alitĂ© d'une couture qui n'est pas vouĂ©e Ă  durer, un peu comme un brouillon. Les points cousus Ă  la mains se nomme les points de bĂąti, et on peut Ă©galement dire que "bĂątir" est synonyme de "faufiler" en couture. L'enjeu de "bĂątir" est, en couture, de confectionner son vĂȘtement Ă  l'image, une nouvelle fois, d'un brouillon, afin de tout vĂ©rifier niveau mesures, et passer Ă  l'action la couture Ă  la machine, dĂ©finitive. Biais il s’obtient en pliant le tissu en diagonal Ă  45°, ce qui sera la partie la plus souple du tissu. Mais il n'y a pas qu'une seule dĂ©finition, loin s'en faut, cela serait trop simple ! On appelle aussi biais les bandes de tissu dĂ©coratives que l’on va trouver en mercerie. Le biais d’un tissu se trouve en pliant le tissu en diagonal, Ă  45° par rapport aux lisiĂšres le fil de chaine se trouve alors contre le fil de trame. C’est la partie la plus Ă©lastique du tissu. » peut-on lire sur le site de Filoute et son glossaire de la super couturiĂšre. De plus, le biais existe en diffĂ©rents modĂšles, du plus large au plus simple. Border rĂ©aliser la finition d’un bord, pour Ă©viter que la matiĂšre ne s’effiloche. De maniĂšre trĂšs concrĂšte, il s'agit avant toute chose de l'enserrer dans une bande de tissu. Vous pouvez rĂ©aliser un biais, un galon ou encore une dentelle. Cela permettra de donner un aspect "fini" Ă  votre rĂ©alisation, en plus d'un esprit dĂ©coratif. Casser plier sa couture ou son tissu au fer Ă  repasser. Cela peut avoir plusieurs enjeux et intĂ©rĂȘts. Couture anglaise technique permettant d’obtenir des coutures nettes sur l’endroit comme sur l’envers du patron et souvent vue lors du cours de couture. Elle s’effectue en deux temps, et permet de garantir des finitions irrĂ©prochables, mĂȘme lorsqu'on retourne son vĂȘtement ou sa crĂ©ation ! Couper en biais dĂ©coupe Ă  45° par rapport au fil de trame. Les piĂšces qui demandent de la souplesse sont coupĂ©es en biais. Cela demande un peu d'expĂ©rience au dĂ©but, mais rassurez vous cela vient trĂšs vite ! Cranter cranter, c'est tout simplement rĂ©aliser de petites fentes droite ou en V sur le bord du tissu l’aide de la pointe de ciseaux. C'est un terme trĂšs utilisĂ© en couture, et c'est la raison pour laquelle il est important de le connaĂźtre, avant mĂȘme de la pratiquer, qui sait ? Cranter va permettre d’indiquer les repĂšres d’assemblage du patron. Cela permet aussi de donner des arrondis sans fioritures ni fil qui dĂ©passe. Une couturiĂšre va pouvoir aussi cranter dans la marge de couture pour donner plus de souplesse Ă  l’ouvrage et pouvoir mieux le retourner » selon Filoute. Vous pouvez vous procurer des ciseaux cranteurs dans toutes les bonnes merceries. Trouvez des cours de couture grenoble ici. À ce stade de notre petit lexique, peut-ĂȘtre en avez vous dĂ©jĂ  appris un peu plus sur la couture en tout cas, on le souhaite !. Peut-ĂȘtre mĂȘme avez vous commencĂ© Ă  vous entraĂźner Ă  mettre en pratique certains mots ? DĂ©catissage il s'agit lĂ  de la prĂ©paration du tissu lavage et repassage. Elle doit ĂȘtre identique avant et aprĂšs couture pour Ă©viter une mauvaise surprise rĂ©trĂ©cissement ou changement de couleur aprĂšs passage dans la machine Ă  laver. Plus qu'un mot, le dĂ©catissage est un geste capital dans le monde de la couture, de vĂȘtements et accessoires. DĂ©garnir les coins dĂ©garnir les coins ou les angles est l'action de dĂ©couper l’excĂ©dent de tissu au niveau des coins dans la marge de couture. Cela permet de retourner la patron sans trop de dĂ©gĂąts. Attention toutefois Ă  ne pas couper dans la couture, vous risqueriez de le regretter ! Entoiler entoiler est l'Ă©quivalent de rigidifier un tissu Ă  l’aide d’un morceau de toile ou de tissu rigide que vous venez coudre ou thermocoller au fer Ă  repasser sur la partie de tissu concernĂ©e bustier, col de chemise, lors de poches. Dans les cours de couture, votre professeur vous recommandera la Vlieseline, avec sa partie enduite d’adhĂ©sif qui va fondre sous l’effet de la chaleur du fer et va permettre le collage sur le tissu adjacent. Froncer technique de couture permettant de rĂ©aliser des sortes de plis dans le tissu, Ă  raison d'un seul, ou de plusieurs. Pour cela, il suffit simplement de coudre de grands points et de tirer les fils pour plisser le tissu. On peut aussi coudre des fronces avec une machine Ă  coudre. Froncer permet de rĂ©duire la largeur d'un tissu. Ourlet opĂ©ration frĂ©quemment rencontrĂ©e dans les ateliers de confection textile et consistant Ă  replier un tissu sur lui-mĂȘme pour raccourcir un vĂȘtement ou rĂ©aliser une belle finition, comme en bas d’un pantalon. Dans tous les cas, un ourlet se fait nĂ©cessairement et en toute logique sur la bordure d'un tissu ou d'une Ă©toffe. Ouvrir une couture cela permet d’aplatir les marges de couture grĂące Ă  un fer Ă  repasser. Il s'agit lĂ  de sĂ©parer ces mĂȘmes marges. Surfiler permet de finir les bords et d'Ă©viter l'effilochage grĂące Ă  une machine Ă  coudre et Ă  un point zig zag. La surjeteuse permet quant Ă  elle de couper et de coudre dans la mĂȘme opĂ©ration. Surfiler, c'est donner naissance Ă  une couture relativement lĂąche, et cela s'impose comme un geste de base, un geste Ă  connaĂźtre lorsqu'on souhaite pratiquer la couture de façon plus poussĂ©e ou plus professionnelle. Surjeteuse la surjeteuse est une machine Ă  coudre spĂ©cifique permettant de couper, piquer et surfiler un ou deux tissus en une seule opĂ©ration. Cette machine plutĂŽt rĂ©servĂ©e aux couturiĂšres expĂ©rimentĂ©es et professionnelles permet d’assembler les tissus et d’effectuer les finitions. Car oui, sans surjeteuse, impossible d'en reproduire l'effet et le travail elle est un outil indispensable car, prĂ©cisĂ©ment, irremplaçable, Ă  moins d'avoir un mois devant soi pour le faire soi-mĂȘme ! C’est une machine qui conviendra parfaitement aux tissus Ă©lastiques et modernes comme le jersey et le lycra. Tricot technique utilisĂ©e pour fabriquer une Ă©toffer Ă  partir d’un fil. Comment ? En tricotant, bien sĂ»r ! Les boucles constitutives d’un tricot sont appelĂ©es mailles cela peut ĂȘtre n'importe quel tissu, de la soie Ă  la laine, qui sont tenues sur des aiguilles. DĂ©couvrez aussi notre article la couture est-elle rĂ©servĂ©e aux femmes ? Les tissus/matĂ©riaux de couture Tissu et matĂ©riaux sont une base non nĂ©gligeable du monde de la couture ! Ils portent avec eux des termes et des univers qu'il est important de connaĂźtre pour pouvoir prĂ©tendre maĂźtriser la couture dans tout ce qu'elle a de plus riche ! AppliquĂ© forme en tissu qui est cousue au point bourdon sur un autre tissu. Il s’agit d’un Ă©lĂ©ment purement dĂ©coratif. Bord vif bord du tissu avant finition ourlet, surfilage, surjetage. Il convient de finir un bord vif afin d’éviter qu’il ne s’effiloche. Si vous coupez un matĂ©riau comme le nĂ©oprĂšne combinaisons de plongĂ©e, le tissu ne s’effiloche pas, on parle alors de bord brut. Bourdon point c'est un point de couture Ă  rĂ©aliser avec du coton Ă  broder un peu Ă©pais, qui se rĂ©alise de gauche Ă  droite ou de droite Ă  gauche. C'est selon ! On l'insĂšre dans une couture en relief. Et il existe Ă©galement le point de bourdon, visant Ă  former un relief sur l'Ă©toffe. Broderie art de dĂ©coration des tissus consistant Ă  ajouter un motif plat ou en relief, parfois en utilisant des matĂ©riaux tels que des paillettes, des perles, voire des pierres prĂ©cieuses. On distingue la broderie manuelle, semi-mĂ©canique faite Ă  la machine et mĂ©canique, rĂ©alisĂ©e sur des machines industriels. A Ă©tudier lors de son cours de couture Toulouse. Un exemple de broderie rĂ©alisĂ©e sur une couverture de lit. N'ayez pas peur d'apprendre quelques termes de base en couture, vous risqueriez bien de ne pas le regretter, et de faire la plus belle des rĂ©alisations ! BoutonniĂšre la boutonniĂšre dĂ©signe cette ouverture par laquelle on peut faire passer un bouton ou une dĂ©coration quelconque. La boutonniĂšre qui est aussi l'ouvrier ou l'ouvriĂšre, plus prĂ©cisĂ©ment qui se charge de cette tache, peut se coudre soi-mĂȘme ou Ă  la machine. Bouton-pression DestinĂ© Ă  nous simplifier la vie pas en tant que couturier !, la pression son autre nom est un bouton dont les deux parties en mĂ©tal s'emboĂźtent. On y retrouve alors une partie mĂąle et une partie femelle, qui se posent toutes deux non pas Ă  la main, mais avec une presse, une pince, ou tout autre outil spĂ©cifique et adaptĂ©. Canette La canette est ce support en forme de bobine de fil, que l'on retrouve sous la machine Ă  coudre. C'est donc lĂ  que le fil est enroulĂ©, et c'est grĂące Ă  la bobine que l'on peut faire passer le fil dans l'aiguille et rĂ©aliser des points. Vous ne savez pas ce qu'est un point ? Regardez notre dĂ©finition un peu plus bas ! ChaĂźne la chaĂźne est un fil du tissu se trouvant dans la longueur de la matiĂšre. Un tissu chaĂźne et trame, quant Ă  eux, se compose de fils entrecroisĂ©s dans le sens de la chaĂźne et de la trame, tout simplement. N'hĂ©sitez pas Ă  vous rĂ©fĂ©rer Ă  la dĂ©finition de "trame" un peu plus bas pour mieux saisir tous les rouages de ces termes ! Chas Le chas d'une aiguille est le trou percĂ© dans une aiguille par lequel on fait passer le fil, afin de pouvoir coudre en toute dĂ©tente. Droit fil vous allez toujours couper un tissu dans le sens du droit fil pour Ă©viter qu’il ne se dĂ©forme. Emmanchure 2 significations. Ouverture du vĂȘtement pour pouvoir sortir les bras dĂ©bardeur, top,
ou endroit sur lequel vous allez monter une manche chemise, haut Ă  manche longue de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. A voir pendant un cours de couture en ligne. Encolure ouverture en haut du vĂȘtement permettant le passage de la tĂȘte. On parle d’encolure de chemise, qui est toujours Ă  repasser en premier ! Endroit contre endroit une expression que vous entendrez beaucoup dans la bouche des couturiĂšres ou dans les livres de couture ! Elle signifie qu’il faut coudre les 2 tissus en les plaçant l’un sur l’autre, cĂŽtĂ© imprimĂ© de l’un contre cĂŽtĂ© imprimĂ© de l’autre. C’est la technique de couture la plus frĂ©quemment rencontrĂ©e puisqu’ainsi la couture se retrouve sur l’envers du vĂȘtement. Galon bande de tissu soie, laine, or ou argent,
 cousu au bord ou sur les coutures de vĂȘtements pour les empĂȘcher de s’effilocher ou pour servir de dĂ©coration. Laize largeur d’un tissu, d’une bordure Ă  une autre. LisiĂšre bord latĂ©ral des tissus. En gĂ©nĂ©ral, elle mesure 1 cm de large et diffĂšre du reste de la matiĂšre en Ă©tant plus serrĂ© ou en prĂ©sentant des petits points tout du long. Machine Ă  coudre machine permettant d’éxĂ©cuter automatiquement les points de couture, en utilisant 2 fils un fil enfilĂ© dans l’aiguille et un fil venant d’une bobine appelĂ©e canette. Des bobines Ă  coudre de diffĂ©rentes couleurs, la base de la couture ! Ce sont toutes ces couleurs qui constituent peu ou proue toute l'Ă©tendue du lexique de la couture. Car du fil au bord-cĂŽte, ce sont toutes ces couleurs qui s'imprĂšgnent d'un lexique. Marge de couture longueur ajoutĂ©e au patron pour permettre de coudre les piĂšces entre elles. Elle varie entre 0,5 et 1,5 cm. Elle est Ă©galement appelĂ©e valeur de couture. Molleton tissu de laine doux, chaud, moelleux, ressemblant Ă  une flanelle Ă©paisse. Parmenture piĂšce de tissu permettant de renforcer ou de rĂ©aliser une jolie finition au niveau de l’ouverture d’un vĂȘtement. Sur ce patron, on aperçoit 3 piĂšces du futur vĂȘtement, la parmenture ainsi que l'endroit pour faire l'ourlet. Ces termes vous paraissent trop flou pour comprendre ce dont il s'agit ? Aucun problĂšme, il vous suffit de rester sur cette page, et de consulter notre lexique de fond en comble ! Passepoil il s’agit d’une fine bande de tissu, placĂ©e entre 2 bordures de couture, qui dĂ©passe lĂ©gĂšrement pour rĂ©aliser de jolies finitions sur les bords d’un coussin par exemple, ou encore pour mettre en avant les lignes d’un vĂȘtement. Piquez le passepoil Ă  la machine en utilisant un pied spĂ©cial pied pour fermeture Ă  glissiĂšre qui vous permettra de coudre le plus prĂšs possible du cordon. » comme l’explique Louis Antoinette sur son blog de couture. Patron reprĂ©sentation d’un vĂȘtement vu de face ou de dos. sur chaque patron. Le patron est toujours un peu plus large que le vĂȘtement pour pouvoir assembler les diffĂ©rents morceaux grĂące aux coutures et autres ourlets. Sur chaque patron, on retrouve les dimensions de plusieurs tailles distinctes. Les planches de patron de couture sont dessinĂ©es sur ordinateur. Pince plis piquĂ©s en pointes sur l’envers du vĂȘtement pour cintrer les habits. Et si vous rĂ©visiez ce classique grĂące Ă  un cours de couture Brest ? Pli sur un patron, signifiĂ© qu’il faut positionner la piĂšce du patron sur le tissu pliĂ©, endroit contre endroit. Point de couture Un point est un type de couture de base. On retrouve des points droit le point classique, le point marche arriĂšre, ou encore le point de bĂąti ou le point zig zag. Il existe en tout huit points de couture diffĂ©rents. Point zigzag deuxiĂšme point le plus rencontrĂ© avec le point droit, il est utilisĂ© lors de la crĂ©ation d’ourlet pour que le tissu ne s’effiloche pas. Il peut se faire avec une machine Ă  coudre et sa largeur et longueur peuvent ĂȘtre rĂ©glĂ©es prĂ©cisĂ©ment. Popeline toile souple utilisant un fil de chaĂźne plus fin que le fil de trame. Elle est souvent rencontrĂ©e dans les chemises, corsages et robes. Surpiqure il s’agit d’une dĂ©coration qui intervient dans la finition d’un vĂȘtement ou d’un piĂšce en cuir pensez Ă  la surpiqure rouge sur les jeans ou les siĂšges en cuir d’une voiture de sport. La couturiĂšre vient piquer avec un point dĂ©coratif ou un fil d’une autre couleur. Il s'agit lĂ  d'un des huit points de couture de base. On voit bien la surpiqure en rouge sur la sellerie de cette voiture haut de gamme. C'est lĂ  toute la beautĂ© de la couture pouvoir s'insĂ©rer partout, tout le temps, qui que l'on soit, oĂč que l'on aille, quoi que l'on fasse. Une discipline qui a traversĂ© et traversera les Ăąges de la plus belle des maniĂšres ! Thermocollant tissu qui se colle sous l’action de la chaleur. Attention Ă  ne pas vous tromper de cĂŽtĂ© quand vous appliquez votre fer Ă  repasser sur le tissu sinon ça sera sa derniĂšre utilisation ! Astuce de grand couturier ne pas utiliser de vapeur lors du thermocollage car l’humiditĂ© peut empĂȘcher le tissu de coller correctement Ă  la piĂšce. Trame fil se trouvant dans la largeur du tissu, passant de façon transversale sur une machine. Tissu matĂ©riau composĂ© obtenu par tissage de fils la chaĂźne et la trame ou de fibres naturelles en coton, chanvre, lin ou synthĂ©tiques nylon, polyester, polyamide, viscose,.. Viscose soie artificielle, produite Ă  partir de cellulose. Cette derniĂšre peut ĂȘtre tissĂ©, tricotĂ©. Z comme vous Z’ĂȘtes au point ! C’est du CouZu ou Cousu Main ! Ne reste plus maintenant que du matĂ©riel de couture, de la pratique et des cours particuliers de couture pour devenir un as du point de croix ! Il ne vous reste plus qu'Ă  trouver l'inspiration sur les meilleurs comptes couture Pinterest ! Le lexique de la couture couturiertailleuraiguillevĂȘtement mannequinmodeprĂȘt-Ă -porterassemblage couturiùreconfectionmarqueatelier cousupatronrobetissu CourrrĂšgescrÂŽĂ©ationmodÂŽĂ©listepantalon tuniqueVionnetboutiqueChanel ChristiancostumecuirLanvin merceriesoieBalenciagaDior hautebroderiefaufilerhaute couture luxepiqžresurjetWorth clientleculturaŽlŽgancegalon patouplatechapeaudentelle Fashionjupeparfumtalon accessoireBernard ArnaultGivenchymodiste sur-mesureficelleLelongmŽtier passepoilVersaceYves Saint Laurentcarreau cicatricehabillerharnaisreliure tricotvogueaccsagriculture autoroute ABourdeillesCh‰teau-Salinschef-lieu communalcomtŽdÂŽĂ©partementalDordogne Mosellenord-ouestoccitanrd rÂŽĂ©partitionroutesecteurtaux Et connaissez-vous l'entoilage thermocollant ? 10 citations cĂ©lĂšbres du monde de la couture Si la couture est un monde riche et plein de sens, elle est aussi une vĂ©ritable technique du quotidien, qui s'insĂšre dans chaque partie de notre vie quotidienne. Et elle est aussi un monde plein d'inspirations, comme en tĂ©moignent ces citations ! En manque d'idĂ©es crĂ©atives ? Voici quelques citations cĂ©lĂšbres du monde de la couture, qui Ă©pateront vos profs et amis de ce milieu ! "La mode se dĂ©mode, le style jamais" Coco Chanel, "Marche comme s'il y avait 3 hommes derriĂšre toi" styliste de mode amĂ©ricain Oscar de la Renta, "Donne Ă  une fille les bonnes chaussures et elle pourra conquĂ©rir le monde" Marylin Monroe, "On n'est jamais trop, ni pas assez habillĂ© avec une petite robe" couturier Karl Lagerfeld, "L'Ă©lĂ©gance est la seule beautĂ© qui ne se fĂąne jamais" Audrey Hepburn", " La mode n’est pas quelque chose qui existe uniquement dans les vĂȘtements. La mode est dans l’air, portĂ©e par le vent. On la devine. La mode est dans le ciel, dans la rue "Coco Chanel, Si tu ne peux pas ĂȘtre mieux que la concurrence, il suffit de t’habiller mieux » Anna Wintour, rĂ©dactrice-en-chef du cĂ©lĂšbre magazine amĂ©ricain Vogue, La diffĂ©rence entre le style et la mode est la qualitĂ©. » Giorgio Armani, Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais dĂ©cidez de ce que vous ĂȘtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez. » Gianni Versace, Le style est une maniĂšre de dire qui vous ĂȘtes sans parler. » Rachel Zoe, styliste amĂ©ricaine. Retrouvez d'autres citations "inspiring" du monde de la haute couture, du stylisme et de la mode dans cet article du site Marie-Claire. Pourquoi maĂźtriser tous ces termes de couture ? Faire de la couture ne se rĂ©sume pas seulement Ă  savoir passer un fil dans le chas d'une aiguille, loin s'en faut ! Il est capital de connaĂźtre des termes de base et qui, pourtant, ne vont pas toujours de soi. Car lorsqu'on dĂ©bute, rien ne va de soi, Ă©videmment ! Car si votre professeur de couture vous demande de faire un patron et que vous ne savez pas ce dont il s'agit, vous vous trouverez bien mal ! MaĂźtriser les bases du lexique, c'est donc s'assurer une meilleure progression dans le temps, Ă  une rapiditĂ© plus intĂ©ressante, mais aussi et surtout de vous sentir le mieux possible dans votre pratique de votre couture. Car qu'on se le dise, une pratique Ă©panouie d'une discipline — quelle qu'elle soit — cela passe d'abord par se sentir en accord avec soi-mĂȘme, et pas dĂ©bordĂ© par les Ă©vĂ©nements. Si tel est votre cas, il est urgent de voir et revoir ce petit lexique pour amĂ©liorer votre pratique de la couture ! On l'aura compris, du noeud aux patrons en passant par le feutre ou le crochet, la couture est un univers riche, dense, qui couvre aussi bien l'ameublement que le textile ou les accessoires. C'est la raison pour laquelle les travaux de couture n'ont eu de cesse d'intĂ©resser les gens depuis des annĂ©es et plus encore ! Oui, mais pour rĂ©ussir Ă  s'intĂ©resser correctement Ă  la couture pour dĂ©butants, il est important, non, capital, d'en maĂźtriser les termes de base. Car, vous avez pu le voir, lorsqu'on ne sait pas ce qu'est un point, on ne peut pas maĂźtriser le terme de base de la couture, qui est, disons-le franchement, l'un des essentiels pour coudre un patron. Alors, vous aussi, mettez vous Ă  la couture ! Avez vous dĂ©couvert des termes nouveaux grĂące Ă  ce lexique ? D'autres Ă  ajouter ? Un, deux, trois, cousez !

Latelier de couture sur Lyon, est situĂ© au 2 Grande Rue, 69340 Francheville. Limitrophe Ă  Tassin-la-demie-lune , je vous reçois de 8h Ă  18h du lundi au samedi. Je peux aussi prendre en charge vos vĂȘtements en enlĂšvement Ă  domicile ou Ă  votre lieu de travail. Les services de retouche s'adressent aussi bien aux particuliers qu' 'aux

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Jaime travailler de mes dix doigts. Le scrapbooking est entrĂ© dans ma vie en 2001, la couture, la broderie y Ă©taient dĂ©jĂ  bien installĂ©es, quand Ă  la photographie, je suis tombĂ©e dans la marmite toute petite. D’autres “bidouillages artistiques” viennent Ă©galement de temps en temps enrichir mon univers.
Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Chemin de Traverse Re Sur le bancInvitĂ©, le Jeu 3 FĂ©v - 1859 Une plainte clairement audible, une douleur qui devait lui ronger le dos, et parcourir tous ses os, pour se diffuser dans tout son corps. Un son qui lui provoquait une sensation de plaisir, qui aurait certainement Ă©tĂ© trĂšs visible s’il n’avait pas dĂ©vorĂ© son cou. De toute maniĂšre, n’importe quelle plainte, ou hurlement, ou preuve de douleur voire d’agonie provoquait une rĂ©action en lui qui lui faisait afficher un sourire malsain, et ressentir quelques frissons de plaisir, de dĂ©lectation. Il prenait ainsi autant de plaisir que lors d’une caresse, un frĂŽlement, ou un partenaire – car enfin il pouvait rĂ©ellement la nommer ainsi – avait apparemment compris son mode de fonctionnement. Une caresse sur la joue, et une façon de le repousser dans les rĂšgles de l’art. Se prenant le sortilĂšge en pleine poitrine, il n’eut aucun droit de rĂ©flexion, aucun choix il fut projetĂ© quelques mĂštres plus loin, ne comprenant pas pourquoi il voyait le visage de la si Ă©nervante et attrayante Auror s’éloigner ainsi. Les effets du sortilĂšge commencĂšrent Ă  se dissiper, et Will put reprendre peu Ă  peu le contrĂŽle de ses dĂ©placements
 Enfin c’était vite dit il fut tout de mĂȘme obligĂ© de marcher Ă  reculons, ne faisant que suivre le mouvement afin de ne pas tomber. Alors que, certainement un ou deux mĂštres plus loin, il aurait pu stopper sa course, son articulation du genou rencontra un obstacle, ce qui lui fit plier les jambes. S’affaissant dans le vide, il perdit bien vite l’équilibre, mais le sol se fut bien plus proche qu’il ne le pensait, et ses fesses atterrirent bientĂŽt sur la surface dure d’une chaise de bois, qui glissa de quelques centimĂštres vers l’arriĂšre, manquant de se renverser en se stoppant d’un coup sec Ă  cause du carrelage irrĂ©gulier qui n’avait pas voulu qu’elle poursuive sa peu dĂ©boussolĂ©, Will ne put que regarder la belle petite brune, et l’admirer s’approcher de lui avec cette dĂ©marche chaloupĂ©e, sensuelle. Il fit le rapprochement avec ce moment oĂč il l’avait combattue et oĂč elle avait certainement mimĂ© l’attirance avant de se coller Ă  lui, lui arrachant par la mĂȘme occasion les boutons de sa chemise noire prĂ©fĂ©rĂ©e. C’était diffĂ©rent ici
 Sans doute ne faisait-elle pas semblant cette fois. Si sa dĂ©marche affichait une retenue trĂšs attirante, qui lui donnait envie de lui sauter dessus, son regard de braise trahissait ses vĂ©ritables intensions. Alors qu’elle approchait silencieusement, et que sa cravate se dĂ©nouait toute seule, il fit glisser son regard sur les courbes majestueuses et harmonieuses de son corps, renforcĂ©es par le tissu mouillĂ© qui lui collait Ă  la s’assit bientĂŽt sur lui, face Ă  lui, et Ă  ce moment prĂ©cis, son rythme cardiaque s’intensifia brutalement, alors que son cerveau perdait pied. Devenu complĂštement amorphe, il ne bougeait que grĂące Ă  ses rĂ©flexes personnels. C’est ainsi qu’il plaça ses deux mains sur ses cuisses, l’une l’agrippant avec force, comme s’il s’agissait d’un vulgaire morceau de viande – ce qui n’est pas tout Ă  fait faux. Quand c’est bien cuit, ça n’est qu’un vulgaire morceau de viande – et l’autre effleurant Ă  peine l’intĂ©rieur, du bout des doigts. Quelle serait la prise qui lui ferait le plus d’effet ? C’était certainement la question que tout ĂȘtre normal devait se poser, sauf qu’à l’heure actuelle, aucune question ne traversait son esprit. Il Ă©tait vide, complĂštement vide, et seul l’instinct du chasseur prĂȘt Ă  s’approprier une proie, Ă  la dĂ©vorer, Ă  la faire pĂ©nĂ©trer en son corps et en sa chair, en son sang, rĂ©sistait et prĂ©disait son esprit. Quelques caresses sur son torse mutilĂ© lui firent prendre un peu peur. Il n’était en effet pas trĂšs rassurĂ© elle avait vu son torse ! Et si elle le reconnaissait ? Mais ses inquiĂ©tudes ne prirent pas de place majeure, tant l’envie de connaĂźtre la suite, de poursuivre la chose, d’ĂȘtre plus proche d’elle Ă©tait plus pressante. Il ressentit bientĂŽt la douce agonie de ces lĂšvres pulpeuses qui ne se collent jamais, allant avec cette envie irrĂ©pressible de s’approcher un peu pour la prendre au piĂšge. Mais ce n’est que lorsqu’elle prit sa lĂšvre en otage entre ses deux rangĂ©es de dents qu’il prit conscience qu’il se laissait complĂštement dominer. L’envie lui prit soudain de la serrer contre lui, si fort qu’il irait mĂȘme jusqu’à l’étouffer, avant de la repousser violemment et de lui montrer de quoi il Ă©tait capable. A cet instant prĂ©cis, il augmenta la pression sur sa cuisse, ce qui blanchit ses articulations, tant les sentiments qui l’animaient Ă©taient contradictoires. Peut-ĂȘtre avait-elle mal, mais c’était Ă  lui de rĂ©agir
 Rien de mieux que d’alterner les rĂŽles pour avoir une relation plus se laissa quelques instants pour reprendre la maĂźtrise de son corps, et particuliĂšrement de son rythme cardiaque. Cela nĂ©cessitait quelques longues secondes pendant lesquelles il dĂ» essayer de mettre cette attirance pour elle de cĂŽté  Pas la peine de prĂ©ciser qu’il ne rĂ©ussit qu’à passer pour un imbĂ©cile, en tentant de respirer plus lentement pour masquer son Ă©tat d’excitation important, tout du moins pour lui si elle n’avait rien fois les idĂ©es claires
 Hum, est-ce qu’elles sont vraiment claires ? Non pas vraiment, c’est tout embrouillĂ© dans sa tĂȘte ! Bon, nous dirons alors simplement qu’il a rĂ©cupĂ©rĂ© un peu de contrĂŽle sur lui-mĂȘme. Donc, une fois cette opĂ©ration difficile rĂ©ussie – ou presque – il desserra la pression exercĂ©e sur l’une de ses cuisses, et remonta la main qui faisait une petite caresse sur son ventre. DĂšs qu’il eut l’occasion de prendre le dessus, il la repoussa brutalement de ses genoux et avec une force incroyable – surtout pour lui – en se levant pratiquement en mĂȘme temps. Sachant que son geste serait certainement assez dĂ©sagrĂ©able pour son Ă©quilibre, il agrippa son poignet droit avec sa main droite, qu’il avait auparavant libĂ©rĂ©e en laissant sa baguette sur la chaise, juste aprĂšs avoir jetĂ© un sort qui avait permis de diffuser une petite musique latine dans la piĂšce. Ainsi, il servait de contrepoids et l’empĂȘchait de tomber Ă  la renverse. Mais plus que l’envie de ne pas la laisser tomber comme celle que ressentait un parfait gentleman, c’était plutĂŽt l’occasion de la faire se rapprocher de lui par le mĂȘme contact qui le poussait Ă  la retenir, car cela ne l’aurait pas plus dĂ©rangĂ©e que cela qu’elle soit dĂ©jĂ  au sol, bien au fois debout, et sans mĂȘme attendre que leur Ă©quilibre Ă  tous les deux soit parfait, il fit un mouvement sec du bras pour l’attirer contre lui, profitant du mou qui arrivait pour lĂącher son poignet et passer rapidement son bras droit derriĂšre son dos. Une fois pratiquement collĂ©e Ă  lui, il plaça son index et son majeur droits de chaque cĂŽtĂ© de sa colonne vertĂ©brale, Ă  peu prĂšs Ă  l’endroit oĂč s’arrĂȘtaient les deux omoplates, et il appuya, ce qui dĂ» diffuser une douleur le long de son Ă©chine la forçant Ă  se coller Ă  lui. Ainsi, il pouvait sentir le fin tissu qui maintenait encore les parties de son corps les plus convoitĂ©es emprisonnĂ©es, contre son torse dont le centre n’était plus masquĂ© par sa splendide chemise couleur sang. Sa main droite Ă  elle termina donc sa main gauche Ă  lui, tandis qu’il plaçait une de ses jambes entre les siennes, lui laissant l’occasion de lui donner – pour la seconde fois depuis qu’il la connaissait – un coup de pied trop bien placĂ©. Mais ce n’était pas pour cette raison qu’il les plaçait ainsi. De cette façon, elle pourrait mieux sentir son dĂ©sir pour elle
Une main en haut, une plus en bas, un pas Ă  gauche, un pas Ă  droite
 Ces soirĂ©es lĂ  ! Ahum ahum on drague on branche toi-mĂȘme tu sais pourquoi ! Ah
 Pardon, je m’égare, bien que cette chanson rĂ©sume assez bien la situation. Will n’avait jamais Ă©tĂ© un trĂšs bon danseur, mais lorsqu’il fallait laisser ses sentiments corporels s’exprimer, il savait faire. Aussi fit-il une danse aussi sensuelle que la bachata, avec des pas ressemblant au tango et des figures » s’apparentant Ă  la salsa. Voici une danse sensuelle oĂč la proximitĂ© des corps et les diffĂ©rentes expressions du dĂ©sir comptaient plus que la rĂ©alisation mĂȘme. Mais, conscient de la possibilitĂ© qu’il y avait qu’elle trouve cette danse un peu dĂ©placĂ©e dans le contexte actuel, et qu’elle s’ennuie plus ou moins, il ne mit pas longtemps avant de dĂ©voiler son vĂ©ritable objectif. Profitant de deux ou trois pas pour l’approcher d’un obstacle, il rompit le contact entre sa main droite et son dos et, d’un mouvement sec il la fit tourner et dĂ©plier le bras. Sachant la distance trop courte pour pouvoir continuer le mouvement, il la regarda s’écraser contre le mur avec un sourire sadique sur le visage, avant de la ramener vers lui rapidement et de reprendre la mĂȘme position qu’ allant vers l’arriĂšre, il la fit tout de mĂȘme tourner et n’eut besoin, encore une fois, de ne faire quelques pas – pendant lesquels il lui dĂ©voila son dĂ©hanchĂ© le plus sexy – et cette fois ce ne fut pas contre un mur qu’il l’entraĂźna brutalement, mais il la poussa plutĂŽt contre une table. Pas chance pour elle – mais aussi un peu pour lui – cette table Ă©tait exactement Ă  la hauteur des fesses de la demoiselle ce qui permit Ă  son compagnon du soir de la faire glisser dessus sans le moindre par une envie sadique de douleur, il changea de technique. S’il gardait toujours les jambes et le bassin de la mĂȘme position, ce qu’il trouvait d’ailleurs affreusement sexy, ses deux mains glissĂšrent et changĂšrent de position. Sa main gauche, qui lui tenait la main auparavant, se glissa dans ses cheveux, tandis que sa main droite dĂ©gagea, en glissant simplement un doigt le long de son corps, son Ă©paule droite du morceau de tissu blanc qui la couvrait. Lui faisant croire qu’il allait lui donner un baiser passionnĂ© en approchant ses lĂšvres des siennes, il referma sa prise dans ses cheveux et les tira avec force, l’obligeant Ă  tourner la tĂȘte et Ă  la mettre vers la l’arriĂšre, lui offrant ainsi tout son profil et un large espace de douces lĂšvres qui Ă©taient prĂȘtes Ă  attaquer sauvagement la chair de la belle ne se firent pas prier pour entourer l’oreille qui leur Ă©tait offerte. Utilisant l’émail solide de ses dents blanche, il mordilla mĂȘme le cartilage avant de descendre Ă  une vitesse fulgurante sur son cou, en laissant derriĂšre lui une trace humide. Il alla ainsi jusqu’à cette Ă©paule prĂ©cĂ©demment dĂ©couverte pour lui mordre sensuellement, sans lĂącher l’emprise qu’il avait sur ses cheveux et qui devait lui faire atrocement mal
Quant Ă  cette main qui avait, d’un geste, dĂ©couvert l’épaule de la demoiselle, elle Ă©tait venu explorer ce qui se trouvait sous la jupe de sa proie. C’est ainsi que, caressant son gibier pour le rassurer, cette petite main aventureuse en trouva bientĂŽt la faille, comme le fil qui dĂ©passe du gilet tout neuf que l’on vient d’acheter et qui rĂ©duit cette crĂ©ation merveilleuse Ă  l’état simple et barbare, l’état initial, brute, non travaillĂ©, de fil tout entortillĂ©. Un doigt, puis un deuxiĂšme se glissa au niveau du dernier voile et, le moment venu, Will tira pour le faire descendre. Retenu par la table, il ne put bouger que de quelques centimĂštres Ă  l’endroit oĂč il Ă©tait tirĂ©, et le blondinet ne put qu’ĂȘtre surpris de cette rĂ©action qu’il n’avait pas prĂ©vue. C’est ainsi qu’il poussa un petit cri retenu de surprise, de stupeur. InvitĂ© Re Sur le bancInvitĂ©, le Ven 18 Mar - 2259 Il semblait dĂ©stabilisĂ©, le blondinet ! Rythme cardiaque qui frĂŽlait l’infarctus, souffle court
 Et la main qui emprisonnait sa cuisse traduisait l’empressement et le dĂ©sir qui devait sans doute le gagner de seconde en seconde. C’était justement ce qu’elle voulait le faire exploser, faire sauter la soupape de sĂ©curitĂ©, le pousser Ă  bout ! Jouer avec ses nerfs jusqu’à le rendre dingue ! Et lorsqu’il se leva subitement en la faisant basculer en arriĂšre, lorsqu’il encercla son poignet pour l’attirer avec force vers lui, elle sut que sa mission Ă©tait accomplie elle le faisait marcher comme elle voulait, par le bout du nez et par la braguette !Pourtant, une petite pression dans le creux de ses omoplates lui arracha une lĂ©gĂšre grimace et la força Ă  rĂ©duire Ă  nĂ©ant les quelques centimĂštres qui sĂ©paraient encore son cƓur du sien. La chaleur de sa peau irradia la sienne Ă  la seconde oĂč son Ă©piderme entra en contact avec son torse. Qui menait l’autre par le bout du nez Ă  prĂ©sent ? Ca n’était plus elle, il fallait se rendre Ă  l’évidence... Il glissa ses doigts dans sa main, ainsi qu’une de ses jambes entre les siennes, faisant lĂ©gĂšrement remonter le tissu de sa jupe. Ses lĂšvres Ă  quelques millimĂštres des siennes, son souffle venant s’échouer sur ces derniĂšres en un baiser factice, Lily ne quittait pas du regard le visage d’ange Ă  portĂ©e de sa littĂ©ralement dans les deux pupilles Ă©meraude qui l’hypnotisaient, elle ne remarqua mĂȘme pas les quelques pas qu’il effectua ; et encore moins le mur derriĂšre elle. Son bras se dĂ©plia, son corps se dĂ©tacha avec regrets du sien, et dans un gĂ©missement douloureux, son dos heurta avec fracas le plĂątre crasseux. Elle plissa les yeux et n’eut pas le temps de les rouvrir que dĂ©jĂ , il l’attirait de nouveau Ă  lui. Cependant, ses pupilles Ă  elle devaient s’ĂȘtre teintĂ©es d’une ombre de dĂ©sapprobation, un Ă©trange sentiment que d’éprouver une douleur fulgurante avant de sentir un corps brĂ»lant et consolateur juste aprĂšs. Cette douleur, elle l’accueillait avec bonheur, juste pour obtenir la satisfaction d’une rĂ©compense bien mĂ©ritĂ©e ensuite. Elle en aurait bien redemandĂ© si elle avait eut la promesse de ses mains l’étreignant deux secondes plus l’entraĂźna de nouveau vers la table, dont le bois glissa sous ses fesses de façon presque calculĂ©e. C’était un ballet gracieux et chacun de ses gestes semblait chorĂ©graphiĂ©, de ses hanches contre les siennes, jusqu’à ses doigts qui glissĂšrent en une caresse pour dĂ©barrasser l’épaule de la jeune femme d’un tissu devenu bien trop superflu. Elle frissonna et ses yeux se teintĂšrent d’un feu dĂ©vorant et passionnĂ©. Diable, qu’attendait-il pour rapprocher ses lĂšvres et l’étouffer de baisers ? Ne sentait-il pas son cƓur frapper violemment contre ses cĂŽtes ? N’entendait-il pas son souffle s’éteindre en une priĂšre muette ? Qu’il mette fin Ă  cette dĂ©licieuse torture, tout de suite ! Cette main, qui se glissait dans ses cheveux, sonnait comme un air de dĂ©livrance.*Approche
 Laisse moi goĂ»ter Ă  ta bouche
 Fais moi Ă©couter ta symphonie
 *Pourtant, ses doigts se resserrĂšrent autour de sa chevelure et l’obligĂšrent Ă  basculer la tĂȘte. Et Ă  s’éloigner de ses lĂšvres par la mĂȘme occasion. MalgrĂ© l’élancement et la surprise, Lily ne broncha pas, laissant seulement s’échapper une lĂ©gĂšre exclamation de douleur Ă  peine audible. Si son petit corps avait droit d’ĂȘtre serrĂ© trĂšs fort ensuite, elle n’allait pas protester ! S’il jouait le jeu, il devait l’étreindre ensuite. C’était comme ça qu’il fonctionnait, pour son plus grand plaisir ! Ses bras, oĂč Ă©taient-ils ? Pourquoi ne l’enlaçait-il pas ? Escroc
Finalement, il paya sa dette avec ses lĂšvres, qui descendirent de sa nuque jusqu’à la pointe de son Ă©paule, libĂ©rant un petit courant Ă©lectrique Ă  leur passage sur la peau de l’Auror. Le sorcier tenait toujours fermement la jeune femme, qui n’osait bouger de peur qu’un millimĂštre de plus ne lui arrache le cuir chevelu
 Il avait Ă©puisĂ© son crĂ©dit souffrance il devait arrĂȘter, ou bien il devait payer ! Et par bonheur, c’est sa main qui vint rĂ©gler la facture. En une caresse dĂ©licate, Will laissa courir ses doigts sur la cuisse de sa victime qui attendit sagement le Ă  premiĂšre vue, il y avait un petit problĂšme technique
 Et le Monsieur semblait dĂ©semparĂ© devant ce dĂ©tail des plus insignifiants ! Quoi ?! Un homme avec son expĂ©rience devait savoir qu’il n’était pas obligatoire d’enlever tous les vĂȘtements pour s’adonner Ă  ce jeu-là
 DĂ©licatement, Lily redressa son visage en faisant glisser ses cheveux des doigts du sorcier. Les yeux Ă  prĂ©sent ancrĂ©s aux siens, un sourire en coin sur les lĂšvres, elle encercla ses jambes autour de la taille de l’inexpĂ©rimentĂ© XD pour le rapprocher tout contre elle. Ses lĂšvres, elle les voulait et elle n’allait pas se faire prier pour y goĂ»ter. Puisqu’il ne daignait pas les lui offrir, elle allait les prendre ! Elle passa ses doigts derriĂšre la nuque du jeune homme pour l’attirer contre elle, laissant la vague de chaleur ramper sur sa chair Ă  travers chaque petit centimĂštre carrĂ© de sa peau contre la sienne. Son corps Ă  prĂ©sent contre celui de Lily, il devait sentir les battements saccadĂ©s dans sa poitrine. S’il laissait courir ses doigts jusqu’à sa gorge, il sentirait son pouls frappant violemment. Son souffle ; impatient, dĂ©sordonnĂ©, incontrĂŽlable ; devait traduire l’envie irrĂ©sistible de le dĂ©vorer de baisers avec une fougue incoercible. Doucement mais fermement, elle pressa ses lĂšvres sur sa bouche avec une satisfaction non dissimulĂ©e. Sa deuxiĂšme main vint faire glisser la chemise devenue parfaitement inutile des Ă©paules du sorcier ; main qui en profita pour parcourir son dos en y laissant une lĂ©gĂšre griffure contrĂŽlĂ©e. La premiĂšre dĂ©laissa sa nuque, la seconde son dos ; et toutes deux rejoignirent la braguette du pantalon qui se retrouva bientĂŽt sur les chevilles de son propriĂ©taire
MalgrĂ© le jeune homme qui lui donnait trĂšs chaud, les vĂȘtements humides et les cheveux ruisselants provoquĂšrent un frisson dĂ©sagrĂ©able au creux des reins de la brunette. La baguette que Lily avait abandonnĂ©e sur le coin de la table quelques minutes plus tĂŽt Ă©tait toujours lĂ . Et d’une main inattentive, elle s’en saisit pour viser la cheminĂ©e et lancer un Incendio dans l’ñtre, qui se para de flammes contre cƓur, elle dĂ©noua ses jambes des hanches du sorcier afin de descendre de la table. Elle consentit Ă  dĂ©tacher ses lĂšvres des siennes pour l’attirer devant le feu crĂ©pitant et Ă©viter ainsi une pneumonie
. Et avant qu’il n’esquisse le moindre mouvement, elle lui administra un lĂ©ger coup derriĂšre les genoux pour le faire tomber Ă  la renverse. SitĂŽt tombĂ© lourdement au sol, elle posa un genou fermement sur sa poitrine avant de se pencher et de lui murmurer C’est ça, la raison minable que tu as trouvĂ© pour que je te frappe ?
 »DĂ©licatement, elle s’allongea sur lui avant de laisser sa langue effleurer les lĂšvres du jeune homme. La chorĂ©graphie calculĂ©e Ă©tait dĂ©sormais bien loin, et il Ă©tait temps de laisser place Ă  l’improvisation pour que le clou du spectacle soit Ă  la hauteur des protagonistes ! InvitĂ© Re Sur le bancInvitĂ©, le Dim 27 Mar - 2343 L’étreinte
 Le cĂąlin, le rĂ©confort. L’étreinte
 La prison, mais un trĂ©sor. L’étreinte
 Le moyen de se sentir accompagnĂ©, soutenu, lors de nos joies, lors de nos peines. L’étreinte
 Un moyen de partage entre deux ĂȘtres, l’échange simple d’un contact humain. Cette Ă©treinte qu’il recherchait depuis si longtemps ! Combien d’heures, de jours voire de semaines n’avait-il pas passĂ© en de si bonne compagnie, Ă  partager ce genre d’étreinte passionnĂ©e ? Repousser pour Ă©touffer par la suite, faire mal et panser les blessures. C’était son fonctionnement, sa maniĂšre de partager son Ă©treinte, et elle ne semblait pas mĂ©contente de sa maniĂšre d’agir. Tant mieux ! Qu’elle apprĂ©cie et qu’elle lui fasse subir le mĂȘme sort ! La compĂ©tition de la domination de cette Ă©treinte avait dĂ©marrĂ©, et la petite brune savait se dĂ©fendre
L’eau, les gouttes, les microparticules qui formaient simplement l’humidité  Voici ce qui contribuait Ă  donner Ă  nos deux protagonistes l’envie de s’étreindre un peu plus. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce la sensation de fraĂźcheur qui accompagnait cette humiditĂ© qui leur donnait tant envie de se rĂ©chauffer en se frottant l’un Ă  l’autre. De plus, les quelques gouttes qui se dĂ©cidaient Ă  dĂ©valer les parties du corps de chacun d’eux se paraient d’un petit air coquin, donnant irrĂ©sistiblement envie de dĂ©poser ses lĂšvres sur cette partie du corps accueillant ces petites gouttelettes, pour boire ce liquide ainsi qu’il avait dĂ©cidĂ© de ne plus s’attaquer Ă  ses lĂšvres, mais de couvrir son Ă©paule de baisers. Etait-ce donc la seule raison ? Non
 Bien sĂ»r que non ! Il y en avait une autre, bien plus profonde
 Il s’était rendu compte du pouvoir de sĂ©duction de la donzelle. Alors qu’il Ă©tait toujours certain que les demoiselles Ă©taient Ă  ses pieds et que c’était Ă  lui de leur dire qu’il Ă©tait disponible pour elles, il s’était aperçu, ici, qu’elle avait un charme certain et qu’elle Ă©tait capable de lui faire perdre pied. Mais comment ? Will Crow pourrait alors perdre pied !? Bien sĂ»r ! Il savait pertinemment que s’il goutait une nouvelle fois Ă  ses dĂ©licieuses lĂšvres, il s’abandonnerait Ă  elle, et elle gagnerait. Il ne pourrait alors plus calculer ses mouvements comme lors de cette danse sensuelle, il serait obligĂ© de laisser place Ă  cet instinct primitif qui rĂ©gissait l’Homme, et l’homme plus question de lui montrer ses faiblesses ! Il avait simplement besoin de reprendre pied, de laisser son petit cƓur tout affolĂ© se reposer pour ensuite lui offrir ce qu’elle dĂ©sirait. Mais comment apaiser la batterie qui accĂ©lĂ©rait toujours dans sa poitrine ? Comment lui demander d’arrĂȘter de battre ? Et comment arrĂȘter les soulĂšvements rapides de son torse qui indiquaient que sa respiration Ă©tait aussi vive et forte que s’il devait souffler dans une trompette ? Il avait trouvĂ© le moyen l’empĂȘcher de bouger en la contraignant Ă  Ă©loigner ses lĂšvres des siennes, et la conforter en embrassant quelques parcelles de sa peau. Ne s’estimait-elle pas heureuse ? Nombre de femmes souhaiteraient certainement – tout du moins dans l’esprit de ce garçon – se trouver Ă  la place de ne devait pas savoir la chance qu’elle avait qu’il s’offre ainsi Ă  elle, car Ă  l’instant mĂȘme oĂč il souhaitait la dĂ©vĂȘtir plus amplement, ce qui ne se fit pas car la table sur laquelle elle Ă©tait installĂ©e s’accrochait fermement Ă  sa jupe, elle se libĂ©ra de son emprise. L’ingrate [Faut pas me chercher XD] l’empĂȘcha alors de mener Ă  bien ce qu’il commençait tout juste Ă  prĂ©voir, pour pouvoir se maĂźtriser de nouveau et reprendre une domination pleine et sereine de leur Ă©treinte. Elle ne devait pas souhaiter qu’il retire un seul vĂȘtement supplĂ©mentaire puisqu’elle entoura ses hanches de ses deux longues et fines jambes, l’empĂȘchant par la mĂȘme occasion de se reculer pour se contenir et se retenir de lui sauter dessus. Mais si encore elle avait dĂ©cidĂ© de ne faire que cela, il aurait pu trouver un moyen de s’en sortir !Ne lui laissant absolument aucune chance de faire durer leurs dĂ©licieuses caresses plus longtemps, une main entreprit d’attoucher affectueusement et surtout avec une douceur sensuelle son cou, tout en l’obligeant malgrĂ© lui Ă  se rapprocher, Ă  se coller Ă  elle, Ă  ressentir cette nouvelle chaleur irrĂ©sistible lors des retrouvailles de leurs peaux brĂ»lantes et humides. Son souffle, aussi court qu’un coureur Ă  la fin d’un marathon, vint bientĂŽt s’échouer sur les dĂ©licates lĂšvres rosĂ©es de sa compagne d’un soir, juste avant qu’ils ne les unissent, poussĂ©s par la main insistante sur son cou et par l’envie irrĂ©sistible de sentir de nouveau leur chair rĂ©unie. Un Ă©change, passionnĂ©, lui faisant oublier tout ce qu’il se passait autour de lui, jusqu’à ne plus sentir le contact de ses mains sur son corps et Ă  ĂȘtre surpris par la sensation dĂ©sagrĂ©able de froid qui lui parcourait les bras et le dos Ă  la tombĂ©e de sa chemise. Reprenant peu Ă  peu conscience des Ă©vĂ©nements, l’ongle qui dĂ©vala son dos lui donna l’irrĂ©pressible envie de faire peser un peu plus son poids pour l’allonger sur cette table et poursuivre de maniĂšre plus intime leur douce mĂȘme qu’il prenait cette dĂ©cision et qu’il s’apprĂȘtait Ă  se coucher sur elle, elle retira ses jambes, et abandonna les agrĂ©ables caresses de son dos et de sa nuque. Mais non, ne pars pas ! Dans un geste dĂ©sespĂ©rĂ© de la rattraper, il plaça une de ses mains dans son dos, et en fit une plus pressante sur sa nuque. Ne bouge plus ou tu pourrais bien regretter d’avoir voulu te sauver ! Mais pour ce qui Ă©tait du regret, c’était lui le plus embĂȘtĂ© il regrettait d’avoir laissĂ© sa baguette sur la chaise, car il aurait bien voulu l’attacher Ă  l’aide d’un petit Incarcerem, histoire de s’assurer qu’elle ne s’en irait pas en si bon pensĂ©es se rĂ©vĂ©lĂšrent bien vite fausses. Elle n’avait pas cherchĂ© Ă  s’enfuir, puisque ses mains rejoignirent bientĂŽt son pantalon, et Ă  peine quelques secondes plus tard, un immense courant d’air froid passa sur ses gambettes, lui faisant avoir un Ă©norme frisson qui rompit leur baiser. Si l’humiditĂ© et la chaleur ne le gĂȘnaient pas Ă©normĂ©ment, le froid sur ses jambes mouillĂ©es le dĂ©rangeait en tout point, et il accueillit le feu dans la cheminĂ©e avec un plaisir non sourire se logea sur ses lĂšvres, tandis qu’il savourait la dĂ©licieuse idĂ©e qu’elle venait d’avoir d’allumer un feu d’un coup de baguette magique. C’est aussi sans doute pour cette raison qu’elle rĂ©ussit Ă  se lever de la table si facilement, pour l’entraĂźner plus prĂšs encore de cette cheminĂ©e. C’est donc Ă  petits pas lents qu’il la suivit, freinĂ© par son pantalon mouillĂ© et par la mĂȘme occasion trĂšs lourd qui entravait ses chevilles. S’il avait gardĂ© les mains allongĂ©es sur le corps et que son buste avait penchĂ© sur le cĂŽtĂ© Ă  chaque pas qu’il avait effectuĂ©, il serait sans aucun doute passĂ© pour un petit pingouin en marche sur la banquise !NĂ©anmoins, il s’arrĂȘta bien vite
 Cette dĂ©marche, aussi ridicule qu’amusante, fut stoppĂ©e par un coup reçu Ă  l’arriĂšre des genoux et qui le fit tomber lourdement au sol, sans mĂȘme qu’il n’en comprenne la raison. La demoiselle avait frappĂ© et l’avait sans mal neutralisé  Il avait pourtant su lui montrer des facultĂ©s bien plus avancĂ©es lors de leur rencontre prĂ©cĂ©dente
 Tiens, en parlant de rencontre prĂ©cĂ©dente, la voilĂ  qui reproduisait le mĂȘme schĂ©ma ! Alors qu’il se trouvait couchĂ© sur le sol, elle posa un genou sur son torse. Pendant un moment, le flash de la bataille du ministĂšre refit surface
 Elle, un genou posĂ© sur sa poitrine, la baguette lançant quelques Bombarda en direction de sa tĂȘte et lui demandant sur un ton trĂšs peu cordial de lĂącher son arme. Lui, trop excitĂ© par le charme de la demoiselle, l’avait tout simplement retournĂ©e et avait pris le dessus
Si la suite des Ă©vĂ©nements n’était pas trĂšs glorieuse pour lui, et qu’il souhaitait retirer de sa tĂȘte les images suivantes, il ne fut pas déçu des Ă©vĂ©nements qui se passĂšrent sans son masque. La demoiselle avait ici les mĂȘmes envies que lui, ce qui n’était visiblement pas le cas pendant le combat qui s’était dĂ©roulĂ© au ministĂšre, oĂč il avait manifestĂ© physiquement un grand intĂ©rĂȘt pour la demoiselle, sans avoir de remerciement. Elle prononça une phrase, une seule petite phrase, mais dont l’effet fut immĂ©diat. C’est ça, la raison minable que tu as trouvĂ© pour que je te frappe ?
 »Un petit rire sortit de la gorge du jeune homme, alors qu’il se rappelait des quelques Ă©vĂ©nements qui les avaient conduits Ă  terminer dans cette position. Mais elle ne comptait visiblement pas en rester là
 Reprenant le dessus en se plaçant sur lui, elle alla mĂȘme jusqu’à s’allonger entiĂšrement sur son corps et Ă  lĂ©cher ses lĂšvres du bout de sa langue. Des Ă©toiles plein les yeux, il se contenta de la laisser faire, incapable de bouger le moindre membre, comme hypnotisĂ© par ce charme et ce charisme qu’elle dĂ©gageait. C’est donc en puisant dans les toutes derniĂšres forces qu’il avait pour lui rĂ©sister qu’il passa une main dĂ©licate sur sa joue afin de la repousser de quelques millimĂštres. Un sourire rieur passa pendant quelques secondes sur son visage, tandis qu’il allait lui murmurer tendrement Ă  l’oreille Je peux t’en donner une autre
 »Avant mĂȘme d’attendre sa rĂ©action, il fit glisser cette main qui se trouvait sur sa joue pour qu’elle aille se placer derriĂšre sa nuque, et colla dĂ©licatement sa joue contre le sienne. Pendant quelques secondes, il profita simplement de cette position, sentant le souffle chaud de sa compagne sur son oreille, alors qu’elle-mĂȘme devait ressentir la mĂȘme sensation
 Mais cette sensualitĂ© ne dura que les quelques secondes oĂč il avait dĂ©cidĂ© de ne pas bouger. Car en effet, lorsqu’il commença Ă  frotter, doucement – mais sĂ»rement ! – sa joue contre la sienne, le picotement de sa barbe de trois jours empĂȘcha toute nouvelle sensualitĂ©. Hop, un peu sur la joue, un peu dans le cou
 En voilĂ  une bonne raison de le frapper !Mais MĂŽsieur n’était pas assez inconscient pour poursuivre son action trop longtemps
 Si se retrouver avec une belle marque sur la joue ne le dĂ©rangeait plus – Ă  force, on s’y fait
 – la perspective de la voir partir alors qu’il ne faisait que s’amuser, dans un moment aussi intime, lui fit bien vite renoncer Ă  poursuivre. Aussi, pour se rattraper, bougea-t-il simplement la tĂȘte afin d’avoir accĂšs Ă  ses lĂšvres, et lui offrir un tendre nuit se poursuivit tandis que nos deux protagonistes poursuivaient leurs Ă©changes, toujours plus intimes. EnveloppĂ©s par cette torpeur, le temps sembla s’écouler bien plus vite qu’il ne le fallait, aussi, le temps de sommeil fut-il court jusqu’à l’aube. Depuis qu’il dormait dans la rue, Will n’avait plus qu’un demi-sommeil, et cette nuit ne dĂ©rogea pas Ă  cette rĂšgle. Certes, il ne dormait pas dehors, en proie au froid, mais les diffĂ©rentes fenĂȘtres laissant passer le vent, et les vĂȘtements humides qu’il avait parfois renfilĂ© n’aidaient pas Ă  ce que son sommeil soit rĂ©parateur
*Le plus gros avantage et inconvĂ©nient de ne pas avoir de sommeil rĂ©parateur, et de ne dormir qu’à moitiĂ©, Ă©tait d’avoir toujours conscience des rĂȘves que l’on faisait. Ces rĂȘves avaient la fĂącheuse manie de se parer d’une couleur de rĂ©alitĂ©, couleur qui, cette fois, Ă©tait drĂŽlement
 rĂ©elle !Le voilĂ  qu’il se trouvait au marchĂ©, chez le vendeur de fruits et lĂ©gumes du coin. Ce qui l’intĂ©ressait ? Les fruits
 Oui, il Ă©tait de corvĂ©e de courses pour l’Auberge. Il ne savait pas pourquoi d’ailleurs, puisqu’en gĂ©nĂ©ral ce n’était pas Ă  lui de le faire mais Ă  l’elfe de Reb. D’autant qu’il n’était pas trĂšs douĂ© pour choisir les fruits qu’il convenait
 Cassis, pomme, citron, banane
 le voilĂ  qu’il avait presque tout achetĂ© sans encombre, mais il lui manquait le fruit le plus important le la rĂ©alitĂ©, il se trouvait allongĂ©, sur le sol dur, froid et poussiĂ©reux de la piĂšce qui leur avait servi de chambre dans la nuit
 NĂ©anmoins, le contact chaleureux du corps de sa compagne contre le sin Ă©tait agrĂ©able et lui donnait un petit sourire sur les lĂšvres – ou peut-ĂȘtre Ă©tait-il simplement content de l’achat de fruits qu’il Ă©tait en train de faire. Faisant glisser une main plutĂŽt indiscrĂšte sur son corps, celle-ci s’arrĂȘte sur la poitrine de la demoiselle
Le vendeur lui tendit un pamplemousse, qu’il prit entiĂšrement dans une seule main. Il le pressa un peu et fronça les sourcils en trouvant sa texture Ă©trange
 Qu’était-ce donc que cette sorte de pamplemousse qui Ă©tait aussi molle que cela ? Si la forme Ă©tait parfaite, il ne faisait aucun doute que celui-ci Ă©tait beaucoup trop mur, voire complĂštement pourri. Il se mit donc Ă  grimacer et Ă  marmonner quelque chose au vendeur, qui n’avait pas l’air de comprendre. Mais il lui fallait un pamplemousse trĂšs peu mur, pour avoir un cocktail acide ! Ce n’était tout de mĂȘme pas difficile Ă  comprendre ! InvitĂ© Re Sur le bancInvitĂ©, le Mar 12 Avr - 1623 Un voyage au pays de la Tentation, sans escale et sans dĂ©tour, uniquement guidĂ© par le courant du dĂ©sir, voguant sur les flots tempĂ©tueux de la Luxure et de l’Envie. Abyssale, inattendue, cette traversĂ©e ! Elle avait risquĂ© la noyade plus d’une fois mais Ă  dĂ©faut de sortir la tĂȘte hors de l’eau, Lily avait prĂ©fĂ©rĂ© sombrer toute entiĂšre dans les profondeurs des sentiments qui avaient dĂ©ferlĂ© en son ĂȘtre ; une apnĂ©e en eaux troubles, suffocante, violente, mais terriblement dĂ©licieuse. Et si son cƓur avait Ă©tĂ© une boussole indiquant le cap vers des terres promises, il aurait pointĂ© Ă  coup sur vers le sorcier. Un gentil petit matelot ? Non, un pirate ! Un flibustier qui avait pillĂ© ce qu’elle lui avait offert et bien plus encore. Il s’était servi, avait volĂ© tout ce qu’il avait pu avant de mettre le feu Ă  ce qu’il restait
et elle adorait ! En cet instant, elle l’aurait fait Capitaine de toute sa flotte, sans concession. Mais la vision des choses est bien diffĂ©rente une fois le soleil levĂ©. Des sentiments Ă©chouĂ©s sur la plage, aprĂšs avoir dĂ©rivĂ©s toute la nuit jusqu’à ĂȘtre ivres, il ne reste que des lambeaux salĂ©s. Une Ă©pave de dĂ©sir, vestige d’une nuit d’abordage sanguinaire, Ă  l’odeur de poudre et de charbon. Le rĂ©veil est difficile, le sable est trop chaud, le sel sur la peau trop main qui vient se poser sur sa poitrine
 Une tentative de strangulation ? Un ennemi profitant de sa torpeur pour Ă©touffer ses cris, son cƓur et sa vie ? MĂȘme Ă  demi ensommeillĂ©, l’instinct et les rĂ©flexes d’un Auror sont Ă  l’affĂ»t du moindre danger, prĂȘts Ă  agir alors mĂȘme que le corps est encore endormi. Ses paupiĂšres Ă©taient encore clauses quand sa main enserra sa baguette. Son buste se releva brusquement, ses yeux s’ouvrirent soudainement. Son avant-bras vint Ă©craser le torse de l’ennemi et sa baguette se posa sur sa jugulaire. Le cƓur battant et la respiration haletante, elle laissa ses yeux s’habituer Ă  la lumiĂšre, son cerveau ayant rĂ©agi par rĂ©flexes dĂ©fensifs avant mĂȘme que son corps ne sache ce qu’il se passait. Ca n’est pourtant pas un truand qu’elle tenait fermement, mais le bel ange blond du nom de Will. Quelques secondes pour analyser la situation et s’apercevoir qu’elle Ă©tait sur le point de liquider son amant d’une nuit par erreur
 Elle soupira de soulagement avant de le relĂącher et de se prendre la tĂȘte entre les mains. C’est pas vrai
 Mais qu’est ce que tu fous, Will ?... »Soulagement d’avoir un visage connu et inoffensif sous les yeux. Mais aussi prise de conscience que son excĂšs de stress aurait pu mal finir
 Le feu dans la cheminĂ©e avait laissĂ© place Ă  de toutes petites braises, Ă  l’image de la tempĂȘte de la nuit qui n’était plus qu’une douce vague sur le sable. La jeune femme posa les yeux sur leurs vĂȘtements Ă©chouĂ©s dans la piĂšce, se remĂ©morant non sans rougir leur croisiĂšre nocturne aussi intense qu’enivrante. Le soleil perçait tout juste Ă  travers les carreaux crasseux de leur vaisseau de fortune, il devait ĂȘtre tĂŽt encore. Pourtant, Lily ne se voyait pas prendre un petit dĂ©jeuner ponctuĂ© de mots doux. Leur nuit n’avait Ă©tĂ© qu’un heureux hasard. Un hasard complĂštement fou ! Ils avaient cĂ©dĂ© Ă  une pulsion dĂ©vorante et Ă  une attirance hypnotique. Mais Ă  prĂ©sent, il Ă©tait difficile d’imaginer la suite Ă  donner Ă  tout cela. Le mieux Ă©tait sans doute de ne rien imaginer du tout. Peut-ĂȘtre ne se reverraient-ils jamais, aprĂšs tout ?! Oui, la meilleure solution Ă©tait
de prendre les jambes Ă  son cou sans se retourner, de façon lĂąche, impolie et ridicule !......Prenant soin d’éviter le regard du jeune homme, Lily se leva. Elle reboutonna son chemisier et passa ses doigts dans ses cheveux en une vaine tentative de coiffage. Elle leva sa baguette et s’approcha de l’ñtre encore fumant et lança un Aguamenti sur les devait-elle rĂ©agir ? Serrer la main du sorcier et le remercier pour sa prestation, comme deux professionnels ? DĂ©vorer ses lĂšvres une derniĂšre fois en lui brĂ»lant le cƓur de dĂ©sir, comme elle l’avait fait quelques heures plus tĂŽt ? Dilemme
 Elle dĂ©cida de saisir la baguette du jeune homme baguette magique, ça va de soi
 et de s’approcher de lui. A sa hauteur, elle s’accroupi devant lui avant de lui tendre son arme. Elle consentit enfin Ă  lever son regard sur son visage. Ses jolis yeux lui arrachĂšrent un sourire en coin qu’elle ne tenta pas de dissimuler. Une derniĂšre fois, elle se pencha, lentement, vers ses lĂšvres pour y dĂ©poser un doux baiser. Pour s’y noyer, une derniĂšre fois encore
 avant de lever l’ancre et de quitter cette terre d’exil. [HRP Fin du RP. Un peu court, mais je me suis appliquĂ©e Ă  faire quelque chose de joli. Enfin, je l'espĂšre... ]DerniĂšre Ă©dition par Lily Gordon le Ven 22 Avr - 1006, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Re Sur le bancInvitĂ©, le Ven 22 Avr - 946 DrĂŽle de texture vraiment, ce n’était franchement pas normal ! Un pamplemousse ne pouvait pas ĂȘtre aussi mou ! Lançant un regard sĂ©vĂšre au vendeur qui essayait de l’arnaquer pour la premiĂšre fois oĂč il venait chez lui, il s’apprĂȘta Ă  reposer le fruit Ă©trange quand celui-ci posa une main sur son torse et dĂ©posa une baguette sur sa mĂąchoire. Wow wow faut pas s’énerver hein, je vais le prendre votre fruit ! MalgrĂ© tout, son rythme cardiaque s’accĂ©lĂ©ra, la sueur commença Ă  perler sur son front et d’un coup, il ouvrit les nuit enveloppait tout son corps, mais mis Ă  part la Vue, aucun de ses autres sens n’avaient disparus. Une odeur de baise consumĂ©e parvint Ă  ses narines, tandis que sa bouche savourait la moindre petite trace restante du goĂ»t de cette nuit agitĂ©e. Ses mains quant Ă  elle avaient droit Ă  une chose dĂ©licate qu’il n’arrivait pas Ă  dĂ©finir, Ă©tant trop occupĂ© par la sensation piquante sur sa jugulaire. Qu’est-ce que c’était que ça ? Sa main libre se prĂ©cipita sur ce morceau de bois qui le menaçait et il le repoussa doucement, tout doucement. La respiration haletante il souffla Ă  voix basse, espĂ©rant qu’elle soit rĂ©veillĂ©e pour qu’elle entende Oulaaah
 Doucement
 Pas de fin tragique Ă  cette nuit magique
 »La voix toujours ensommeillĂ©e, il se dĂ©battait pour pouvoir sortir quelques sons comprĂ©hensibles, mais il espĂ©rait avoir Ă©tĂ© entendu. Il avait toujours cette main qui recouvrait une surface bombĂ©e, visiblement Ă  la mĂȘme texture que le pamplemousse sans la peau d’agrume, qui Ă©tait plutĂŽt agrĂ©able Ă  toucher, Ă  caresser et qui
 Oh non bordel ! Brusquement, il retira sa main en se rendant compte qu’il avait, malgrĂ© lui, cherchĂ© Ă  se rapprocher d’elle une nouvelle fois pendant la nuit. Ma foi, il ne serait pas contre recommencer les exploits des heures passĂ©es avec cette demoiselle, mais de lĂ  Ă  devenir indiscret pendant la nuit
 En gĂ©nĂ©ral il n’avait pas ce problĂšme ! Il partait toujours avant l’aube aprĂšs avoir passĂ© une nuit presque blanche puisqu’il n’arrivait pas Ă  dormir en compagnie d’une inconnue
 Aujourd’hui il avait somnolĂ©, et c’est la poitrine de sa partenaire qui en avait subi les consĂ©quences !Peut-ĂȘtre retira-t-il sa main trop brusquement, toujours est-il que la jolie brune se redressa et, d’aprĂšs la faible lumiĂšre qui passait Ă  travers la vitre et grĂące Ă  ses yeux qui commençaient Ă  s’habituer Ă  l’obscuritĂ© latente, il put deviner qu’elle prenait sa tĂȘte dans ses mains. Du
 Regret ? Mais voyons ma belle, on ne regrette pas une nuit avec Will Crow ! Une voix fĂ©minine parvint Ă  ses oreilles, encore Ă  demi-ensommeillĂ©e, mais dont le ton, presque de reproche, Ă©tait tout de mĂȘme perceptible. Il ne rĂ©pondit pas
 Il n’avait pas envie de rĂ©pondre, mais il sentait ses joues prendre une teinte rosĂ©e et virer rapidement au rouge. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas rougi, la derniĂšre fois remontant trĂšs certainement Ă  une Ă©norme maladresse faite Ă  Poudlard
 L’excĂšs de confiance en soi avait parfois du bon apparemment
L’avantage, c’était qu’il faisait nuit aprĂšs tout et elle ne pouvait pas voir le teint Ă©carlate qui Ă©tait parti de son cou pour monter jusqu’à ses tempes. En plus, lorsqu’il Ă©tait rouge, il se trouvait laid, alors il ne valait mieux pas la laisser partir avec une image de lui falsifiĂ©e. D’ailleurs, en parlant de partir, elle semblait pressĂ©e
 Normal aprĂšs tout. Lui qui partait en gĂ©nĂ©ral toujours avant le rĂ©veil des demoiselles ne connaissait pas non plus ce genre de situation. Peut-ĂȘtre Ă©tait-elle gĂȘnĂ©e elle aussi ! Elle se releva, alla chercher quelques unes de ses affaires Ă©parpillĂ©es dans la piĂšce tandis que lui avait du mal Ă  se rĂ©veiller. Les Ă©motions fortes de ce matin ne lui rĂ©ussissaient pas
 Il Ă©tait parfaitement Ă©veillĂ© mais n’arrivait pas Ă  retirer l’image d’une baguette pointĂ©e sur lui dĂšs le rĂ©veil. Et si elle avait dĂ©couvert sa vĂ©ritable identitĂ© au cours de la nuit ? DiscrĂštement, il regarda son avant-bras
 Rien
 Pas de marque visible
 Comment aurait-elle su ?Voyant qu’elle revenait, il fit mine de chercher ses habits du regard et se mit d’ailleurs Ă  rire en voyant sa cravate par-ci, sa chemise par lĂ , et son chapeau encore autre part. Une scĂšne de bataille Ă  l’image de la nuit sauvage qu’ils venaient de passer. Elle se plaça face Ă  lui, s’accroupit et lui rendit sa baguette, qu’il prit dans ses mains en fronçant lĂ©gĂšrement les sourcils. Bien
 Elle ne devait pas savoir, auquel cas elle ne lui aurait jamais redonnĂ© son arme. Il la prit, la posa au sol, et eut juste le temps de voir arriver ses lĂšvres pour comprendre qu’il devait l’embrasser. Alors c’était ça, le baiser d’adieu ?Musique [C’est surtout pour les paroles]Leurs lĂšvres qui se rejoignent, une derniĂšre fois, qui s’étreignent, une derniĂšre fois. Sa main qui va doucement rejoindre ses longs cheveux bruns et l’autre qui cherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment une prise. Approche toi un peu
 Un flot d’émotions envahit sa tĂȘte, tandis que les images de la nuit faisaient surface dans son esprit. Une furieuse envie de la faire s’allonger sur le sol le prit au moment oĂč elle dĂ©cida de dĂ©tacher ses lĂšvres des siennes. Alors c’était ça, le baiser d’adieu ? Une vraie torture
 Il profita de sa main dans ses cheveux pour la retenir quelques secondes
 Juste quelques secondes auprĂšs d’elle, une derniĂšre fois. Ses lĂšvres glissĂšrent Ă  son oreille, tandis qu’il profitait encore des derniĂšres secondes auprĂšs d’elle pour sentir son odeur
 Adieu, Lily
 »Il lĂącha prise
 C’était la premiĂšre fois qu’il quittait quelqu’un avec cette envie de la garder rien que pour lui pendant encore quelques secondes. Il la quittait ? Non, ce n’était mĂȘme pas lui qui partait, c’était elle ! Admirant une derniĂšre fois ses courbes Ă©clairĂ©es par la faible lumiĂšre de la lune qui perçait Ă  travers les carreaux, il la regarda partir, presque tristement. Puis, il se releva avec difficultĂ©, et se contenta d’aller chercher ses affaires, quelques unes encore humides comme son chapeau, qui siĂ©geait bien trop loin du feu de la cheminĂ©e, avant de les enfiler et de partir. Il regarda cette piĂšce avec un petit sourire en coin. Il donnerait tout pour avoir de nouveau cette fille auprĂšs de lui, une derniĂšre fois
[Fin du RP] Kaya AdamsPoufsouffle Re Sur le bancKaya Adams, le Lun 18 Juil - 2130 [PV Crystal et Felicie ]Kaya, Felice et Crystal s’étaient rencontrĂ©es en Cours de Potion, et Ă©videmment les Cours de Potions n’étaient pas vraiment ce que prĂ©fĂ©rait Kaya. Faire des mĂ©langes Ă©taient la partie la plus intĂ©ressante du cour, et Ă©videment Ă  ce cours lĂ , il n’y avait eu aucune pratique jusque de la thĂ©orie et du cours Ă  copier. La Jeune Poufsouffle avait tout d’abord parler avec Crystal qui Ă©tait dans la mĂȘme maison que la SorciĂšre et qui l’avait croiser plusieurs fois dans la salle Commune. Puis Crystal Ă©tait venu s’inviter dans leur conversation, en leur parlant du cours, comme quoi, elle ne suivait rien et ne comprenait rien ce qui la mettait en rogne. Kaya avait sourit Ă  Crystal et les trois jeunes filles s’étaient vite liĂ©es d’ l’autre jour en rangeant ses affaires, Kaya avait remarquĂ© qu’il lui manquait son livre de DĂ©fense Contre Les Forces Du Mal. AprĂšs avoir retournĂ© tout le dortoir, elle s’était rĂ©signĂ©e Ă  en acheter un second. La sorciĂšre avait donc proposĂ©e Ă  Crystal et Felicie de se rendre avec elle au Chemin de Traverse et avec plaisir, ses deux amies avaient trois jeunes filles avaient donc rĂ©ussit Ă  sortir du ChĂąteau exceptionnellement avec l’accord de la Directrice pour pouvoir ce promener librement au Chemin de Traverse, puisque Kaya avait pu faire transplaner les trois jeunes avoir acheter son livre et l’avoir mit dans son sac, Kaya, Felicie et Crystal marchaient dans la rue du chemin de traverse et s’assirent sur un banc en face de la Boutique des Animaux Magiques. Kaya adorait les animaux et rĂȘvait de travailler avec eux, mĂȘme si pour l’instant elle Ă©tudiait encore. Elle aimait beaucoup tout ce qui Ă©tait vivant, travailler pour les autres par exemple. Mais avec les animaux c’étaient autre chose. Il fallait ĂȘtre patient, calme, attentionnĂ©e
.VoilĂ  ce que voulait faire Kaya, c’était comme une passion. En revenant Ă  la rĂ©alitĂ©, elle remarqua que Crystal avait une boite de Bertie Crochue. Elle lui en piqua une poignĂ©e, et tomba sur Chocolat, Pistache, Sucre
 Malheureusement elle tomba sur Haricot ce qu’elle dĂ©testait par-dessus tout. Elle se leva et cracha la dragĂ©e, et remarqua que ses amies Vous moquez pas c’est pas bon, les dragĂ©es Haricots !Kaya mit une petite tape aux filles et resta debout les mains dans ses poches arriĂšres ou Ă©tait rangĂ©e sa baguette. Elle regarda le ciel qui commença Ă  ce voiler. Mais bon, les jeunes Ă©lĂšves n’avaient pas vraiment envie de rentrer Ă  Bon, on fait quoi ?Voyant la mine dĂ©motivĂ©e des deux jeunes filles, ce qui voulait dire, en clair Pourquoi on est obligĂ©e de bouger ? », Kaya tapa dans ses mains et dit- Allez les filles ! Vous ĂȘtes plus feignante que moi !Kaya sourit et rĂ©ussit finalement Ă  lever Crystal, qui l’aida Ă  lever Felicie, cette derniĂšre qui n’était pas du tout motivĂ©e. Kaya rigola, prit les deux jeunes filles par les deux bras et les entraina vers la longue rue du chemin de Traverse. Crystal M. ErtzPoufsouffle Re Sur le bancCrystal M. Ertz, le Jeu 21 Juil - 1625 Le ciel changeait de couleur. La pluie n'allait pas tarder Ă  tomber sur le chemin de traverse. Crystal se leva, un peu forcĂ©e par Kaya et se laissa guider dans le chemin de on fait quoi? Allez les filles! Vous ĂȘtes plus feignante que moi! Leur dit Kaya, apparemment en pleine forme.* Ca c'est sĂ»r!* Pensa Crystal en leva les yeux au ciel et prit la derniĂšre dragĂ©e de son sachet et en examinait la couleur verte. Regardant Kaya et Felicie, Crystal tenta le coup, et le regretta aussitĂŽt. Elle la cracha aussitĂŽt et eut une soudaine envie de Je trouve que tu as eu plus de chance que moi avec tes haricots! Ellle marqua une pause. J'ai eu Ă  la crotte de nez!Elle rigola et passa sa langue sur ses dents. Le goĂ»t restera quelques heures encore... Elle le savait, mais ça ne lui faisait pas peur, en ce moment, elle avait autre chose en tĂȘte que de rĂąler Ă  cause d'un bonbon...Elle en profita pour observer chaque dĂ©tails de chaque boutique. Il Ă©tait vrai que depuis qu'une de ses amies aux parents moldus lui avait fait dĂ©couvrir un livre moldu intitulĂ© "Sherlock Holmes", la jeune Pouffy s'amusait Ă  analyser chaque chose qu'elle regardait. Les rues du chemin de traverses Ă©taient remplies de tout et n'importe quoi!- Je ne sais pas... Mais j'ai l'impression que la pluie ne va pas tarder Ă  encore quelques gallions Ă  dĂ©penser, il ne faudrait pas trouver un abrit avant que la pluie n'arrive? Cette visite exeptionnelle au chemin de traverse exitait Crystal au plus au point. Elle qui faisait rarement les boutiques, une occasion comme celle-ci n'arrivait pas tous les jours! Et se promener avec des amies Ă©tait une premiĂšre pour Crystal, qui avait grandit seule dans une petite maison dans les bois. Tout ce qu'elle espĂ©rait, c'est que la pluie ne tombe pas trop tĂŽt. Ca enlĂšverait quelque peu la magie du moment... PeytonSerdaigle Re Sur le bancPeyton, le Mer 28 DĂ©c - 1231 Cela faisait bien longtemps que Peyton n'avait pointĂ© le bout de son nez dehors pour faire autre chose que de s'occuper de la boutique, que ce soit pour donner ses cours de vol ou bien pour aller chercher les livraisons. Non pas que cette boutique lui prenait Ă©normĂ©ment de temps, il s'agissait plutĂŽt lĂ  des occupations d'Anthony et d'Eleonore, mais Peyton passait surtout de nombreux moments dans le placard Ă  balai qu'Anthony et elle avaient amĂ©nagĂ© pour se construire un petit coin tranquille. Auparavant, elle pouvait loger dans son manoir et y passer des journĂ©es.. mais celui-ci ressemblant maintenant Ă  des ruines moyenĂągeuses, elle ne pouvait pas tellement apprĂ©cier sa grandeur. Alors elle restait dans le tout petit appartement qu'Anthony et elle avait amĂ©nagĂ©. NoĂ«l Ă©tait enfin passĂ©. Peyton dĂ©testait cette pĂ©riode. Comme s'il fallait une excuse, un jour bien prĂ©cis, pour offrir un cadeau Ă  quelqu'un. Et ce monde dans les rues, ce monde qu'on voit passer Ă  travers la vitrine de la boutique, ou bien ce monde qui entre, qui ne sait pas quoi offrir et qui demande des informations... Non, sĂ©rieusement, Peyton dĂ©testait NoĂ«l. La foule Ă©tant devenue moins importante dans les rues de Londres, elle avait dĂ©cidĂ© d'inviter son ami Chris Ă  se balader et Ă  flĂąner dans les rues. Ils ne s'Ă©taient pas vu depuis un petit moment et il Ă©tait donc temps d'y remĂ©dier. Sortant de la boutique de quidditch qui se situait Ă  seulement quelques mĂštres de cher Ollivander's, Peyton alla en direction de la boutique de son ami. Une fois devant, elle entra, et salua Sara chaleureusement. Elle n'avait pas vu la gĂ©rante depuis Ă©galement un bout de temps. En fait, Ă  part Anthony et Eleonore, Peyton n'avait vu personne depuis dĂ©jĂ  quelques semaines. Les deux dames parlĂšrent affaires quelques secondes, mais tout le monde savait qu'Ollivander's marchait bien mieux que la boutique de quidditch. Elles changĂšrent alors rapidement de sujet. Peyton n'Ă©tais pas du tout agacĂ©e par cette diffĂ©rence de marge, car elle savait depuis le dĂ©but que la boutique qu'elle allait reprendre n'Ă©tait pas la premiĂšre que les gens allaient voir. Et puis la boutique n'Ă©tait pas du tout sa seule occupation, si bien qu'elle ne s'en prĂ©occupait pas Ă©normĂ©ment, mĂȘme lorsque les affaires ne marchaient pas toujours bien. Chris dĂ©barqua de derriĂšre les rayonnages peut de temps aprĂšs l'entrĂ©e de Peyton dans la boutique. Elle lui fit un sourire et lui lançant un "Salut !" puis reporta son attention sur Sara en lui disant "Ne t'inquiĂšte pas, je vais le surveiller, il ne fera pas de bĂȘtises. Je te le ramĂšne dans deux/trois heures !"Ils quittĂšrent alors tous deux la boutique, sortant dans le froid que l'hiver avait amenĂ©. Peyton Ă©tait d'ailleurs emmitouflĂ©e jusqu’au cou, comme si elle partait pour les sports d'hiver. Elle portait son bonnet avec son gros pompon et les deux tresses sur les cĂŽtĂ©, ainsi que ses gants et sa grosse Ă©charpe. "Bon alors cher Chris, quoi de neuf ? ça fait un moment que je ne t'ai pas vu... "Ils avancĂšrent dans le Chemin de Traverse et la neige fraichement dĂ©blayĂ©e Ă©tait regroupĂ©e sur les cĂŽtĂ©s des trottoirs, entre les boutiques. Peyton, qui avait largement gardĂ© son Ăąme d'enfant, pris les prĂ©cieux flocons entre ses mains et en fit une boule bien ferme. Faisant attention Ă  ce que Chris ne remarque rien, elle lui lança."C'est pour nos retrouvailles..." fit-elle en riant, tout en commençant Ă  prendre la fuite, craignant une vengeance de la part de son ami. Chris Aaron BennetSerpentard Re Sur le bancChris Aaron Bennet, le Mer 28 DĂ©c - 2025 Hopopop, Chris se tapait la tĂąche ingrate de ranger les baguettes dans les Ă©tagĂšres, bon fallait bien avouer que les vendeurs/stagaiaires s'y prenaient comme des pieds, Sara avait eu la merveilleuse idĂ©e de leur dĂ©lĂ©guer cette charge, et du coup c'Ă©tait un capharnaĂŒm innommable. Du coup aprĂšs avoir remis de l'ordre dans les rangements, rangĂ© les baguettes par caractĂ©ristiques et non par bois ou composants, Chris Ă©tait forcĂ© de ranger le dernier cru de il devait se dĂ©pĂȘcher car le sorcier avait rendez vous avec sa meilleure amie, Peyton Sawyer. AprĂšs avoir remis de l'ordre dans tout ça, il se dirigea vers la vitrine afin de modifier la devanture du magasin, retirer les baguettes de la collection prĂ©cĂ©dente, mettre les nouvelles. Changer l'affreux coussin framboise Ă©crasĂ©e que Sara avait tant tenu Ă  mettre, et le remplacer par un bleu royal, tout en simplicitĂ©. Dans la foulĂ©e, l'ancien professeur d'enchantement fit apparaitre un lĂ©ger nuage qui laisser tomber une douce neige magique, qui disparaissait avant d'avoir toucher le bois des prĂ©sentoirs. Durant un instant, Chris regarda la rue, la neige tombait depuis dĂ©jĂ  deux bonnes heures, et les sorciers ne se massaient pas Ă  la porte de la boutique. La rue Ă©tait presque dĂ©serte, et a tout cassĂ© seulement une dizaine de personne s'Ă©tait prĂ©sentĂ©s au qu'il retournait ranger quelques baguette, Chris ouvrit la porte a un client qui quittait la boutique en lui faisant quelques recommandations d'usage, c'est Ă  dire de faire attention de ne pas glisser dans la neige ! Puis il retourna aux Ă©tagĂšres. Pendant qu'il remettait quelques Ă©crins en place, le grelot d'argent tintĂąt indiquant qu'une personne venait de rentrer dans la boutique. Regardant sa montre, Chris songea qu'il s'agissait de la gĂ©rante de la boutique de balais, Peyton qui Ă©tait venue la chercher ! Ses pensĂ©es furent vites confirmĂ©es lorsqu’il entendu sa voix s’élever, elle Ă©changeait quelques mots avec de ses rayonnages, Chris gratifia la sorciĂšre d'un "Salut" sympathique, et souriant, qu'elle lui rendit avant de reportait son attention sur la compagne de son ami. Chris en profita donc pour passer rapidement dans la rĂ©serve pour attraper son Ă©charpe, sa veste, et un bonnet similaire Ă  celui de Peyton, mais vert. et oui en se refait pas, serpentard un jour, serpentard toujours.Lorsqu'il fut apprĂȘtĂ©, il revint du cotĂ© boutique fit un bisou Ă  Sara, sur la joue, car elle Ă©tait occupĂ©e Ă  faire des comptes et tout et tout, pendant que Peyton patientait en regardant rapidement les s'approcha donc d'elle l'attrapa par le bras, et lança "Chou on y va ! On se retrouve Ă  la maison !"Dehors la neige formait une Ă©paisse couche blanche. A peine eurent-ils descendus les marches du perron que la Sawyer l’assomma de questions "Bon alors cher Chris, quoi de neuf ? ça fait un moment que je ne t'ai pas vu... "Ce qui Ă©tait vrai, malgrĂ© la proximitĂ© des deux magasins ils ne se voyaient que rarement ou alors en coup de vent dans le chemin de travers. Leur derniĂšre rencontre datait de la fois oĂč Chris avait retrouvĂ© la jeune femme seule dans sa maison dans un piteuse Ă©tat de dĂ©prime, du au dĂ©part encore une fois de Gyaltsen... D'ailleurs c'Ă©tait cette fois lĂ  oĂč ils dĂ©couvrir des secrets insoupçonnĂ©s de l'un comme de l'autre... et de fil en aiguille arriva ce qui devait arriver et qui semblait les travailler depuis des annĂ©es dĂ©jĂ ...Chris allait lui rĂ©pondre, mais avait qu'il n'ai le temps de rĂ©agir, une boule de neige vint se nicher dans sa figure, sous les rires de la gĂ©rante de la boutique de Balais."C'est pour nos retrouvailles..."" Toi...... Tu ne perds rien pour attendre !"AussitĂŽt dit, aussitĂŽt fait, Chris fonça droit sur elle, l'attrapa par la taille et la souleva dans les airs avant de la poser dans l'Ă©pais tapis blanc. Peyton criait, enfin rigolait en lui demandant d’arrĂȘter, mais alors qu'il lui tendit la main pour l'aider Ă  se relever, cette derniĂšre l'attrapa et le tira d'un coup sec vers elle, et tout deux se retrouvĂšrent au sol, dans des Ă©clats de rires et les vĂȘtements couverts de neige !"Ahahahaha !! Et t'es fier de toi ? Rigolait allĂ©grement et saisit une poignĂ©e de neige qu'il envoya sur son amie. Tiens ça t'apprendra !!"Non loin de lĂ  quelques passant les regardaient l'air ahuris, Chris reconnu la personne qui venait de quitter la boutique. Oui il s'amusaient comme des gamins et alors ?Plus sĂ©rieusement le Bennet se tourna vers elle et tout en souriant il lui dit "Ça fait du bien de te retrouver !!" PeytonSerdaigle Re Sur le bancPeyton, le Mer 28 DĂ©c - 2330 Oula oula... Elle n'aurait peut ĂȘtre pas du lancer les hostilitĂ©s. Enfin, ce qui Ă©tait fait, Ă©tait fait ! Peyton se retrouvait dĂ©sormais la tĂȘte dans la neige, cette derniĂšre se baladant entre la peau de son dos et son t-shirt. Bon, il valait mieux en rire qu'en pleurer, mais c'Ă©tait tout de mĂȘme trĂšs dĂ©sagrĂ©able ! Elle ne s'Ă©tait pas amusĂ©e de la sorte depuis longtemps et il fallait bien avouer qu'elle y prenait du plaisir. Redevenir enfant faisait parfois du bien... surtout quand il s'agissait de s'amuser avec Chris ! "STOOP Chris ! arrĂȘte ça tout de suite ou je vais choper la crĂšve avec tes bĂȘtises ! j'ai de la neige plein le dos c'est frooooid !!""Ça fait du bien de te retrouver !!""Je te le fais pas dire !!" rĂ©pondit-elle, lui envoyant une nouvelle boule de neige Ă  la figure, avant de se lever. "Bon, c'est assez maintenant." Elle lui tendit la main pour l'aider Ă  se relever Ă  son tour. "Les gens auront une drĂŽle d'impression au sujet des gĂ©rants ou co-gĂ©rants des boutiques... remarque, si ça peut me ramener des clients, ça ne sera pas plus mal."Mais Peyton ne voulait pas parler boulot. Une fois debout, elle plongea sa main dans sa besace, et elle y retira un paquet. MĂȘme si elle n'aimait pas NoĂ«l et qu'elle n'Ă©tait pas vraiment pour s'offrir des cadeaux, elle avait quand mĂȘme envie d'un offrir un Ă  Chris. De toute façon, c'Ă©tait le seul Ă  qui elle en offrirait un. Avec Antho, ils Ă©taient plus "on fĂȘte ça" que "on s'offre des cadeaux". Enfin, en tout cas, elle n'avait pas prĂ©vu d'en offrir un Ă  Antho, et elle espĂ©rait secrĂštement que c'Ă©tait rĂ©ciproque. Et puis, le cadeau qu'elle offrait Ă  Chris n'avait rien de commercial, c'Ă©tait plutĂŽt... sentimental."Joyeux NoĂ«l mon vieux. C'est pas grand chose, mais tu dois savoir Ă  quel point j'aime NoĂ«l, pas vrai ... ?"Chris ouvrit le paquet. Dedans, il y dĂ©couvrit une photo de Peyton et de lui. Une photo magique, bien sĂ»r, qui bougeait. Le cadre Ă©tait fait d'un vieux bois magnifique et dĂ©corĂ© avec finesse. La photo Ă©tait en noir et blanc, elle rappelait des temps anciens. "Je l'ai ensorcelĂ©e, bien sĂ»r. Il n'y aurait pas tellement d'intĂ©rĂȘt sinon. Mais je te laisserai dĂ©couvrir cette surprise. Un indice le jour oĂč tu penseras en avoir besoin, il te suffira d'y penser." CadeauLa phrase en elle mĂȘme ne voulait pas dire grande chose, mais Peyton, qui prit son air mystĂ©rieux comme souvent, fit un clin d’Ɠil Ă  Chris. MĂȘme si il lui demandait quel Ă©tait l'enchantement qu'elle avait appliquĂ©, elle ne lui dirait pas. Et puis, elle savait qu'il comprendrait au moment venu. Peyton sourit en re-regardant la photo. Ils l'avaient prise il y a dĂ©jĂ  quelques annĂ©es, lors d'une sortie telle que celle-ci. On pouvait les apercevoir souriant et heureux, comme deux bons vieux amis, avec une bonne dose de complicitĂ©."Chris, ça te dirait d'aller boire un chocolat ou ce que tu veux d'autre ? J'ai l'impression d'ĂȘtre rentrĂ©e dans un congĂ©lateur tellement j'ai froid Ă  cause de la neige de toute Ă  l'heure. J'espĂšre que tu es content de ta bĂȘtise. " Les vĂȘtements de Peyton Ă©taient trempĂ©s Ă  cause de la neige qui fondait sous les rayons du soleil. Car s'il faisait trĂšs froid, ils avaient quand mĂȘme la chance d'avoir un beau temps. La gĂ©rante des balais frissonna sous l'effet de l'humiditĂ©. Peyton pensa alors que Chris n'Ă©tait jamais venu au Placard Ă  Balai. Eh oui, elle passait souvent du coq Ă  l'Ăąne dans ses pensĂ©es... Son ami avait eu la chance de voir son ancien manoir avant qu'il ne parte en fumĂ©, mais jamais il n'Ă©tait venu visiter sa nouvelle "demeure". Elle se promit alors de l'inviter un de ces jours, si ce n'Ă©tait le jour mĂȘme s'il Ă©tait d'accord et qu'ils avaient le temps. Chris Aaron BennetSerpentard Re Sur le bancChris Aaron Bennet, le Jeu 29 DĂ©c - 1518 Que pouvaient bien se dire les passants, deux personnalitĂ©s, par leurs statuts de GĂ©rance de boutique, allongĂ©s dans la neiges, presque en train de faire des anges. Chris lui s'en foutaient complĂ©tement ! Il n'Ă©tait plus-ou presque- en contact avec les clients et combien mĂȘme ce serait le cas, il leur pisse Ă  la raie, Ă  15 mĂštres, de dos, dans le brouillard et AVEC UNE PAILLE ! La Sawyer fini par se relever, et fut bientĂŽt accompagnĂ©es de son ami. Chris se tapaient les membres pour les faire s'envoler la neige qui s'Ă©tait accrochĂ©es dessus pendant leurs chamailleries... En faisant ça, de la neige s'engouffra entre son Ă©charpe et sa nuque, petit Ă  petit les flocons se liquĂ©fiĂšrent, et des petites goutes prirent le chemin de sa peau, sous les frissons musculaires du sorcier. Sa mĂšre c'est que ces bĂȘtises ça refroidissait pas mal ! Peyton elle Ă©tait occupĂ©e Ă  farfouiller dans son sac, elle avait une mine inquiĂšte... peut ĂȘtre y avait-il quelque chose de fragile qui aurait pu se briser lors de leur mini bataille de neige. Mais finalement elle soupira en sortant un petit paquet en souriant elle le tendit Ă  Chris."Joyeux NoĂ«l mon vieux. C'est pas grand chose, mais tu dois savoir Ă  quel point j'aime NoĂ«l, pas vrai ... ?"A vrai dire, Chris ne s'y attendait pas, surtout que Peyton n'Ă©tait pas une grande fan de cette saison des fĂȘtes. Lui avait aussi prĂ©vu une petite surprise pour elle, mais comme lĂ  j'ai pas encore trouvĂ© d'idĂ©e, il l'offrira plus dĂ©balla dĂ©licatement l'objet, tout d'abord ce qu'il vit, fut un bois ancien, verni, mais on sentait aisĂ©ment les rainures sous les doigts. Puis au fil du dĂ©ballage, une plaque de verre recouvrait une photo... Une vieille photo de Chris et Peyton, tous deux Ă©taient encore jeunes dessus, elle devait surement remontĂ©e Ă  l'Ă©poque oĂč ils Ă©taient enseignant Ă  Poudlard. La photographie Ă©tait en noir et blanc. On y voyait Peyton, le regard dans le vide, en haut de la tour d'astronomie, les cheveux volant au vent, et derriĂšre, Chris qui arrivait, comme pour la sortir de ses pensĂ©es bucoliques. Et finalement un franc sourire s'affichait sur les lĂšvres de la sorciĂšre, tendit que Chris essayait de voir ce qu'elle observait au loin, mais en vain, ses yeux de la sorciĂšres Ă©tant dans le large sourire, un peu triste due Ă  la nostalgie, s'afficha sur le visage du Bennet, c'Ă©tait un magnifique Cadeau que venait de lui faire la Sawyer. Il allait donc le garder prĂ©cieusement."Je l'ai ensorcelĂ©e, bien sĂ»r. Il n'y aurait pas tellement d'intĂ©rĂȘt sinon. Mais je te laisserai dĂ©couvrir cette surprise. Un indice le jour oĂč tu penseras en avoir besoin, il te suffira d'y penser. "EnsorcelĂ©... Chris fronça les lĂ©gĂšrement les sourcils... en quoi une photo de sorcier pouvait ĂȘtre ensorcelĂ©e ? intriguĂ© il tourna le cadre pour y voir peut ĂȘtre un indice.... mais lorsque la lumiĂšre se reflĂ©ta sur la vitre du cadre, au lieu d'y voir le ciel, Chris entre aperçu des balais fixĂ©s au mur, et quelques Ă©quipements de avait donc compris l'utilitĂ© de ce cadeau.... Il remit dĂ©licatement le paquet dans son papier, le rangea dĂ©licatement dans sa mallette... oui il avait prit une mallette en sortant, mais je 'lai pas indiquĂ©.Et afin de remercier comme il se devait la jeune femme face Ă  lui, il dĂ©posa dĂ©licatement ses lĂšvres sur sa joue, et lui glissa furtivement Ă  l'oreille "Ne t'avise pas Ă  trop m’épier non plus !"Puis se recula en souriant ! Chris allait pouvoir Ă  son tour lui offrir son cadeau, mais Ă  l'instant oĂč il fourra sa main dans ses affaires pour en sortir le paquet. Peyton reprit la parole... On en l’arrĂȘtait plus, elle parlait, parlait, parlait... c'Ă©tait bien rare tout ça ! peut ĂȘtre l'effet neige."Chris, ça te dirait d'aller boire un chocolat ou ce que tu veux d'autre ? J'ai l'impression d'ĂȘtre rentrĂ©e dans un congĂ©lateur tellement j'ai froid Ă  cause de la neige de toute Ă  l'heure. J'espĂšre que tu es content de ta bĂȘtise." Chris retira sa main de son sac-dieu soi louĂ© j'avais toujours pas d'idĂ©e-, et referma son sac, il lui offrirait donc son prĂ©sent une fois posĂ©s au chaud dans un cafĂ©, avec un chocolats chaud fumant devant eux."Okay ! C'est parti ! On va dans lequel ? Chris lui en indiqua trois-quatre dans des directions diffĂ©rentes, et finalement en choisit un pour eux. On va lĂ , en gĂ©nĂ©ral il y a moins de monde, et l'ambiance y est meilleure !"Ainsi donc, tout deux se dirigĂšrent vers le cafĂ© indiquĂ© par Chris, et lorsqu'ils y pĂ©nĂ©trĂšrent, le marchand de baguette, apostropha le barman " Salut ! Tavernier ! Deux chocolats chaud et deux Pains d'Ă©pices je vous prie !""Salut Chris ! Je vous apporte ça ! Miss Sawyer bonjour !"" Merci l'ami !"'Ouais bon Chris faisait un peu poch'tron du coin, quand il s'adressait a serveur, mais c'Ă©tait l'habitude, et puis cela faisait un moment qu'il venait prendre des digestif ou quelques petites biĂšre Ă  la fin d'un journĂ©e de travail. Une fois assis Ă  une table, prĂȘt d'une fenĂȘtre, Chris posa les coudes sur le rebord, et regarda la Sawyer dans les yeux "Allons bon... dit moi ce qu'il t'amĂšne ! Tout vas bien ? Tu n'as rien Ă  me dire ?"Chris avait entendu comme bien d'autres, une rumeur sur un couple au sein de l'Ă©quipe du placard Ă  balais... mais il en voulait confirmation de sa propre bouche. PeytonSerdaigle Re Sur le bancPeyton, le Jeu 29 DĂ©c - 1842 Chris semblait content de son cadeau. AprĂšs l'avoir embrassĂ© sur la joue, il lui chuchota Ă  l'oreille. "Ne t'avise pas Ă  trop m’épier non plus !""Pourquoi, tu en as peur ?" rĂ©pondit-elle en riant. "Ce n'est pas un cadeau empoissonnĂ© non plus ! et puis, je pourrai trĂšs bien te rĂ©torquer la mĂȘme chose, et ce serait d'ailleurs peut ĂȘtre plus lĂ©gitime !"Il accepta ensuite sa proposition. Ils rentrĂšrent alors dans un bar que Chris semblait bien connaĂźtre puisque le Tavernier l’appela par son prĂ©nom. A celui-lĂ  alors... il n'en manque pas une ! Peyton elle, avait "juste" droit au "miss Sawyer"... on ne refait pas son nom. Chris lui dit alors "merci l'ami" ce qui fit encore plus sourire la gĂ©rante des balais. Ils allĂšrent ensuite s'asseoir prĂšs d'une fenĂȘtre, dans un coin tranquille. L’attitude de son ami l'Ă©tonna alors. Il avait posĂ© les deux coudes sur la table tout en la dĂ©visageant. La question qu'elle redoutait arriva. Ils Ă©taient bien pourtant, Ă  papoter de tout et de rien ! mais il fallait toujours en venir aux choses sĂ©rieuses... et le souci, c'est qu'Ă  lui, elle ne pouvait pas lui mentir."Allons bon... dit moi ce qu'il t'amĂšne ! Tout vas bien ? Tu n'as rien Ă  me dire ?" Elle lui sourit en haussant les Ă©paules. "Oui, oui ça va bien !"Elle n'eut heureusement pas le temps de finir sa phrase alors que le serveur leur apportait leur chocolat chaud et pain d'Ă©pices. Elle le remercia en lui laissant la place de dĂ©poser leur commande sur la table. AprĂšs leur avoir souhaitĂ© un "bon appĂ©tit" ou quelque chose de semblable - Peyton n'y avait pas tellement prĂȘtĂ© attention -, il reparti en direction du comptoir. Malheureusement, cela ne suffit pas Ă  Chris qui avait Ă  nouveau plantĂ© son regard dans le sien, un sourcil soulevĂ©, du genre "Tu vas pas me la faire !". Peyton soutint son regard et attendit d'ĂȘtre sĂ»re que personne ne les Ă©coute ou regarde pour soupirer. "J'ai un alien dans le bide."Connaissant Chris, Peyton savait qu'il allait comprendre ce qu'il se passait. Mais la gĂ©rante des balais Ă©tait bien incapable de prononcer le mot. "Et oui, avant que tu ne poses la question, j'en suis sĂ»re."Chris, qui gardait les deux coudes sur la table et son regard fixe, laissait Ă  Peyton la possibilitĂ© de continuer dans sa lancĂ©e. C'Ă©tait bien la premiĂšre personne Ă  qui elle le disait. MĂȘme Anthony ne le savait pas encore ! Et en rĂ©alitĂ©, elle n'Ă©tait pas pressĂ©e de lui annoncer. DĂ©jĂ  le meilleur ami, le copain plus tard. "Je sais que ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, que tu t'attendais peut ĂȘtre plus Ă  un "ça fait trois mois qu'on est ensemble avec Anthony" ou je ne sais pas quoi, mais il fallait bien que je te le dise un jour, avant que la terre entiĂšre puisse le voir, non ? Et puis c'est toi qui vient de me demander si je n'avais rien Ă  te dire... "Peyton baissa alors les yeux sur son chocolat, et en bue une gorgĂ©e, ne pouvant soutenir le regard de Chris plus longtemps. Elle mangea alors une bouchĂ©e de pain d'Ă©pices qui, si dĂ©licieux soit-il, ne parvenait pas pour autant Ă  lui changer les idĂ©es."C'est nul de t'annoncer ça ici en plus..." Chris Aaron BennetSerpentard Re Sur le bancChris Aaron Bennet, le Jeu 29 DĂ©c - 2036 "J'ai un alien dans le bide. "Le coude Chris glissa du rebord... manquant de le faire chavirer la tĂȘte la premiĂšre dans son chocolat chaud. Il Ă©carquilla les yeux... mais ne dit rien, il n'eut pas le temps de le faire. Car dĂ©jĂ  Peyton rĂ©pondit, qu'elle Ă©tait sur de l'ĂȘtre... Cela semblait bizarre, elle n'avait pas vraiment de gros bidon rebondi, mais Chris ne pu s’empĂȘcher de constater que sa poitrine Ă©tait un peu plus volumineuse que par le passĂ©... ce n'Ă©tait donc pas la chirurgie plastique ! Le sorcier leva un sourcil, mais son regard continuait de pĂ©nĂ©trer la Sawyer, il Ă©tait tout chamboulĂ© Ă  l'intĂ©rieur, mais rien n'Ă©tait encore sur, soit il allait devenir a nouveau PĂšre, mais cette fois illĂ©gitimement, soit il sera juste le gentil parrain qui s'amusera avec sa/son filleule, il ne savait pas c'Ă©tait quoi le mieux... mais dans les deux cas, ça lui ferait plaisir... Bien qu'une des possibilitĂ© arrivait avec un certain lot de complications.... Donc en attendant d'ĂȘtre sur, et aussi que son amie arrĂȘte de parler, il se taisait, Ă©coutant chacun de ses mots."Je sais que ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, que tu t'attendais peut ĂȘtre plus Ă  un "ça fait trois mois qu'on est ensemble avec Anthony" ou je ne sais pas quoi, mais il fallait bien que je te le dise un jour, avant que la terre entiĂšre puisse le voir, non ? Et puis c'est toi qui vient de me demander si je n'avais rien Ă  te dire...C'est nul de t'annoncer ça ici en plus..."Donc non seulement Peyton Ă©tait enceinte mais en plus cela fait trois mois qu'elle est en couple avec Anthony, son collĂšgue du placard Ă  balais.... Mais il y a trois mois et deux semaines, avant qu'elle ne soit avec Anthony, ils avaient passĂ© la nuit ensemble... donc il y avait potentiellement autant de chance que ce soit lui le pĂšre que l'autre du placard Ă  balais. Seule l'estimation de grossesse pourrait mettre sur la voie du pĂšre Bennet fit le point des informations accumulĂ©es en peu de temps, avala une gorgĂ©e de chocolat, dĂ©tourna les yeux de Peyton. Par la fenĂȘtre Chris comptait les flocons qui tombaient du ciel... enfin il avait les yeux dans le vague.... Un long silence s’instaura sans que Chris ne dise mot, ou ne regarde ailleurs, Peyton aurait eu trois fois le temps de partir et le laisser seul... mais elle n'en fit rien, elle restait lĂ  a attendre la rĂ©ponse du potentiel pĂšre de son qui fini par ils se trouvaient dans un bar et que des oreilles indiscrĂštes ont tendances Ă  trainer dans chaque coin, il commença Ă  parler Ă  voix basse."Et ya combien de chance pour que ce soient mes spermatozoĂŻdes ? Parce que si c'est un vrai alien, je crois pas que ce soit moi...tu aurais dit un "beau gosse" lĂ  il n'y aurait pas de doutes !"Ouais, vous vous attendiez Ă  ce qu'il soit sĂ©rieux ? Et bah nan !! Avec Peyton c'Ă©tait difficile de rester sĂ©rieux ! Tout deux avaient vĂ©cus trop de choses ensemble pour qu'une situation pesante s'instaure. Mais plus sĂ©rieusement, il fallait bien qu'il y ai une rĂ©ponse Ă  ça, et en attendant, de savoir si il allait donner un petit frĂšre ou une petite sƓur aux jumeaux, il devait faire son travail de meilleur ami.".... Bon on fait quoi ? On va dire Ă  l'autre que t'es enceinte ? De toute façon il le verra un jour ou l'autre ! "Chris se pencha dans son sac pour enfin en sortir le cadeau qu'il devait lui offrir. il le posa sur la table et le fit glisser jusqu'Ă  la dĂ©balla donc son prĂ©sent, il s'agissait d'une cloche en cristal, fermĂ©e, dans laquelle une fleur rouge sang tenait toute seule dans les airs. Chris la regarda et se souvint de la difficultĂ© qu'il avait eu a la trouver, il avait du tuer une affreuse bĂȘte et une jeune femme qui le suppliait d’épargner sa vie... mais bon il lui fallait le cadeau. Avec ses recherches sur la conception des baguettes, il avait entendu parlĂ© d'une plante aux fleurs rouges et Ă©ternelles. Une histoire Ă  dormir dehors, une fleur qu'on trouve qu'au sommet du mont Honeck dĂ©dicace Ă  ma prof de magmatisme uniquement tout les 300 ans, et que justement c'Ă©tait cette annĂ©e qu'elle allait fleurir. Et son bois Ă©tait si rĂ©sistant qu'aucune magie ne pouvait l'atteindre. Une version du conte des trois frĂšres, en quelque sorte. Mais bon Ă  une pousse tout les trois siĂšcle, dans un endroit paumĂ©, personne n'y avait prĂȘtĂ© attention."Prends en trĂšs soin, je pourrais pas en ravoir une avant 300 ans !" PeytonSerdaigle Re Sur le bancPeyton, le Ven 30 DĂ©c - 1519 "Et ya combien de chance pour que ce soient mes spermatozoĂŻdes ? Parce que si c'est un vrai alien, je crois pas que ce soit moi...tu aurais dit un "beau gosse" lĂ  il n'y aurait pas de doutes !"Peyton Ă©clata de rire. Il n'y avait que Chris pour dĂ©dramatiser une telle situation. ".... Bon on fait quoi ? On va dire Ă  l'autre que t'es enceinte ? De toute façon il le verra un jour ou l'autre ! "La gĂ©rante des balais profita de cette nouvelle question pour ne pas rĂ©pondre Ă  la prĂ©cĂ©dente. Il fallait bien avouer qu'elle Ă©tait bien incapable de rĂ©pondre Ă  cette question. Les deux hypothĂšses Ă©taient envisageables... et elle ne voulait pas se faire d'idĂ©es pour le moment. "L'autre s'appelle Anthony, et je tiens beaucoup Ă  lui. Quant Ă  lui dire, je le ferai moi mĂȘme, un de ces jours."Peyton, qui avait repris son air sĂ©rieux, tenait Ă  mettre les choses au clair avec Chris. Il n'avait pas intĂ©rĂȘt Ă  divulguer une quelconque information Ă  qui que ce soit pour le moment. D'ailleurs, il semblait avoir compris puisqu'il fourra sa main dans son sac, pour y sortir un paquet qui ressemblait Ă  celui que Peyton lui avait offert quelques minutes auparavant. "Ah bah quand mĂȘme ! j'ai bien cru que tu m'avais oubliĂ©e !" fit-elle en souriant, histoire d'embĂȘter son ami. Elle ouvrit alors le paquet et dĂ©couvrit une cloche en cristal qui abritait une fleur rouge sang. Peyton n'Ă©tait pas spĂ©cialement fan des roses, mais ça fera un peu de couleur dans son appartement. AprĂšs tout, c'est vrai que depuis qu'ils avaient dĂ©mĂ©nagĂ©, Anthony et elle n'avait pas pris vraiment le temps d'installer de "vraies" dĂ©corations. Leur appartement Ă©tait sympa, certes, mais il restait simple. "Oh merci Chris, ça dĂ©corera mon placard Ă  balai Ă  merveille !""Prends en trĂšs soin, je pourrais pas en ravoir une avant 300 ans !""c'est vrai que ça fait un bail 300 ans... et... ça sert Ă  quoi ?"Peyton observa la rose et se dit qu'elle ferait un parfait attrape-poussiĂšre. D'un air le plus sĂ©rieux au monde, elle leva un sourcil, tourna la cloche pour regarder la fleur sous toutes les coutures, avant de reposer ses yeux sur son ami. Elle haussa alors les Ă©paules, fit un sourire au coin, et reprit la parole."Je blague, c'est trĂšs gentil de ta part mon vieux. Et puis c'est l'intention qui compte, comme dirait l'autre !"L'avantage, avec Chris, c'est qu'ils pouvaient ĂȘtre honnĂȘtes l'un envers l'autre. Pas besoin de prendre des pincettes pour annoncer une nouvelle ou bien dire ce que l'on pense. Peyton reprit un morceau de pain d'Ă©pices aprĂšs avoir emballĂ© avec soin la rose. Elle apprĂ©cia un peu plus le dĂ©licieux pain que toute Ă  l'heure, ses soucis ayant peu Ă  peu pris leur envol. Elle bu ensuite la fin de son chocolat, avant de finir son pain d'Ă©pices. Regardant sa montre, elle se dit qui leur restait bien une bonne heure avant de retourner Ă  leurs occupations habituelles. "Bon on fait quoi maintenant ? tu veux venir visiter mon placard ? Anthony et Eleonore doivent encore ĂȘtre en train de travailler, mais au pire on leur servira le cafĂ© ! et vu le monde qu'il y a en ce moment ça ne devrait pas poser trop de problĂšmes de toute façon..." Chris Aaron BennetSerpentard Re Sur le bancChris Aaron Bennet, le Mer 11 Jan - 2116 [un peu en retard, toutes mes excuses]"L'autre", comme Chris le qualifiait avait donc un nom, Anthony. Enfin le Bennet le savait mais il se plaisait Ă  l'appeler l'autre, de un parce qu'il ne le connaissait pas spĂ©cialement, et de deux parce qu'il y avait une chance sur deux que le fƓtus qui s'Ă©tait incrustĂ© dans la muqueuse utĂ©rine de Peyton soit le sien... donc mĂȘme si les semences du Bennet sont plus que performantes, si la fĂ©condation Ă©taient une semaine aprĂšs leur rapport, y'avait pas beaucoup de chance que ce soit l'un de ses tĂȘtards qui ai trouvĂ© la terre sacrĂ©e...Le cadeau plus tard, des faux remerciements j'avais absolument pas d'idĂ©es dĂ©solĂ© de la part de la sawyer et la phrases qui tue tout, "c'est l'intention qui compte"-bon c'est vrai il faisait pĂąle figure a cotĂ© de son cadeau, Chris et Peyton terminaient leur chocolat. Peyton voulait l'inviter Ă  visiter son placard Ă  Balais... Chris se demanda un instant si il devait prendre cette demande au pied de la lettre ou au figurĂ©... mais vu la situation, il doutait fort qu'il serait en mesure de reconnaitre si oui ou non la chose qui poussait dans son bide Ă©tait Ă  lui ou non... Mais en nommant son collĂšgue et sa sous-fifre, intuition de Chris fut vite confirmĂ©. Il s'agissait effectivement de passer prendre un cafĂ© dans la boutique de Balais."Oui avec Plaisir !"Il manqua de se bruler la langue avec la derniĂšre goutte du breuvage, puis laissa quelques Gallions sur la table, tout en faisant un clin d’Ɠil Ă  son amie. C'Ă©tait lui qui rĂ©galait. Sur le chemin qui mennait au magasin Chris demanda d'une façon trĂšs inopinĂ©e...." Et tu sais si.... l'aut..... Anthony est au courant que ton gosse peut ĂȘtre le mien ? Chris Marqua une pause....Fin.... est-ce qu'il sait qu'on a couchĂ© ensemble quoi ?"Bah oui valait mieux savoir, si il Ă©tait au courant, Chris devait s'attendre Ă  le voir se ruer sur lui pour essayer de le tuer en lui enfonçant un balais dans le c*l.....[C'est une pure Bouze...]RP NON TERMINE, EN ATTENTE DE LA REPONSE DE PEYTON. InvitĂ© Sujet temporaire auto par ChrisInvitĂ©, le Jeu 15 Mar - 1843 HRPG Bonjour je me permet de commencer un rp avec Morphaie Stone vu que le prĂ©cĂ©dent date de 2 moisLa journĂ©e Ă©tait belle. Et quoi de mieux quand le soleil brille que de se promener dans le chemin de traverse ? Tout en avançant dans la rue, perdu dans mes pensĂ©es, j'avance doucement, car la fatigue Ă©tait tellement prĂ©sente dans mon esprit que je ne pouvais pas aller plus vite. Malheureusement, un Ă©vĂ©nement troublant viens provoquer la fin de ma rĂ©flexion, violent et douloureux, tout en baissant ma tĂȘte je conclus mes pensĂ©es. Puis, une chose merveilleuse arrive. Devant mes yeux, une fille belle, mais nĂ©anmoins jeune, une tonne de livres Ă©taient tombĂ©s. DĂ©cidĂ© Ă  me montrer galant, je ramasse ses livres et lui va ? Oui j'espĂšre, permettez moi de vous aider" Ses livres dans mes mains, je m'approche d'un banc, suivis de la jeune fille qui Ă©tait tombĂ©e. Assis je pose ses livres Ă  cĂŽtĂ© d'elle et lui demande -"J'espĂšre que le choc ne vous a pas fait trop mal ? Sinon vous Ă©tudiez Ă  Poudlard je suppose ?"Ma seconde question je l'avais posĂ© en regardant ses livres, qui Ă©tait gros, trop gros d'aprĂšs moi. AprĂšs avoir posĂ© toutes mes questions, je la fixe du j'ai l'accord de Morphaie pour la faire bouger Re Sur le bancContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Lesjambes fuselées se retrouvent dans les modÚles les plus différents et sont actuellement parfaitement tendance. Les jambes fuselées peuvent mettre des accents ciblés comme les pantalons skinny. La jambe trÚs étroite renforce l'effet du pantalon prÚs du corps et laisse paraßtre la silhouette encore plus gracieuse. Découvrez +15 meilleurs conseils et astuces
Ilssont aux ordres, le doigt sur la couture du pantalon, tout simplement », explique-t-il. De son cÎté Orano rappelle simplement que «
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Retrouveztous les messages Couture enfant sur Petits Doigts. Contacter l'auteur; Envoyer Ă  un ami; S'abonner; Petits Doigts. Petits Doigts > CatĂ©gories > Couture enfant. jeudi 23 avril 2020. Cadeau de naissance. Awen est un tout petit bĂ©bĂ© nĂ© en dĂ©cembre, c'est le petit fils d'amis Ă  nous. Ça me faisait plaisir de lui confectionner une
Lepantalon Ă  pinces avec une chemise semi-ouverte. Si elle fait l’unanimitĂ© comme Ă  chaque printemps, la chemise traditionnelle se porte cette fois partiellement dĂ©boutonnĂ©e afin d
Rejoigneznos 4000 membres sur le groupe privé FACEBOOK de Jiji la biscotte ⭐THE PLACE TO BE⭐ Pour tous les amoureux de couture, qui cherchent la qualité et tout le nécessaire pour de jolies ruiner! Posez vos questions, apprenez avec des tutos et patrons gratuits, montrez vos créations à la communauté! Ici,
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Lepantalon de mon fiston avait déjà été réparé à un genou à l'aide d'une moufle orpheline. Mais une chute dans la cours de l'école a fait Contacter l'auteur; Envoyer à un ami; S'abonner; Des trésors avec du fil, du tissu, de la laine et des doigts en or ! Des trésors avec du fil, du tissu, de la laine et des doigts en or ! > 04 - Pour les

publiéle 17/03/2022. Absolument fabuleuses ces 3 techniques sur des jeans. Modernisation colorée est sublime pour relooker les tissus éclatants avec ces fils pluriels qui pansent des trous. Alors les kids, roulez-vous avec aisances à trouer nos jeans et vous aurez des pantalons uniques et magiques. En outre, fiers de les porter et défiler
lepetit doigt sur la couture du pantalon le petit groupe le petit jour le petit nouveau le petit oiseau va sortir! le petit personnel le peu de le peuple le peuple des campagnes le peuple des élus le peuple français Moreover, the English-Georgian dictionary for more translations.

Lepetit doigt sur la couture du pantalon Sens : ObĂ©ir, avoir une attitude respectueuse. Origine : Cette expression fait rĂ©fĂ©rence au garde-Ă -vous dans l'armĂ©e, position raide oĂč les bras sont serrĂ©s contre le corps et les doigts touchent la couture du pantalon. Cette posture est un signe de respect, d'obĂ©issance et de soumission Ă  l'autoritĂ©. Autre version

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